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Dans les petits villages, les petites villes, il ne se passe jamais rien...
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   vendredi, décembre 31, 2004
Pour finir l’année en « beauté », je vous livre un petit poème que j’avais écris il y a 20 ans de cela environ. Je sais qu’il n’est pas folichon, mais c’était mon état d’esprit à cette époque. J’avais imité le style « Prévert », parce que nous étudiions justement cet auteur à l’époque.

Il y a longtemps,
Il y a deux ans
Je marchais
Je t’attendais
Sous la pluie.
Je t’attendais
Tu n’es pas venu.

Mais aujourd’hui,
Sous la pluie
Je ne t’attends plus
Car je sais
Que tu ne viendras plus
Car je sais
Que tu ne m’aimes plus.

Après tout ce temps passé, je vous rassure tout de suite : non seulement je ne suis plus triste (parce que j’étais triste lorsque j’ai écrit ce poème), mais de plus, je n’aime plus non plus la personne à laquelle ce poème était dédié…
J’ai rencontré depuis d’autres personnes qui la valait mille fois, et mes pensées se tournent particulièrement vers l’une d’entre elle (elle se reconnaîtra sûrement). Et si elle est éloigné de moi à des milliers de kilomètres, elle est pourtant si proche, si proche, quand même… Les amis ne sont-ils pas quelque fois plus proches que les amours ?

Il en a de la chance cet ami! Si loin et si proche à la fois. Je suis sûr qu'il a les mêmes courants de pensée et qu'il s'est reconnu effectivement! Passe une excellente Nouvelle Année 2005! Je suis venu mettre ma nouvelle interface. Tu va voir... Ça change! On a un temps vraiment à rester en dedant. La grosse pluie!

B O N N E - A N N É E - 2 0 0 5

et M E R Ç I ! Ç'était très beau!
 
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   jeudi, décembre 30, 2004
Maintenant, le magasine test-achat est parti en guerre contre… les centres de contrôle technique belges ! J’ai même vu sur Internet que des voitures avaient été « sabotées » intentionnellement pour pourvoir prendre, si je puis dire, les dits centres « la main dans le sac » de leur inefficacité. Il avait même été dit que tout les centres avaient été examinés, et cela m’étonnerait quand même beaucoup aussi, car je vois mal 5 voitures passer dans les 36 centres de Belgique ! Il n’est donc pas prouvé que tous les centres manquent de sérieux !

Tout cela est très bien, et si certains crient en même temps que les concepteurs de test-achat au scandale, pour la plupart des automobilistes, cela importe peu : en effet, combien de fois n’ais-je pas entendu « grogner » autour de moi que la voiture devait passer au contrôle, et que cela entraînerait, forcément des frais ?
Et bien souvent, des personnes qui revenaient, réjouies, parce que leur voiture n’avaient « rien » ; et qu’elles étaient bonne pour jusqu’à l’année suivante ?
Cependant, à cause de cela, le ministre de mobilité à décidé de prendre des mesures, ou tout du moins, mettre un projet sur les rails : L'idée est que les contrôles se fassent non plus sur une convocation annuelle systématique pour tous les véhicules âgés de 4 ans mais plutôt en fonction de leur état d'entretien et de leur kilométrage.
Tout cela semble très joli, mais dans la pratique, cela risque d’être beaucoup plus difficile à mettre en chantier : en effet, s’il y a des gens qui prennent soin de leur auto, combien d’autre ne font-elle pas elle-même l’entretien de la voiture ? Ma sœur, mon père changeait eux même l’huile. Il est vrai que je ne vois plus ma sœur faire l’entretien elle-même, parce c’est une condition sine quoi non pour son assurance omnium, mais bientôt, je pense qu’elle reviendra faire des taches d’huile sur le pavé de l’entrée de garage chez ma mère. Autrefois, elle passe quand même de temps en temps au garage pour faire ce qu'elle appelle : le gros entretien. Sans compter que si ma sœur n’y connaît rien en mécanique, rien ne prouve que des mécaniciens de métier, ou même des amateurs de moteur, ne fassent eux même les vérifications d’usage à fin d’économie, ou, pire encore : des gens dont les revenus sont tellement faible qu’à part changer l’huile, ne se rendraient jamais dans un garage ? Parce que dans ces conditions, il n’y aurait plus aucun contrôle des véhicules en question. Cela risque de s’avérer encore plus dangereux qu’auparavant ! Comment contrôler, en effet, une voiture qui ne se rend jamais au garage ? Et comment contrôler le kilométrage de tel ou tel voiture ? Les garagistes seront-ils tenu d’envoyer, je ne sais pas où, leurs données ? Ou vont-ils se réfugier derrière le secret professionnel ? Car dans tout métier, il y a secret professionnel, et pas seulement dans la grande industrie ou dans le médical !

Bien que je n’ai pas toujours d’affinité pour certains proverbes, celui-ci semble pourtant de mise : le mieux est l’ennemi du bien. Et je me demande si dans ce cas si, il ne serait pas d’application…

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   mercredi, décembre 29, 2004
Eh oui ! le bilan s’alourdit toujours, au sujet de la catastrophe qu’il y a eu en Asie… Je me demande souvent si l’administration – je veux dire état civil, donc, naissance, mariage, décès, est aussi bien structuré et organisé que par chez nous, les pays occidentaux…
Enfin, il est vrai aussi que si le séisme à « fauché » nombre de population, il a également englouti nombre de bâtiments, et probablement aussi que nombre de registres, livres, paprasserie à été perdu dans le désastre… Quand j’y pense, s’est presque miraculeux que des archives d’état civil, ainsi que les archives d’églises ont survécues maintes guerre et conflit armés (c’est peut-être aussi pourquoi certaines années sont « manquantes », dans les archives, moi je suis bien placée pour le savoir, vu qu’un temps, la généalogie était mon « dada »).
Mais j’en reviens au séisme. On avance des chiffes, sans savoir au juste si ils sont corrects. Ce ne sont que des estimations. Comme savoir au juste ? Par contre, s’il y a un « chiffre » pour lequel je me demande comment les scientifiques ont réussit à déterminer, c’est les 5 cm de déplacement de l’axe de la terre au pôle. Eh oui ! Car, parait-il, le choc, suivit du raz-de-marée à été tellement important, que même la terre à été dévié de son axe ! Et le commentaire du journaliste : pas grand-chose, et cela ne changera rien, de toute façon.
Oui, qu’est ce que c’est, 5 cm à l’échelle planétaire, et encore plus, à l’échelle de l’univers ? pas grand-chose, autant dire rien… mais malgré tout, je trouve que 5 cm, c’est énorme, compte tenu de la masse terrestre ! Cela ne changera-t-il réellement rien ? Peut-être, quand même, de façon infime… que peut-on dire ? Il est évident que cela ne va pas bouleverser le rythme des saisons ; mais, qui sait, peut-être que cela changera la réception des rayons solaires (toujours de façon infime, bien sûr)
Il y a aussi des propos qui ont été tenus et qui me font faire une moue dubitative : en effet, maintenant, des voix se sont élevées en disant que « on aurait pu éviter le désastre, si le système qui surveille les séismes était le même qu’au Japon dans le pacifique »et « on aurait pu avertir les populations afin de les déplacer ». Comment ? L’inde, ainsi que les pays limitrophes, ne sont pas encore aussi bien organisés et « civilisés » comme le Japon et les structures américaines ! Il y a plus de gens qui dorment dans la rue dans ces pays-là que dans les pays occidentaux ! On semble un peu vite oublier que ce sont des pays, pour la plupart, en voie de développement ! Et j’imagine mal, que l’on puisse avertir, même avec dix minutes d’avance, une ville, un village, grouillants de monde pour qu’ils se mettent à l’abri… À l’abri… Où ? C’est toujours facile de faire l’important et dire « j’aurais pu mieux faire » quand le pire est arrivé…

Nous nous posons les mêmes question ma chère Martine! C,est ce que je viens de mettre en ligne tantôt. Ce déplacement de l'axe me fascine aussi. Mais j'entend des trucs contradictoires pour le moment.

Pour répondre à ta question: Comment calculer cet axes... Avec nos propres satellites sûrement. Ils sont géostationnaire pour plusieurs. C,est à dire qu'ils demeurent fixes. Je me demandais si ça les influençait en quelque chose. La Nasa calcule ses trucs de f¸acon très précise. Comme pour mesurer la distance terre lune, je crois que ça avait été fait avec un faisceau laser lancé sur un miroir à la surface de la lune. Le calcul du temps pris par le rayon pour se rendre à la lune, y revenir et diviser par deux.. Quand on sais que la lumière voyage 300km secondes... on a tout pour faire l'équation.

Pas grand chose 5cm sur une échelle planètaire mais parfois il suffit de peu pour faire beaucoup à long terme... N'est ce pas à coup de gouttes d'eaux que les gigantesques grottes se sont creusées. Sur un temps de quelques millénaires... mais c'est quand-même là!

Ha oui! N'importe quel pays.. même moderne... ne pourrais pas très bien gérer les morts et disparus. C'est un pays chaud. Les morts sont dans l'eau par milliers.. On va bientôt franchir le 100 000 morts et ce n'est pas fini. Ce qui prese c'est d'enterrer ou de brûler au plus vites ces corps avant qu'ils ne décomposent et croupissent l'eau potable, répendent leur germes etc.. etc... Alors c'est une course contre la montre. Certains seront enterrés et disparus sans jamais être identifiés. Le seul mouyens qu'ils ont pour faire de la classification... Ils photographient les cadavrs dans le but qu'on puisse les identifier. On n'aurais pas le choix d'être aussi drastiques même ici avec pareille quantitée de morts. Mais ce serait déjà moins pire puisque le froid ralentirais énormément le processus...

Bye bye...
Werewolf
 
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   mardi, décembre 28, 2004
Hier matin, j’ai donné un coup de téléphone à Isabelle, histoire de prendre de ses nouvelles ainsi que de ses problèmes de téléphone. Mais auparavant, et machinalement, je me suis trompée et j’ai composé le n° de téléphone de chez ma mère. Enfin, je me suis rendu compte dès la première sonnerie que je m’étais trompée – simplement parce que j’ai l’habitude, maintenant, de connaître par cœur le son que produisent les touches lorsque je compose le n° de ma mère. Il faut dire aussi que je n’ai pas encore l’habitude de composer le n° d’Isabelle, vu qu’il a été changé récemment (enfin, cela fait quand même 6 mois), et que de plus, les quatre premiers chiffres de son numéro et celui de ma mère sont les même.
Après avoir raccroché, je me suis mis à l’ordinateur, pour voir ce que contenait ma boîte e-mail. J’avais à peine commencé à éplucher le courrier que l’on sonne à ma porte. Tiens ? qui cela peut-il bien être à ces heures ci ? Me demandais-je (c’était le temps de midi). À ma grande surprise, c’était ma sœur. Non, pas que ce fut elle, mais parce que je ne m’attendais pas de la voir si tôt à ma porte ; en effet, nous avions convenu d’aller faire un tour au cora – j’avais l’intention d’acheter des rouleaux de liège pour colle le long du mur, sur les paliers des premiers et deuxième étage, pour un peu isoler du bruit, et cela, je ne les trouvaient qu’au roi merlin, magasin qui se trouve à 200 mètres environ du cora, bien que ces magasins partagent le même parking.
Le ciel était dégagé et la route luisante ; probablement qu’il avait gelé la nuit et que sous le soleil, l’eau – bien que la chaussée ait été salée – brillait à un tel point que nous avons dû rabattre les parts-soleil. Il est vrai aussi que nous roulions plein sud, et je m’étonnais que le soleil soit si bas à l’horizon, surtout pour un temps de midi.
Sur le chemin, elle me demanda : est-ce que tu sais ce qui s’est passé ? Tu n’as pas écouté les infos ? Non, lui ais-je répondu ; je n’ai pas encore lu tout mon courrier, tu sais, je lis le journal par Internet. Ah oui… M’a elle répondu. Eh bien, il faut toujours qu’il y ait une catastrophe qui se produise du temps de Noël. Il y a eu un tremblement de terre, dans la mer, et cela à produit une vague qui a envahit la Thaïlande, et d’autres pays à coté, je ne sais plus lesquels, mais tu sais, c’est l’été, là-bas, il c’était plein de touriste. Alors, il y en avait qui étaient sur la plage et qui ont été emportés… tu imagines ? Il y a deux belges qui sont mort, et … disparus (si je mets …, c’est parce que je me souviens plus du nombre). Alors, tu penses, les tours opérators, tu sais, les agences de voyages, a-t-elle ajouté, comme si je ne savais pas ce que c’était, il sont tout en train de faire des recherches pour savoir qui est parti, qui doit revenir… etc.
Finalement, bien que j’avais plus l’intention d’aller au roi merlin, j’ai quand même acheté une paire de bottes en caoutchouc (il y a longtemps que je voulais m’en racheter, les autres étant trouées), qu’un paillasson, l’autre était devenu irrécupérable, ainsi qu’un paquet de bonbon au profit de l’opération Télévie.
De retour à la maison, je me précipitais sur mon courrier pour savoir ce qu’il en était au juste de ce que ma sœur avait raconté. Non seulement, il y avait la Thaïlande comme pays touristique, mais aussi les Maldives… Je me dis que c’est épouvantable, ce qui arrive là. C’est épouvantable déjà pour les autochtones, mais pour les touristes… il ont du dépenser une sacré somme d’argent pour aller en vacances si loin, pour finalement y aller mourir. Enfin, ceux qui sont morts ne souffrent plus, mais imaginez ce que doivent ressentir les proches des gens qui sont partis en vacances, et qui leur reviennent dans un cercueil… et ceux dont ils n’ont pas de nouvelles, car il y a des « disparus » (20 à 30 belges), ou plus, même, suivant l’ambassade de Belgique… Je ne vais pas faire de l’esprit de clocher ; parce que si l’on déplore la « perte » des Belges en Asie, qu’en est-il des Français, des Allemands, des Anglais, des Américains (je cite ceux-la parce que ce sont ceux-la qui font le plus de tourisme) Là, je n’ai aucun renseignement, aucun chiffre. N’ose t’on pas les donner, refuse t’on de les connaître ? Quoi qu’il en soit, c’est de nouveau un Noël endeuillé cette année-ci…

Allo! En fait de jour en jour le bilan des mords s'allourdie. Quand on les comptes à coup de milles, ça fait tout un chiffre! Rien de bien joyeux surtout à ce temps-ci effectivement!

Werewolf
 
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   dimanche, décembre 26, 2004
Je tiens à vous remercier, Vincent et Werewolf, de vos bons vœux ! Je vous envoie les miens de retour, et je vous souhaite, d’ores et déjà, des bonnes fêtes de nouvel an, à vous ainsi qu’à ceux qui vous sont proches, qui vous aiment et que vous aimez.

Tes vœux ne sont pas en retard, Werewolf, pour la bonne raison que comme j’ai passé Noël, en famille, je ne les aurais de toute manière pas reçus avant aujourd’hui !

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   mardi, décembre 21, 2004
Donc, ce week-end, ont eu lieu à Bastogne les cérémonies du souvenir de la Bataille des Ardennes. Il n’y avait pas là que des officiels, mais aussi des vétérans américains qui s’étaient rendus en Belgique pour l’occasion (il y avait là aussi, paraît-il des allemands, mais ceux-là, on s’est bien gardé de les montrer !)
On les voyait qui se promener, et deux d’entre eux semblaient être inséparables (la guerre les avait-elle rapproché, ou est-ce qu’ils se sont trouvé des atomes crochus lors de leur déplacement ensemble, je ne le sais), et même que le physique de celui qui répondait aux questions, le plus loquace, me faisait penser au père d’Homère Simson.
Le lendemain, lors des infos télévisées, je vis qu’à Bastogne, il avait neigé. Si les jours d’auparavant, la température était relativement « clémente » entre 1 et – 1 degrés, elle avait chuté et il faisait moins cinq. On voyait les vétérans en train de grelotter sur les estrades dressées à l’occasion, et dont les jambes étaient entourées des fameuses couvertures de l’armées belges. Il ne faut pas oublier que les hommes qui se trouvaient là avaient atteint l’âge au moins de 80 ans, il y en avait peut-être un ou deux plus jeunes (il y a des soldats qui sont venus se battre, et le plus jeune d’entre eu avait 17 ans).
Pour ça, l’ambiance à Bastogne était reconstituée, comme il y a 60 ans d’ici. Il y avait même des Belges qui s’étaient déguisés en soldats américains, et qui, pour se mettre dans la « peau » de ce qu’avaient vécu les soldats, avaient passé la nuit dans ce que reste des « tranchées » - on en voit encore la trace de nos jours – et il disait qu’à présent, il comprenait ce que les autres avaient pu ressentir, par ce froid, alors qu’il y a soixante ans, il avait gelé à – 15.
Mes pensées se tournent maintenant vers les vaincus. Si les américains sont venu ici en libérateurs, avec le sentiment qu’il combattaient pour une cause juste, que devaient penser ceux qui se trouvaient de l’autre coté ? Papa m’avait dit que l’un d’entre eux qui parlait Français avait dit, lors de l’évacuation de son village au moment de l’arrivé de l’armée allemande : « la guerre : grosse catastrophe. »
Lors de l’offensive Von Runstedt, on avait même été cherché parmi les allemands des garçons à peine sortis de l’enfance, et des personnes plus âgées qui auraient dû, au contraire, couler des jours heureux. Parmi ces combattants que l’on avait envoyé se battre, je ne serais pas étonnée que pour la plupart d’entre eux, ils auraient préférés rester vivre sur leur terre natale qu’aller mourir sur une terre hostile qui n’était pas la leur. Et que malgré la haine que les Belges qui ont vécus à cette période ont encore de la nation allemande (ce qui s’explique par les atrocités qui ont été commises par eux il y a plus de soixante ans), il ne faudrait se dire que certains d'entre eux devaient obéir à des ordres qui étaient peut-être contraires à la voix de leur conscience, qu’ils ont souffert, eux aussi, et que ceux qui sont tombé, tout comme leurs opposants, sont morts sans avoir revu mères, épouses et enfants.

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   lundi, décembre 20, 2004
Vous ne savez pas ce que c’est… Combien de fois n’ai-je pas entendu cette phrase, sortie de la bouche de personnes qui ont vécu un événement terrible, comme s’ils étaient détenteur d'unique.
Je dis cela parce que vendredi, à la télévision était interrogée une dame qui avait été jeune et qui habitait dans la zone où s’était déroulé la bataille des Ardennes.
Je ne suis pas contre le fait de dire que l’on n’arrive pas à s’imaginer la douleur physique de quelqu’un, car la douleur physique est une chose inimaginable, et pire, impossible même à se souvenir. Je m’explique sur le sujet : lorsque j’ai accouché, jamais ne n’aurait imaginer que les contractions auraient pu être si douloureuses ; et maintenant – et même très peu de temps après, je n’arrive pas à me souvenir de la douleur que j’ai ressenti à ce moment-là, tout ce que je me souviens c’était que c’était douloureux.
Quant aux choses morales… ce n’est pas pour rien que l’on a inventé le mot : empathie, c’est que cela existe. Pour preuve : lorsque l’on va au cinéma – qui n’est finalement que de la fiction – et que l’on s’identifie aux héros des histoires, ou même que l’on rentre dans le jeu de l’action, n’éprouve-t-on pas les même émotions, l’amour, la colère, le dégoût, la peur, que si c’était notre propre histoire qui se déroulait sur l’écran ?
Il est évident qu’enfant, on ne peut pas se rendre compte ce qu’était au juste la guerre, parce que l’on n’a pas tous les éléments pour se forger une idée de ce que cela pouvait être. Mais en grandissant, en récoltant ici et là les témoignages, en regardant les documentaires, en ayant même, qui sait, subit une mésaventure similaire mais moins dramatique de ce qui s'était passé, on pourrait presque arriver à se mettre dans la peau de ceux qui ont vécu cela, il suffit de se mettre au diapason. Bien sûr, on n’aura jamais faim comme eux ont eu faim, on n’aura jamais peur comme eux peur, on n’aura jamais froid comme eux ont eu froid, on ne ressentira jamais la haine comme eux ont pu la ressentir, la déchirure de la perte brutale et injuste d'un parent, mais avec un effort, on pourrait quand même en être très proche…

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   vendredi, décembre 17, 2004
Qui ne se souvient pas de l’éclipse total de soleil, qui à eu lieu en 1999 ? Je dois dire que nous étions tous émoustillés de l’événement. Cette année là aussi, au même moment, maman avait décidé de faire repeindre les façades. Elle était même fâchée que le peintre n’était pas venu ce jour là continuer son travail, ne fusse que l’après-midi, quand tout était terminé, laissant en plan des travaux qui s’éternisaient.
Moi, j’avais acheté des lunettes spéciales – enfin, disons que j’avais acheté un bouquin qui parlait d’éclipse et dans lequel il y avait des lunettes – afin de suivre l’événement en direct.
Et tout cela pour rien, à cause de ma mère.
Tout d’abord, comme pour faire une nique à tout le monde, le ciel ne s’était pas mis de la partie : alors qu’il avait fait beau toute la semaine qui précédait le phénomène, celui-ci s’était couvert de nuages quelque fois tellement épais qu’il cachaient entièrement le soleil. Ensuite, je passais de l’intérieur à l’extérieur de la maison, écoutant la progression de l’événement à la télévision. Bien sûr, je n’avais nullement envie de regarder bêtement la lune arriver lentement sur le soleil – cela prenait quand même plusieurs heures, vu que je ne suis pas quelqu’un de patient et de placide.
Ce que j’en retiens, ce n’est pas – hélas – le fait de voir la couronne solaire, vu que j’en ai été frustrée, (je vais y revenir) mais bien l’étrange lumière qui l’avait précédé, et ce qui s’était passé juste après quand l’éclipse était finie.
C’était surtout la clarté, cette couleur mauve qui s’étendait sur le monde, étrange couleur que malgré tout je connais, car il arrive quelque fois qu’elle précède un coucher de soleil. Il ne fait pas encore sombre, mais toute choses change de couleur. Est-il bien utile de dire que les poules de maman avaient été perturbées aussi par le phénomène ? Une ou deux d’entre elles avaient rejoint le nichoir, tandis que d’autre hésitaient à le faire, comme si elles pressentaient que ce n’était pas l’heure pour elle d’aller dormir, ou qu’elles ne se sentaient pas fatiguées ?
Et ensuite, c’est lorsque la lune a quitté le soleil. Cela avait été si vite – alors que la lumière avait mis tant de temps à disparaître, que j’avais l’impression que le soleil avait été rallumé comme une ampoule électrique.
J’ai donc vu le début, j’ai vu la fin, mais je n’ai pas vu le milieu. Que s’était-il donc passé ? Comme je le disais plus haut, j’écoutais la progression de l’éclipse à la télé. Maintenant que j’y pense, cela avait du se produire drôlement tôt, au Canada, mais enfin, c’était quand même l’été, et le soleil était déjà levé chez eux aussi et comme elle avait eu lieu quelques secondes plus tôt là-bas, cela du bien sûr à la vitesse de rotation de la terre (25 km à la seconde à l’équateur) et la différence de latitude, je voulu me précipiter dehors pour voir le final. J’étais presque dehors lorsque ma mère m’appela. En râlant, je fis demi-tour, et elle me dit : regarde – elle regardait l’événement à la télé (stupide) – et elle me dit : viens voir. Lorsque je vis la raison pour laquelle elle m’appelais, n’ayant nullement envie de voir à la télévision ce que je pouvais voir en réalité, je voulu retourner dehors, mais il était trop tard : je ratais tout. J’étais furieuse, frustrée, car, de plus, le vent avait à ce moment là chassé les nuages et le soleil brillait de milles feux.
Je crois bien être la seule personne en bonne santé en Belgique – les aveugles exceptés – à avoir manqué l’événement, car même les gens qui travaillaient on eu le droit de s’arrêter pour cela. Lorsque j’y repense, se glisse toujours en moi un sentiment proche de la colère.
Si j’en parle aujourd’hui, c’est parce qu’au nord d’Arlon, à la sortie de la ville, sur le contournement, se dresse un monument, une espèce d’arbalète qui commémore le fait. Et lorsque je me suis rendu chez ma sœur aînée hier, je du immanquablement passer devant.

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   mercredi, décembre 15, 2004
Il y a très longtemps de cela, je devais avoir à l’époque 21 ou 22 ans, est passé à la télévision, sur ce qui était encore à l’époque antenne 2, un film de Zeffirelli, adapté de l’opéra de Verdi : « la Traviata ». J’aime beaucoup la musique de Verdi. Aussi, je l’avais copié sur une cassette vidéo. Je dois dire que la première fois que j’ai vu cette histoire, je n’ai pas arrêté de pleurer, surtout à partir de la fin du second acte. Ah ! Il faut que j’ajoute quand même que les paroles de l’opéra – parce c’était quand même de l’opéra – était traduite et sous-titrée en Français.
J’avais prêté la cassette à Isabelle pour qu’elle la regarde aussi, mais elle n’a pas encore eu le temps de le faire ; elle m’avait proposé de la reprendre, il n’y a pas si longtemps de cela, et je lui ai dit qu’elle la garde jusqu’à ce qu’elle l’ai vue à son tour.
Dernièrement, j’eu envie de revoir cet opéra. Bah, me dis-je, je vais voir si cela ne se trouve pas en meilleur état sur Internet ? Il faut dire aussi que dans cet opéra, il y avait des passages que j’aimais particulièrement et la bande de la cassette vidéo s’en ressentait aussi, parce que je les repassais souvent. Donc, je jetais un coup d’œil pour voir. Je trouvais l’équivalent de deux cd de Verdi, la Traviata, sous titré en espagnol, mais ça, je m’en foutais, à présent, je connaissais l’histoire. Et aussi d’une mise en scène de Zeffirelli. Parfait, me dis-je, c’est ce film.
Las ! Ce n’était pas le cas ; c’était carrément le tournage d’un opéra sur une scène de théâtre. De plus, dans le premier film, Alfrédo Germont, le héros masculin de l’histoire n’était pas mal de sa personne, tandis que l’autre, pardon, bien qu’il chantât très bien, ressemblait à un singe, tant au faciès qu’à la stature. De plus, contrairement à l’acteur précédent, il ne jouait pas bien du tout, si bien que le chanteur qui tenait le rôle de Giorgio Germont, le père du dernier, lorsqu’il chantait : « I miei figli, poiché soffrié », ce qui veut dire, mon fils, comme tu souffres, ben, il n’avait absolument pas l’air de souffrir ! Et lors du troisième acte, lorsqu’il devait montrer de la colère, il n’avait absolument pas l’air en colère ! Heureusement que la musique, au contraire, rendait bien la colère de l’homme éconduit ! Enfin, pour le reste, c’était quand même très bien.
Pour la petite histoire, cet opéra de Verdi s’est inspiré de la dame au Camélia d’Alexandre Dumas, et voici le résumé de l’histoire de l’Opéra en question : Lors d'un bal, Alfredo Germont rencontre la courtisane Violetta. Le coup de foudre réciproque ne semble déboucher sur rien de concret, mais le trouble s'installe chez Violetta. Quelques mois plus tard, Violetta et Alfredo s'aiment dans une villa des environs de Paris. Bientôt, le père d’Alfredo demande à la jeune femme de se sacrifier, sans rien dire à son fils, pour l'avenir de leur famille. En effet, la sœur de ce dernier devait épouser un garçon de bonne famille, et le mariage de celle-ci n’aurait pas eu lieu si son frère continuait à fréquenter une dame de mœurs légères. Ce dernier croit à la trahison de son amie. Lors d'une rencontre dans une salle de jeux, Alfredo l'injurie. Le jour du carnaval, Violetta reçoit la visite d'Alfredo. Son père lui ayant tout avoué, il vient se réconcilier et se faire pardonner. Mais la maladie a fait son oeuvre, Violetta meurt dans ses bras.

Ce que tu raconte à propos de l'interprète qui n'avait pas l'air de soufrir... Il faut dire qu'en classique et en opéra... Je ne suis pas un expert... Mais je peux te dire que des compilations, il en pleut et dans tous les genres. ça va des plus merdiques à l'excellence. Trop de compils prennent des enregistrements d'orchestre ou de troupe peu connues qui ne coûterons pas cher.

Tu peux demander au vendeur un enregistrement plus reconnu. Il saura sûrement te guider. Je ne connais pas très bien Verdi. Le choix d'étiquettes peux jouer aussi. Si ça doit rester dans la compilation "L'oiseau Lyre" m'avait beaucoup impressionné par sa qualité comparé à d'autres compil. Mais là il s'agissait d'une compilation baroque.
 
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   mardi, décembre 14, 2004
Il a fait froid, assez froid cette semaine. Disons même qu’il a un peu gelé. - 5 degrés centigrade, pour tout vous dire. Malgré la tenture qui partage mon couloir, je me devais de fermer la fenêtre de la toilette, celle qui sert aux allées et venues de mes chats. Lorsqu’il ne gèle pas trop fort, je veux dire, comme – 1 ou – 2, ça va, mais – 5 … Ça craint ! Aussi parce non seulement un courant d’air glacé se faufile dans ma maison, (et le mazout, bien que son prix ait diminué, n’est tout de même pas gratuit) – mais aussi parce l’eau de la toilette gèle !
Cela était déjà arrivé l’année passée. Enfin, il faut dire que cette toilette est tellement étroite que je n’y vais presque jamais ; c’est celle qui est à l’emplacement d’origine. J’en ai fait mettre une autre à l’étage, lorsque j’ai fait monter la salle de bain. (Bien que maman et une autre personne disent que ce n’est pas bien, moi je trouve que si, surtout si l’on est malade durant la nuit, vu qu’elle se trouve au niveau des chambres à coucher).
C’est Yvain qui se sert le plus de la « petite » toilette. Je m’étais donc décidé à fermer la fenêtre, et Yvain, qui y avait été, m’avait dit que l’eau dans la cuvette était gelé, et que l’on ne pouvait pas tirer la chasse. Or, je l’avais déjà fermé de quelques heures à ce moment là.
Cette nuit, bien que j’étais fatiguée, je ne me décidais pas à aller dormir. Je comptais y aller avant minuit, mais finalement, je surveillais l’échelle de téléchargement de ma connexion Internet – mes taux de transfert ne sont pas illimités – et j’attendais que ce que je téléchargeais arrivait au bout son téléchargement.
Vers une heure et demi du matin, environ, j’entendis brusquement venant du couloir un bruit extraordinaire, un bruit d’eau. Je me dis : c’est quand même pas un chat qui pisse en faisant autant de bruit ? - la litière est juste en face de la petite toilette. Je me levais pour voir ce qu’il en était. C’était la toilette : l’eau qui se trouvait dans le conduit de cuivre avait dégelé, et comme le mécanisme était gelé à l’intérieur du réservoir, l’eau s’était remis à couler sans « stop » et en sortait. Je me dépêchais a fermer l’eau par le robinet, mais le mal était déjà fait : la toilette était inondée et l’eau avait déjà envahie une partie du couloir. J’eu juste le temps de relever la tenture avant qu’elle ne soit touché par l’eau qui rampait dans sa direction. Puis j’attrapais le racloir et évacuais le plus possible l’eau par la porte arrière ; en effet, je ne me rend jamais dans mon jardin quand il gèle, qu’y ferais-je ? Et finalement, je du ramasser le reste avec le torchon.
J’ai quand même fait fondre la glace du fond de la cuvette en y versant un seau d’eau chaude ; pour le réservoir, c’est une autre histoire, je dois attendre que celui-ci dégèle complètement pour voir si tout refonctionne bien. Enfin, heureusement que je ne suis pas monté me coucher plus tôt, je n’ose imaginer ce que j’aurais pu trouver lorsque je me serais levée !

Pauvre Martine!
Prend bon courage... pas trop joyeux comme problème! Heureusement que tu n'étais pas au lit effectivement. L'eau c'est quand-même très ravageur l'air de rien!
Bonne nuit...
Werewolf
 
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   vendredi, décembre 10, 2004
Il y a quelque temps, je naviguais sur Internet en cherchant, bêtement, dans un moteur de recherche, des images sur Arlon. Je suis toujours curieuse de voir ce que les autres peuvent bien photographier !
Bien sûr, je suis tombé également sur celle que j’avais prise (hé, hé !), mais je suis tombé sur un site particulièrement intéressant, dans la mesure ou je ne l’avais jamais vu auparavant, et qui de plus existe quand même depuis un an ; or, je fait régulièrement des recherches sur ma ville. Le problème, c’est que c’est un site fait par un Suisse d’expression allemande. Donc, il fallait que je m’attaque à la traduction, bien sur. En fait, ce Suisse est féru d’histoire romaine, et comme Arlon et l’une des plus vieilles villes de Belgique, il est évident qu’il ne pouvait pas passer à côté.
Tout d’abord, il y a une photo des incontournables thermes romains, bien qu’à mon avis, il n’en reste vraiment pas grand-chose ! Je dois dire aussi que cet homme était un veinard, parce qu’il à pu enter directement dans le bâtiment qui protège ces vestiges, alors que nous, lorsque j’avais 12 ans et que nous avions été les voir dans le cadre du cours d’Histoire, nous n’avions plus les voir qu’au travers de vitres qui de plus étaient verdâtres d’humidité et souillées par les intempéries. Et je ne pense pas que cela s’est amélioré depuis – il faudrait que j’y retourne voir un jour, tiens ! Visiblement aussi, les vitres ont été remplacées par des grilles, à cause du vandalisme, sans doute !



Par contre, ce dont je ne me souvenais pas, bien que je l’aie visité à la même époque, c’est l’énormité de la tour romaine. Je me souviens que le professeur avait été chercher la clé dans un café juste à côté, et que nous avions dû descendre dans une cave. Était-ce parce que nous étions nombreuses, ou aussi était-ce parce que nous étions obligé d’écouter le professeur nous expliquer les différentes étapes et différentes murailles qui entouraient la butte de St Donat à différentes époques – chose qui m’ennuyait plus que ne m’intéressait, d’ailleurs, parce que j’étais derrière le groupe et comme j’ai toujours été la plus petite dans toute les circonstances de la vie, et encore maintenant, je ne voyais pas le tableau sur lequel était dessinées les différentes murailles. En tout cas, je n’avais pas conservé un souvenir impérissable de cette visite. Et le guide était tout fier de nous montrer une ancienne pierre arrachée à un monument funéraire ; et pour cela, il fallait descendre dans un trou qui s’arrêtait à la base de la muraille, et je dois dire que je trouvais cette pierre pas fameuse à voir.
Cependant, c’est incroyable ce que peuvent donner les photos !



D’ailleurs, il faut croire que les photos rendent mieux la magnificence des pierres sculptées que l’oeil humain : l’année dernière, ou peut-être déjà plus longtemps, je m’étais rendu avec Yvain au musé gallo-romain d’Arlon. La aussi, je trouvais que les pierres n’étaient pas terribles à voir, bien que paraît-il, ce musée et l’un des plus riches musées lapidaires de Belgique. Pourtant, je me disais bof ! Alors, que sont donc les autres ?

Il faut dire qu’il y avait, jusqu’à la rénovation de celui-ci, beaucoup de pierres sculptées qui « traînaient » dehors.



Je ne sais pas si on a réussi à les caser quelque part, mais en tout cas, si cela intéresse quelqu’un, voilà l’adresse du site du musée dans lequel on peut voir quelques belles réalisations romaines.

Bien qu’il soit écrit sur le site que le musée est fermé, je préciserais quand même que la page d’accueil n’est plus à jour, il est rouvert environ depuis un mois.

J’ajouterais quand même que dans ce musée, il n’y a pas que des pierres que l’on a trouvé ici et là dans Arlon – on en a encore découvert récemment, il y a peut-être trois ou quatre mois de cela, lors de la construction d’un bassin d’épuration dans le bas de la ville – mais on y trouve aussi des squelettes, ainsi que des maquettes d’outils de l’époque et des objets de la vie courante.

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   mercredi, décembre 08, 2004
Je ne suis pas athée, mais je ne suis plus non plus très croyante. Je me dit souvent qu’être athée est aussi une religion dans l’autre sens : la croyance en la non existence d’un Dieu. Une sorte de. Seulement, que l’on soit athée ou croyant, il faut se respecter l’un l’autre : les croyants doivent respecter la non croyance des athées, et ne pas les mépriser, et ceux qui ne croient pas n’ont pas à se moquer de ceux qui croient. Et personne n’a le droit de faire du prosélytisme, quelque soit ses opinions.
Les religions confortent les gens dans leurs croyances. Ma sœur, qui elle a rejeté au loin la religion, pose un regard aigre sur les religions, surtout les religions monothéiste. Elle a dit : les religions ont été conçue pour asservir la femme à l’homme. Je dois dire que son opinion n’est pas dénué de bon sens : la religion catholique, bien qu’elle ait évolué dans le bon sens, n’est pas sans connotation misogyne, et que dire alors de l’Islam ? Tout du moins par certains de ses aspects.
J’ai une autre opinion sur les religions, moins pessimiste. Pour moi, une religion – ou secte, c’est simplement l’idée qu’un jour un homme c’est fait de Dieu, du bien et du mal, et qu’il a imposé à une multitude d’autre personne. Pour affirmer cela, je m’appuie sur cette logique : si Dieu parlerais à certain « élus », premièrement, le message serait le même dans la bouche de chacun de ses prophètes – ce qui apparemment n’est pas le cas; il ne s’appellerait pas Yahvé à une place, Jéhovah ici, ou encore Allah ailleurs. Moi, je ne change pas de nom, lorsque je m’adresse à des personnes différentes, à plus forte raison si je veux faire passer un message ! De plus, lorsque l’on regarde un peu plus attentivement certains écrits, il se trouve que Dieu est affligé des défauts diablement humain ! Par exemple, dans l’épisode de Caïn et Abel : pourquoi préférer Abel à Caïn, alors que finalement, Caïn était tout aussi méritant – si pas plus qu’Abel ? C’est beaucoup plus facile de garder des moutons que faire pousser des légumes, d’autant plus que cette histoire se passe dans une contrée qui ne me semblait guère fertile. Dieu n’a-t-il pas fait preuve de partialité : je préfère la viande, donc je te méprise, toi qui m’offre des légumes ? Si je reprenais la bible, je pourrais certainement trouver un tas d’autres exemples, et certainement un tas de contradictions. Tiens, en voici une qui me vient à l’esprit : Il est dit quelque part dans la bible que c’est Satan qui soumet l’homme à la tentation, or, dans le « notre Père », il y a cette phrase : « Et ne nous soumets pas à la tentation »… Alors ?
Ceci dit, loin de moi d’affirmer qu’il n’y a pas un être suprême au dessus de nous ! Je n’en sais rien, et personne, en fait, n’en sait rien. Je dis simplement que personne n’a le droit de dire qu’il possède la vérité, si Dieu existe, lui seul la possède.

BOnjour Martine! Pratique les commentaires... Vision intéressante de la religion... Sauf que le "Ne nous soumet pas à la tentation... Veux dire je crois: Épargne nous de l'influence de Satan.
C'est comme ça que je l'ai toujours interprété du moins.
D'ailleurs ça enchaîne sur... Et délivre nous du mal.

Je te dis ça... Je suis croyant mais pas pratiquant.
 
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   mardi, décembre 07, 2004
Je croyais avoir arrangé ma boîte à commentaires, et que tout allait pour le mieux. Quelle erreur ! Werewolf m’a signalé que cela ne marchait pas, qu’il fallait être inscrit à blogger pour pourvoir y mettre un mot. Je ne comprenais pas pourquoi cela ne marchait pas, parce que moi-même j’avais expérimenté la chose et pour moi, il n’y avait aucun problème. Aussi, comme Isabelle était passé chez moi – elle a de nouveau des problèmes de connexion Internet, et que je lui montrais que quand il s’agissait de moi, tout marchait à merveille, elle me dit que c’était peut-être parce que j’étais connecté sous mon pseudo, quoi de plus normal, vu que c’est moi qui écrit mon blog ? Elle me dit de me déconnecter, et en effet, cela ne fonctionnait plus. Aussi, elle me dit d’aller dans mes « settings » pour y faire un changement. C’était cela ! Si l’on veut poster un commentaire, il suffit de cliquer sur «or post anonymously », et tout cela fonctionne !
Cependant, tout cela est très joli, mais je ne crois néanmoins pas que j’y aurais beaucoup de commentaires, pour la simple raison que j’ai très peu de lecteurs fidèles. De plus, je ne verse pas dans le journal introspectif, et donc, cela n’attire pas énormément de monde. L’introspection, me semble-il, attire énormément de monde.
De toute manière, je n’ai nullement de me lancer dans ce genre de considération, parce qu’à ce moment là, on fini par parodier « l’être et le néant » de Sartre, et cela donnerait même le cafard au point qu’on aurait envie de se mettre la corde au cou.
Je ne cache pas qu’il m’arrive de faire de l’introspection ; je me dis : qu’est-ce que je fait donc sur terre ? Et que se passerait-il si j’étais morte ? Ou : comment serait-ce si je n’était pas née ? De toute manière, à moins d’être un débile profond, tout le monde s’est posé ces questions une fois ou l’autre dans la vie. Questions évidement qui n’auront jamais de réponses ! Il vaut mieux ne pas trop y penser, car, finalement, si on sait ce que c’est vivre, on ne sait pas ce que c’est la mort.

Voyons voir... Là ça semble fonctionner... Sartre! La seule ouevre que j'ai lu de lui c'était un livre de poche qui contenait 2 histoires. Les Mouches et Huis Clos. Les mouches j'avais trouvé ça moyen même plate. Par contre... Huis Clos c'était génial. Imaginer que l'enfer il n'y a pas de feu, mais on emferme quelques personnes au caractères incompatible entre eux... Génial!! On se forme alors son propre enfer... Ton histoire était dans quel genre? TU pourra me répondre par email si tu veux...

Alors ça fonctionne maintenant.. Woopi!
 
Non, je n'ai pas lu l'être et le néant, mais j'en ai lu des extraits à l'école.

Comme j'étais une élève attentive, voilà la philosophie que j'ai cru compendre : les choses existent parce que quelqu'un leur donne un nom, si elle n'avait pas de nom, leur existence serait inutile.

Le résumé est peut-être simpliste, mais c'est ce que j'en ai retenu.
 
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   lundi, décembre 06, 2004
Mercredi, donc, vers 8h 30 du soir, le téléphone sonne. C’était ma mère. Elle me dit : je ne suis pas tranquille, Minou n’est par rentré. Il est venu manger, puis, je pensais qu’il allait aller dormir comme d’habitude au salon, et je suis partie enfermer les poules. Lorsque je suis revenue, j’ai vu que la porte du salon était fermée, et qu’il était sorti. C’était vers 4 heures, et maintenant, j’ai beau l’appeler, il ne vient pas. Bof, lui dis-je. C’est qu’il n’a pas envie de venir, il est peut-être occupé à jouer avec un mulot, il va sûrement revenir… Et puis, qu’est-ce que je pourrais faire, d’ici ? Rien.
Bon. Et comme je regardais la télé en même temps, je raccrochais assez vite. Le lendemain, je me rappelais de cette histoire, et je sonnais à mon tour chez ma mère pour voir si son chat était rentré. Non, me répondit-elle. Je n’en ai pas dormi de la nuit. J’ai même été voir jusqu’à la pointe, mais je n’ai rien vu. Et tu sais, il y avait plein de chats dans le quartier, et on n’en voit plus un seul. Eh bien, lui ais-je répondu, à mon avis, comme il est assez curieux, il en a peut-être suivit un, et il s’est un peu perdu, il reviendra plus tard. Mais, me répondit ma mère, c’était déjà au début de la semaine que tous ces chats sont partis. Et on en resta là
Vendredi, comme je rentrais, je lui demandais si son chat était revenu. Non, me dit-elle. Tu ne veux pas aller demander chez les voisins si il ne se trouve pas enfermé dans une cave ? Non, lui répondis-je, parce que s’il y avait été enfermé, il aurait miaulé jusqu’à ce qu’on l’entende. Et puis, c’est toi qui habites ici, pas moi ! (Maman essaye toujours de faire faire aux autres ce qu’elle n’aime pas de faire). À ce moment, Ludovic, le fils des voisins d’en face et qui est plus jeune que mon fils, mais qui son copain sonna à la porte pour que mon gamin vienne jouer avec lui. Alors, il demanda ce que j’avais refusé de faire. Mais, dit Ludovic, j’ai vu un chat comme le votre écrasé le long de la route quand je suis monté avec le bus, mais aujourd’hui, il n’était plus là…
Et même, comme il faisait noir, nous sommes allés voir au Ludovic avait vu le chat écrasé, mais il n’y avait plus rien, pas de poils, pas de sang, rien qui puisse confirmer ses dires. Je m’étonnais quand même : non pas que je ne croyais pas Ludovic – pourquoi aurait-il inventé cela ! – mais du fait que le chat avait été enlevé presque aussitôt, alors que souvent, il a des cadavres d’animaux qui restent à pourrir le long de la route : l’année passée, j’ai vu un renard pendant au moins un mois pourrir le long de cette même route, tant bien que finalement, ma sœur avait téléphoné à la commune pour qu’on enlève le cadavre. Je réfléchissais à cela, et j’entrevis la solution : c’était le jour du ramassage des immondices, et peut-être que les éboueurs l’on ramassé et l’on emmené avec eux dans le camion poubelle.
Maman refuse d’accepter cette explication : elle refuse de croire que le chat est mort – bien que moi, je le crois volontiers, je le voyais souvent aller et venir dans la direction ou il était censé mourir, et elle préfère penser qu’il a suivit quelqu’un et qui y est resté chez la personne qu’il à suivit. Je crois qu’elle se sent coupable d’avoir fermé la porte du salon, et d’être partie dehors sans fermer la porte arrière de la maison.
Mais il ne faut pas croire qu’il n’y a que nous qui savons qu’il ne reviendra plus : le chien à refusé de manger vendredi, - il s’entendait à merveille avec le chat et ils jouaient souvent ensemble – et samedi, pendant que je coupais du bois, comme je l’avais délié, il errait comme une âme en peine, et il semblait chercher partout après le chat, puis il venait se réfugier dans mes jambes, ce qu’il ne fait jamais d’ordinaire lorsque je le laisse libre à la cave. Même la vieille Mistrigri de ma mère se rend compte qu’il n’est plus là : elle recommence à ne plus manger n’importe quoi, alors que lorsque Minou était là, par soucis de rivalité, elle ne faisait plus la difficile…

donc c'est isabelle et ceci est un essai mais elle est triste cette histoire il était trop gentil ton petit chat
 
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   dimanche, décembre 05, 2004
Finalement, passer un jour sans écran, ça soigne ! Mes quelques lecteurs fidèles ont pu constater que se trouve au bas de chacun de mes billets une boîte à commentaires… Ce n’est pas moi qui l’ai installée, c’est Isabelle.
Il faut dire que lorsque j’ai vu le résultat, je ne l'ai pas trouvé terrible, et moi qui n’y connais pas grand-chose en informatique, je me suis plongé dans les « templates » pour modifier la chose. Je ne vous cache pas que j’ai passé plus de deux heures à essayer d’arranger l’affaire. Enfin, c’est fait… Bien que je ne sois pas entièrement satisfaite du résultat, c’est quand même un petit peu mieux…

Je comptais raconter une histoire pas gaie du tout qui s’est passé ce week-end, enfin, dont la genèse s’est passé mercredi, mais ce sera pour demain !


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   vendredi, décembre 03, 2004
Lorsque je vivais chez mes parents (je devais avoir autour de 20 ans), je m’étais fait une amie qui adorait la musique. C’est d’ailleurs à cause de cela que je l’avais connue. Bien sûr, elle ne brillait pas par son intelligence, mais j’ai connu pire, et de plus elle était très gentille. Du moins, c’est ce qui m’avait semblé lorsque je m’étais lié d’amitié avec elle.
Je l’ai rencontré aujourd’hui à Arlon. Je l’avais rencontré déjà dans la rue des déportés, il y a quelques années de cela, et à cette époque, elle habitait justement dans cette rue là. Mais dans mon souvenir, mon fils devait être déjà né, il devait avoir un an ou deux. Elle m’avait dit à ce moment là qu’elle travaillait au home Marie-Christine (ce home à fermé depuis, parce qu’il n’était pas aux normes de sécurité et pour les exigences spécifiques pour les maisons pour personnes âgées). Je lui avais demandé si elle s’y plaisait, parce que le père de mon fils m’avait dit que ni le personnel, les hôtes de cet établissement n'étaient bien traitées.
Je l’ai rencontré aujourd’hui, après bien des années ! Comme je l’interrogeais, elle m’expliqua qu’elle avait aussi travaillé à Namur, mais qu’elle se faisait renvoyer parce qu’elle n’était pas « rentable ». Comme je lui demandais pourquoi elle n’avait pas essayé de postuler au home soir paisible, elle m’avait répondu qu’elle n’avait pas le diplôme. Aussi, je lui demandais ensuite si ça ne l’intéressait pas de reprendre des études pour cela, et qu’elle pourrait éventuellement se renseigner pour voir si elle ne pourrait pas continuer à toucher du chômage, mais elle me dit qu’elle en avait marre, qu’elle n’avait plus envie de lutter, qu’elle laissait les choses telles qu’elles étaient. Je l’ai quitté devant la boucherie, parce qu’il était midi et que je devais rentrer à la maison pour préparer à dîner, et, en chemin, je me demandais si quelque part elle n’était pas déprimée. Comme c’est vendredi, je ne me fatigue pas : c’est un plat surgelé dans la casserole – lasagnes ou autres pâtes, parce que mon fils adore – et c’est bon.
Je me suis dit que je devais faire quelque chose pour Marylène, qu’elle ne devait pas rester toute seule chez elle, et comme elle m’avait dit en chemin qu’elle allait chercher du pain, et qu’elle n’y avait pas encore été au moment au je marchais en sa compagnie, je repris mon manteau et l’attendis devant la boulangerie ; heureusement pour moi, elle ne s’était pas encore évaporée dans la nature. Je lui dis donc que si elle se sentait seule, elle pouvait toujours venir chez moi, que ma porte lui était ouverte.

Petite note, qui n’a rien à voir avec ce qui précède : il est possible que je n’écrive pas dans mon journal avant mercredi, dès que je regarde l’écran de mon ordinateur, cela me donne mal à la tête ! Je dois donc lever le pied, je préfère cela que me bourrer d’anti-douleurs.

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   jeudi, décembre 02, 2004
En regardant la « newsletter » de mon quotidien, je lu ce titre : Philippe ose, la Flandre s'oppose.
De quoi s’agissait-il donc ? Tout ce que j’ai cru comprendre, c’est qu’il avait dit quelque chose qui n’avait probablement pas plus aux Flamands, mais ne savais pas quoi au juste. En tout cas, tout ce que j’avais compris, c’est qu’il y eu une polémique à propos de ses paroles. Parce que Philippe est Prince de Belgique, et héritier du trône de surcroît, il n’aurait pas du, d’après les uns, dire ce qu’il avait dit : en effet : le roi n’est pas responsable de ses paroles, tout ce qu’il dit en ce qui concerne la politique doit être approuvé par les ministres. D’autres disent justement que, tant Philippe n’est pas roi, il a le droit de s’exprimer. Bref, toute cette littérature ne m’appris pas grand-chose sur ce Philippe avait dit, mais la presse faisait tant d’affaire que je me demandais bien ce qu’il avait pu dire. Je ne savais même pas qui il avait attaqué, et cela semblait tellement grave… Isabelle qui était venu cet après-midi chez moi m’avait demandé de quoi il s’agissait au juste, et je lui avait répondu que je n’en savais rien, et que je brûlais néanmoins de savoir de quoi il s’agissait.
Isabelle partie, je revins sur Internet, et commençait à faire des recherches avec Google sur ses paroles en questions. Mais je ne trouvais rien, rien de plus que ce que je ne savais déjà. Aussi, je m’y pris autrement, et fis une recherche, carrément, sur le site du quotidien en question, en tapant simplement ces mots clés : Prince Philippe. Le site me donna sagement les articles le concernant, en commençant par les plus récents. Finalement, je trouvais les fameuses paroles qui engendré tant de polémique…. Ce n’était pas grand-chose, moi-même, j’aurais dit la même chose, personne ne me serait tombé dessus à bras raccourcis, ce qui prouve bien que lorsque l’on veut nuire à quelqu’un, tout les prétextes sont bons. Voilà ce qu’il a dit, et je dois dire que je suis tout à fait d’accord avec lui, bien que malgré tout, il y a été un peu « fort » sur la fin ; vous trouverez ici un copié collé de la relation du journaliste qui a rapporté les propos : « Séduit, par la détermination du Prince à défendre une vision fédérale du commerce extérieur, j'ai pu poursuivre la discussion avec lui sur ce thème, sur la recommandation de son conseiller. C'est alors qu'il m'a confié que s'il reconnaissait la richesse de la régionalisation qui permet à chacune des régions de se déployer de manière autonome, il estimait que lorsque la Belgique se présentait à l'extérieur, elle devait d'exprimer d'une seule voix. Sinon, ajouta le Prince, c'en serait fini de la Belgique et qui touche à la Belgique me touche. Puis, le Prince m'a dit qu'il y avait dans notre pays des partis comme le Vlaams Belang qui sont contre la Belgique, qui veulent déchirer notre pays. Ils auraient alors à faire à moi; ne vous y trompez pas: je puis être dur quand il le faut, a conclu Philippe.
Voilà, voilà ces simples paroles qui maintenant divisent les belges ! Car il ne faut pas s’y tromper, le journal à ouvert même un forum de discussion à se sujet, et en lisant certains commentaires, je me dis qu’il y a des gens qui ont vraiment l’esprit étroit. Je ne comprends pas comment on peut retourner les paroles de Philippe contre lui-même, est-il donc impossible de comprendre que cet homme aime son pays, aussi bien les néerlandophones que les francophones, et qu’il n’a pas envie de voir le pays être déchiré simplement pour une question de langue ? Bien des méchantes langues ont dit : il dit cela parce qu’il défend son bifteck ! Allez donc ! Bien sûr, l’état lui a alloué une somme telle qu’il gagne en un an ce que je gagnerais en toute une vie, et cela, c’est de la jalousie pure. Mais moi aussi, j’aime mon pays, même si je ne suis pas une princesse, et je n’ai nullement envie que la Belgique se sépare en deux ! Bien que quelque part, je comprenne certains Flamands qui haïssent les francophones de Belgique : l’attitude de certains d’entre eux est le mépris, mépris de ce qu’il sont et surtout de la langue qu’il parlent : combien de fois n’ais-je pas entendu : cela ne sert à rien de connaître le Néerlandais, parce qu’il n’y a qu’en Belgique et en Hollande que l’on parle le Néerlandais ! Il vaut mieux apprendre l’Anglais, cela sera plus utile… Or, réaction normale, tout le monde à tendance à détester ceux qui vous méprise, à plus forte raison que le’ mépris n’est pas justifié… J’estime moi, au contraire, que, maintenant, et surtout maintenant, tous les Belges devraient connaître la langue de l’autre, simplement par respect de son concitoyen. J’irais même jusqu’à regretter que je n’ai pas continué à apprendre le néerlandais, et que maintenant, j’ai quasiment tout oublié.
Enfin, toute cette affaire, j’espère qu’elle sera éphémère. Ah ! J’oubliais : le « Vlaams Belang » est un parti d’extrême droite flamand, et évidement, il n’est pas composé de gens parfaitement innocents…

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   mercredi, décembre 01, 2004
Comme le mois vient de commencer, je me disais que Werewolf avait probablement mis sa nouvelle émission radio en ligne. Mais, tout d’abord, avant, je voulu jeter un coup d’œil à son billet du jour. Comme je regardais les titres de ses billets, de me dis : tiens, aurais-je oublié de lire les billets de Werewolf ? Eh oui, j’avais bel et bien oublié de lire ses billets à partir de dimanche ! Ça va mal dans ma tête, me suis-je dis. Et c’est pour cela que lorsque j’allais sur Internet, j’avais l’horrible impression, alors que je visitais mes pages habituelles, que j’oubliais de faire quelque chose… Tout en me demandant bien ce qui me manquait… Ce qui est d’autant plus grave qu’il n’y a pas une journée qui ne passe sans que je pense à lui ! Bref, j’avais bel et bien oublié de lire ses billets précédents, mais évidement, je me suis rattrapé ! Et comme il parlait de spywares et de ad-Aware, j’ai suivis, en quelque sorte son conseil : j’ai fait une mise à jour du mien.
En regardant l’introduction de sa page de son émission radio, je ne pu m’empêcher de penser aux affiches qui se trouvaient attachées à des valves dans la boucherie de mon enfance : en effet, souvent, elles restaient accrochées alors que l’événement qu’elles signalaient était passé. Bien que la suite de la littérature de Werewolf est d’actualité !
Werewolf dit souvent qu’un océan nous sépare… Ce que je trouve extraordinaire, avec Internet, c’est que j’entends sa voix grâce à son émission Radiologie. Et c’est à ce moment là que je m’émerveille, parce que justement, un océan nous sépare… Même si quelquefois je regarde des émissions en direct qui se passent aussi de l’autre côté de l’océan (comme par exemple, lorsqu’il y avait eut le « Mondial » à Mexico, ou l’attentat à New-York contre les tours), je trouve que ce n’est pas la même chose !

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