Une vie si tranquille  

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Dans les petits villages, les petites villes, il ne se passe jamais rien...
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   lundi, janvier 30, 2006
On fête les 250 ans de la naissance de Mozart. Au début, ah ? Mais cela n’allait pas plus loin. Maintenant, on ne fait que de parler de ça à la télé. Je dois dire que cela commence à me rebattre les oreilles.
Et de dire : il n’y a que Mozart qui a passé à travers le temps ! Et il n’y a que Mozart qui se trouve sur les mélodies de GSM. Je rêve !
Il m’est arrivé d’entendre un extrait des quatre saisons sur le téléphone d’un passant, et moi-même, sur le mien, j’ai « badinerie » de Jean Sébastien Bach.
Ce qui m’agace aussi, c’est que tout cela donne l’impression qu’il n’y a que Mozart qui vaille la peine d’être écouté, que les autres compositeurs ne sont que des plaisantins à côté de son génie ! Je ne dis pas : Le fait qu’il ait déjà composé un concerto à l’age de 6 ans est en soi magnifique ; mais il devait être ce que l’on appelle maintenant des « surdoués » - quoi que maintenant, il ne faut plus dire « surdoués » mais « enfant précoce », ce qui est parfaitement ridicule, parce que l’un n’est pas synonyme de l’autre – et les personnes de ce type-là forcent l’admiration ou l’envie.
Tout cela n’est après tout qu’une question de goût : je n’ai pas spécialement d’affinité pour Mozart, ce qui ne m’empêche d’aimer la marche truque, la messe du couronnement, et l’opéra : la flûte enchantée ; mais je préfère la musique de Vivaldi.
Et tant bien même : lorsque l’on à affaire à de grands compositeurs, on ne peut pas leur mettre un « score » en disant que celui-ci est plus grand que celui-là, ils se valent tous, chacun dans son genre.

Hein!? Ceux qui pensent qu'il n'y en a que pour lui... Bon c'est vrai que c'est un de mes grand compositeur aussi. Mais chaque compositeur a son style. Pour penser aux grands orgues à tuyau Bach ou Handel font très bonne figure! Mozart représente la joie de vivre et Beethoven la lourdeur. Mais il y a des nuances dans tout ça! S'il n'y en a que pour Mozart on peux aussi accuser les médias! Orf a ses heure de gloire pour le diable ces temps-ci... On repassera pour Chopin... Jusqu'a ce qu'une pub ne le récupère :)
 
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   jeudi, janvier 26, 2006
Sacré maman !

Hier, je reçois un coup de fil : elle voulait que je regarde l’émission à RTL TVI « jour après jour », qui traitait des pertes de mémoires. Elle me dit : cela parle de la maladie d’ Alzheimer, comme toi et moi nous oublions tout ! Puis elle me dit que les carreleurs avaient déjà fini de carreler dans la maison de ma sœur.
Lorsqu’elle eut raccroché, je grognais à l’adresse de mon fils : si elle perd la mémoire, c’est parce qu’elle ne dort pas assez et qu’elle est fatiguée, et moi, c’est parce que j’ai des soucis !

Aujourd’hui, un autre coup de téléphone : elle me demandais si je n’avais pas été acheter des pistaches à l’Aldi. Tu ne te rends pas compte, la distance de l’Aldi de chez moi ? Lui demandais-je. Mais elle ne m’écoutais pas et continuais sur sa lancée : il y a des pistaches qui ont été retiré du commerce parce qu’elle contenait du …. (là, je dois dire que je n’ai pas fait fort attention on nom barbare qu’elle lisait dans le journal et donc je n’ai pas retenu le nom). Elle insistait : et tu n’as pas acheté des pistaches de la marque … (même raison que plus haut, je ne faisais pas attention à ce qu’elle me disait). Mais non, lui dis-je, il y a des mois que je n’ai plus acheté de pistaches ! Ah bon, me dit-elle.

Puis elle m’annonça que quelqu’un du village était tombé mort devant ses petits enfants. Après avoir débattu de cela, elle me dit : tu sais qu’ils ont déjà fini de carreler ? Mais oui, lui dis-je, tu me l’avais dit hier ! Hier ? Je t’avais téléphoné hier ? Pourquoi est-ce que je t’avais téléphoné ? Pour me dire que je regarde l’émission de Jean-Luc Delarue ! Ah oui, me dit-elle. Tu as regardé ? Oui, un peu, parce que j’étais occupé à autre chose ! Et puis, après avoir encore un peu parlé de ce sujet, elle raccrocha.

Mon fils rentra de l’école un peu après. Je lui racontais le coup de fil de ma mère, tout en rigolant : d’après elle, c’est moi qui perd la mémoire !

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   lundi, janvier 23, 2006
En éliminant le courrier non-sollicité d’une de mes boites email, surtout celui qui vient des Amérique, je suis tombé sur cette phrase « ejaculate like a porn star ». Je me suis dit « ben tiens ! »
Et tout de suite après : Ce dois être mauvais pour la santé !

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   vendredi, janvier 20, 2006
Par un beau dimanche de septembre, un motard s’est arrêté devant moi et m’a demandé si je ne connaissais pas l’adresse de quelqu’un. Je me suis souvent demandé s’il la trouvé, depuis : il ne m’avais dit que son prénom ; il m’avait expliqué qu’elle (car c’était une fille) venait d’acheter la maison tout récemment (or, je ne sais pas quelle maison du village avait été à vendre et vendue : c’était l’année de la mort de mon père, et celui-ci venait justement de mourir ; donc, les transactions immobilières dans mon village étaient le cadet de mes soucis).

Je lui avais alors demandé le nom de la rue ; et il m’avait répliqué à cette question que la fille en question lui avait dit qu’il trouverait facilement, qu’il n’y avait qu’une rue dans le village.
Je dois dire qu’en moi-même, j’avais été indignée de cette réponse, et j’avais traité en moi-même cette personne que je ne connaissais pas d’imbécile : Je me suis pensé tout d’abord qu’elle n’avait jamais été plus loin que de sa maison et l’endroit ou elle travaillait et faisait ses courses, mais par après, je me suis dit qu’elle n’avait peut-être pas envie de voir le gars débarquer chez elle.

Quoi qu’il en soit, mon village n’a pas qu’une rue, et je dois dire même qu’il est assez étendu. Bien sûr, c’est un petit village, et sa configuration fait que des rues, il n’y en as pas beaucoup (pas moyen de s’y perdre, pour un étranger, même en temps de brouillard extrême) mais suffisamment que pour devoir donner son adresse lorsque l’on veut inviter quelqu’un qui n’est jamais venu chez soi.

Hier matin, et longtemps encore dans l’après-midi, je me suis attaqué à un puzzle gigantesque : à l’aide des fichiers temporaires, j’ai reconstitué la photo satellite de mon village.

Et quoi que mon fils en dise : « tu as mis tout ce temps là pour refaire l’image ? » ce n’était pas si facile : il fallait d’abord s’arranger pour localiser le village (et effacer à fur et à mesure les fichiers temporaires qui ne me concernaient pas (je suis passée par plusieurs pays et plusieurs étapes pour pouvoir capter toutes les photos) ; de plus, vers la fin, je n’en trouvais pas certaine et j’ai du recommencer pour finir mon puzzle ; et même, bien que je connaisses très bien la topographie de mon village, ce n’est pas encore si facile de reconstituer toute l’image. Il faut dire qu’elle est constituée au moins de 50 images, l’air de rien.



Je dois dire que j’ai de la chance : mon village est dans une zone ou le satellite donne des images assez précises; par exemple, pour Bruxelles, ce n’est pas le cas.

Et l’image que l’on peut voir ici, c’est une version rétrécie de mon travail original : en effet, l’original prend plus que toute la largeur de l’écran, ce qui aurait donné des difficultés graphiques à mon blog.

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   jeudi, janvier 19, 2006
Depuis plusieurs jours, déjà, c’est le salon de l’auto à Bruxelles. C’est la folie ! Je n’ai pas eu, l’impression, les autres années, que l’on faisait autant d’affaire à ce sujet que cette fois-ci. Ce qui a attiré surtout mon attention, c’est certaines publicités, à la télé qui soit m’énervent, parce qu’elles sont incompréhensibles – enfin, parce que je ne vois absolument pas le rapport avec la voiture en question et ce qui se déroule durant le spot – soit parce qu’elles sont tout simplement odieuses. Pire encore, ce sont celles-là que mon fils préfèrent !
Aujourd’hui, contrairement à mon habitude, j’écoutais la radio, pendant que je faisais des manipulations d’image. Et évidement, en plus des publicités pour les soldes (je me demande vraiment pourquoi les magasins s’ingénient à faire de la pub à ce sujet, vu que tout les magasins font les soldes en janvier) il y en a bien évidement pour les voitures.
Même si il y en a dans le style de celles que je trouve odieuses à la télé, radiophoniquement parlant, elles sont adaptées à l’oral et beaucoup moins méchantes, ce qui fait qu’elles sont surtout très bêtes et celles-là me font bien rire.

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   mercredi, janvier 18, 2006
Je regardais, hier, une émission appelée : Il paraît que…

Cette émission touche à des sujets variés, un genre de « info – intox ». Mais aussi, elle démontre que, quelque fois, le cinéma n’est que du cinéma, que certains « effet spéciaux » ne sont que des effets spéciaux, que la situation des certaines scènes de film ne pourraient jamais arriver dans la réalité.
Elle touchait hier ce sujet-là : il parait que nous avons tous un sosie de part le monde. C’est vrai que l’on voyait un faux Elton John, une fausse Élisabeth Taylor, un faux Saddam Hussein un faux Schwarzenegger, et un même d’autre personnage que je ne connaissais pas.
Mais aussi… Un faux roi Albert et une fausse princesse Mathilde ! Pourtant, bien qu’ils leurs ressemblaient très fort, je me disais néanmoins qu’il y avait dans chacune des deux personnes des détails qui faisaient qu’on pouvaient les distinguer : le « faux » roi me semblait avoir un visage plus rond, et surtout des cheveux blancs comme neige, alors que notre roi a les cheveux poivre et sel, et la « fausse » princesse Mathilde me semblait plus petite et les traits de son visage me semblaient plus durs. Et elle n’avait pas le même sourire.
Le pompon, c’est qu’ils se promenaient l’un à côté de l’autre sur la grand-Place de Bruxelles, et les touristes les abordaient comme s’ils étaient réellement les membres de notre famille royale ; et ceux-ci répondaient comme si c’étaient réellement eux. Ce qui fait qu’en fait, les touristes étaient victimes d’une mystification. Peut-être que de retour chez eux, ils seraient fiers de raconter à leurs proches qu’ils avaient parlés à l’une de nos majesté, mais néanmoins, je ne trouvais pas cela fort chouette.
Et une brave Française de dire encore bien : Vous ne verrez pas Chirac se promener comme ça dans les rues. Et le faux roi de répondre : attention, il faut savoir que nous nous n’avons rien à nous reprocher !
Hoooo ! N’ais-je pu m’empêcher d’émettre lorsque que j’entendis cette réplique.
Et par la suite, dans le reportage ; l’homme disait « on essaye toujours de conserver un certain respect de la famille royale, on ne veut pas abuser de cette ressemblance ».
Hum !! Me suis-je pensé. Ce n’est pas le roi qui aurait émis une opinion pareille vis-à-vis de son homologue français, d’autant plus que le roi, s’il a encore le droit de penser, n’a pas le droit de dire ce qu’il pense (il y a eu assez de bazar lorsque le Prince Philippe avait dit quelque chose qui n’était même pas une opinion, mais simplement un fait, alors que lui-même, même s’il sera un jour le successeur du roi, n’était en rien actuellement concerné par le règne).
Et jouer à ce petit jeu, n’est-ce pas quelque part, quand même, manquer de respect vis-à-vis de la personne à qui l’on ressemble, si l’on reste dans la mystification ?

Moi j'y qu'on a un sosie quelque part. Surtout depuis que par un bel été sur un terrain vague ou j'allais voir un feu d'artifice. Je me tourne vers un Gars... Heille! Salut Pierre! Cibole ça fait un ptit bout déjà. Je ne pensais pas que tu viendrais voir les feux d'ar...

Il me regardait telement surpris...

C'est pas toi?!

Faut dire qu'il avait une apparence identique, même lunettes la même peignure... Sauf qu'après lui avoir expliqué et il a trouvé ça amusant ... Je me suis dis que le vrai n'aurais probablement pas acheter ce genre de chandail... mais il lui ressemblait!
 
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   vendredi, janvier 13, 2006
Je me suis lancée dans la grande aventure de la scarlet Box. C’est un système de téléphone qui fait que, à l’aide de cet appareil, au lieu de devoir payer séparément l’abonnement du téléphone, les communications téléphoniques et la connexion Internet, et bien, tout cela, je le paierais en un seul bloc ; et tout cela pour un prix forfaitaire.
A ce sujet, j’ai bien du mal à faire comprendre à ma mère que, depuis que je suis sur l’Adsl, je paie aussi la connexion Internet par forfait, parce qu’auparavant, lors d’une connexion avec un modem classique, cela coûtait la peau des fesses.
Il faut dire qu’Isabelle m’avait souvent parlé de cette solution, au sujet de l'Adsl, mais je renâclais : à cette époque, un modem pour ce type de connexion Internet coûtait aussi relativement cher : en effet, depuis, je pense qu’il coûtent maintenant environ le quart de ce qu’il coûtaient il y a environ 6 ans.
C’est par hasard qu’Isabelle est tombé sur un site qui offrait un modem Adsl gratuitement si on s’abonnait chez eux ; et comme à l’époque, les modems étaient encore très chers, eh bien, je n’ai pas hésité une seule seconde, j’ai adhéré à cette solution. J’ajouterais qu’à cette époque, Isabelle venait encore chez moi, car elle n’avait plus de ligne de téléphone fixe.
Évidement, le modem que j’avais reçu gratuitement est tombé en panne, et bien sûr, aussi, lorsque la garantie était passée, mais, comme entre-temps, ils avaient diminués de prix, j’avais été en rechercher un autre, qui, celui-là, je m’a jamais posé de problème.
Remarquez : j’étais déjà cliente pour la téléphonie à Scarlet ; j’avais fait le changement dés que Belgacom n’eut plus le monopole, dès l’ouverture du marché. C’est un des points positifs de l’union des pays européens.
Donc, j’étais client chez eux, aussi bien pour Internet que pour le téléphone, mais je payais quand même et toujours l’abonnement de la ligne chez Belgacom. C’est en recevant ma facture bimensuelle, aujourd’hui, pour payer mon abonnement que je me suis décidée : en effet, malgré que je paie mes communications à Scarlet, lorsque je téléphone chez ma mère, qui a une fâcheuse tendance à ne pas répondre lorsqu’elle n’en a pas envie, ou tout simplement parce qu’elle n’entend pas, lorsque l’appel dure trop longtemps, c’est de nouveau Belgacom qui prend le relais pour me dire que mon correspondant n’est pas là, et que je peux laisser un message, etc, etc. Et bien que cela, je ne l’ai pas sollicité, de dois quand même payer des communications manquées. Bien sûr, même si cette fois-ci je n’ai dû payé qu’un euro tva comprise, (il m’arrive même quelquefois de devoir payer plus) malgré tout, cela me fait grincer des dents devoir payer quelque chose que je n’ai pas demandé, d’autant que je n’utilise jamais. Je dois avoir l’air d’être un horrible radin, mais je préfère utiliser cet argent à d’autres fins que devoir payer quelque chose d’inutile.
De plus, je sais qu’avec la Scarlet Box, ce genre de problème n’arrivera plus : en effet, Isabelle utilise ce système depuis environ un an, (je lui en avais parlé, et elle opté pour ce système, parce qu’elle recevait une facture d’abonnement mensuelle et, avec les communications, elle payait encore plus cher), et lorsque je téléphone chez elle et que cela ne répond pas, je n’ai pas le problème du répondeur de Belgacom, le téléphone peut sonner 100 fois, il n’y a rien d’autre que les sonneries du téléphone).
Et, de même, tout calcul compris, je me suis rendu compte que je pouvais faire une économie mensuelle de 15 à 20 euro par mois, pour ceux qui gagnent bien leur vie, ce n’est peut-être rien, mais pour moi, cela correspond environ à ce que je dépense pour nourrir mes chats, toujours par mois, bien entendu.
Le seul problème, c’est que ce système n’est pas encore tout à fait au point. Il arrive quelque fois qu’elle tombe chez quelqu’un d’autre que chez moi, lorsqu’elle veut me téléphoner, mais pour cela, il suffira que je mette ma famille au courant de cet inconvénient, parce que sinon, on risque encore de me tomber sur le dos si cette mésaventure arriverait à l’un d’eux. De toute façon, j’ai le temps de voir venir : en effet, je devrais encore attendre 8 semaines, ce qui veux dire que je risque devoir encore payer Belgacom le temps d’une facture.
Enfin, pour cela, ma famille ne sera prévenue qu’en temps voulu.

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   mercredi, janvier 11, 2006
Lorsqu’Isabelle et Gaël sont partis au Canada pour les vacances de Noël, j’avais été les accompagner jusqu’à la gare. En fait, j’étais passé chez elle un peu avant dans la journée, et, comme Gaël n’avaient qu’un petit sac pour voyager, j’étais retourné chez moi pour lui prêter un grand sac à roulettes, que je n’utilise quasiment jamais, vu la taille qu’il a.
Au moment de partir, chez nous, il ne faisait pas réellement froid ; bien évidement qu’il ne fasse pas chaud, néanmoins, je mettais quand même une veste rembourrée, parce malgré tout, l’hiver, c’est l’hiver !
Lorsque nous sommes partis, dans le taxi, - ou peut-être lorsque nous y montions ? - Isabelle me dit : tu vois comme Gaël est ? Il n’a rien voulu mettre d’autre ! En fait, il n’avait qu’un fin coupe-vent. J’ai ouvert des grands yeux, et je me suis écrié : mais comment va-il faire s’il gèle à – 40 comme l’année passée ? Eh bien, m’a répondu Isabelle, tant pis pour lui !
Lorsqu’Isabelle est passé chez moi hier pour m’apporter les cadeaux de Werewolf , qu’elle avait rencontré à l’occasion de son voyage, (une bougie dorée, une friandise, genre nougat, que je connaissais déjà car j’avais eu l’occasion d’en manger une fois, et du coulis d’érable ou bleuet – un délice) ainsi que quelques trucs que je lui avais demandé de me rapporter (des graines de tournesols, - ça, elle me l’avais suggéré) de la relish (une sorte d’aditif pour salade à base de concombre et de poivrons rouges concassés, aigre-doux), du sirop d’érable (il n’y a que celui qui vient du Canada qui est bon) et une surprise : du caramir, une sorte de chocolat fourré au caramel.
Je lui avais aussi demandé de me rapporter un porte-clé qui représentait Montréal, parce qu’il y a quelques années, elle s’était rendue chez une amie Américaine et, comme elle avait été par cette occasion à New-York, elle m’avait rapporté un porte-clé de cette ville. Dessus, on y voit encore les deux tours : elle s’y était rendu l’année avant les attentats terroristes.
Nous avons donc parlé de son séjour au Canada, et, évidement, chose propre au humain, je me suis demandé quel temps il pouvait bien faire là-bas. Et j’ai pensé à Gaël avec son bête petit coupe-vent. Et Gaël, avec son coupe-vent, ça a été ? Isabelle s’est mis à pouffer : il était bien content de mettre la veste de mon beau-père, m’a-t-elle répondu.

Enfin, cela à donné l’occasion à sa grand-mère de lui payer une veste convenable. Après tout, elle ne voit que très rarament son petit-fils.

De la Relish!!
YA bin ca ma pauvre fille!
Je n'aurais jamais mais jamais pensé à t'offrir ça!
Ça démontre a quel point on fini par tomber dans la routine de nos produits. Quelqu'un de mon entourage, m'offrir ça.. j'aurais parti a rire en disant.. C'est quoi? tu pense que je suis trop pauvre pour m'en acheter?!
Non mais je dis ça car je trouve cette différence sur un truc aussi commun que... du condiment à hotdogs. :) J'étais certain que c'était tout aussi commun par chez vous. Mais confidence pour confidence.. Dans ce qui vous est commun de votre côté IL y aura bien plus de chance de voir de la moutarde de Dijon dans mon hotdong que de la relish! :) Je m'en vais au lit avec amusement! Bien content que ça t'ai plus!
Bonne nuit!
 
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   mercredi, janvier 04, 2006
Ma sœur aînée, après un mariage raté, a divorcé, et s’était remis en ménage avec quelqu’un d’autre.
Lors de son premier mariage, elle est son ex-époux avaient acheté des place à bâtir ; mais finalement, n’avaient jamais faire construire : Mon ex beau-frère avait finalement décidé d’acheter une maison à un couple qui se séparait, lui aussi.
Lors du partage des biens, il lui avait laissé les deux terrains à bâtir, et de l’argent ; en compensation il garda la maison et son contenu.
Ma sœur avait donc décidé de profiter des places, au moins, l’une d’elle ; et après milles et un ennuis, elle fini par avoir l’autorisation de construire. L’homme avec qui elle vit maintenant est quelqu’un de fort avisé et calculateur pour faire des économies : il décida de faire certaines choses, au lieu d’engager des professionnels, tel qu’isoler le toit ou monter le chauffage central. Personnellement, pour quelqu’un qui n’avait jamais fait ce genre de chose dans la vie, je dois dire qu’il est quand même hardi, pour le chauffage central, j’entends.
Pour l’isolation du toit, je dois dire que j’ai vu qu’on avait affaire à quelqu’un de méticuleux dans son travail.
Je dois dire que je me demande comme il fait pour s’y retrouver, il y a des tuyaux qui courent partout sur le sol ; je me disais, en les voyants, que finalement, c’est encore plus simple de faire appel pour ce genre de chose à des professionnels : en effet, les tuyaux sont en plastique et il y aura une dalle de béton qui les recouvrira, une fois que tout sera fini. Je n’aime pas trop cela : si un jour il y a une fuite, il sera obligé de casser et démonter tout son sol, je leur souhaite que cela n’arrive évidement jamais.
Donc, dimanche, le jour de l’an, ma sœur et lui sont venus présenter leurs vœux, et demander, par la même occasion, à mon fils, de venir les aider à hisser les radiateurs à l’étage. Pour cette occasion, ils étaient vêtus avec des vieux vêtements, et le jeans de Maurice (qu’il met généralement pour venir travailler dans la maison) était couvert de tache de peinture. Ma, sœur, elle rigolait : elle a dit : nous avons été chercher de l’essence, et tu nous vois, le jour de l’an, habillé comme de « barakis ».
J’ai oublié de dire que les terrains à bâtir, et donc sa maison, maintenant, se trouvent à une portée de fusil de la maison de ma mère. Aussi, il emportèrent les radiateurs qu’ils avaient entreposés dans la cave de ma mère depuis la tentative de cambriolage (il s’en était fallu de peu qu’elle réussisse). Pendant qu’ils faisaient le trajet avec la camionnette, (il ont du faire trois voyages) je faisais du repassage (ma mère déteste le repassage ; depuis que nous sommes adultes, c’est moi et mon autre sœur qui le faisons alternativement ; et puis, ma mère et âgée et à de très mauvaises jambes). Au troisième voyage, elle apparu, en train de trépigner : ça y est, disais-elle, va y, il ont fini de tout emporter. Je lui dit que je terminais d’abord le repassage : j’avais presque fini, et je lui montrais en fait qu’il n’y avait plus que trois mouchoirs à repasser.
Lorsque je suis arrivée, il étaient là en se tâtant et se demandant comment on allait bien procéder pour monter ces fameux radiateurs : même les petits, ils étaient horriblement lourds. J’ajouterais aussi qu’il n’y a pas encore d’escalier ; on accède à l’étage à l’aide d’une échelle que Maurice à faite. Il avait la une corde, il disait que moi et ma sœur devions être en haut pour tirer, tandis que mon fils et lui soulèveraient les dis radiateurs. Mais sa corde s’avéra trop courte.
Aussi, nous essayâmes autrement : Maurice tenait le radiateur sur son épaule tandis que mon fils soulevait le radiateur barreau par barreau. Je dois dire que, presque en haut, le radiateur balançait dangereusement et je croyais le voir partir s’écraser dans le fond la maison, et je fut contente lorsque me sœur réussi à l’attraper pour le tirer en haut de l’échelle ; elle avait peur, en même temps, je ne dégringole dans le trou ou allait se trouver l’escalier, plus tard.
C’était vraiment une épreuve pour Maurice, arrivé en haut, bien qu’il ne soufflait pas, cela avait épuisé son énergie.
Après qu’il ce soit reposé, nous essayâmes encore autrement ; j’étais en bas et j’aidais mon fils à porter le radiateur, mais ce n’était pas plus facile, et Maurice était tout aussi épuisé après le deuxième radiateur. Ils décidèrent de remettre la montée des deux autres radiateurs pour le lendemain, mais moi, je n’étais pas là. Alors, Maurice dit à nouveau : il nous faudrait une deuxième corde. Mais, dis-je, papa avait une corde ! Je vais aller voir après. Et je reparti vers la maison de ma mère. Je savais bien que papa avait une corde : il l’avait acheté lorsqu’il stérait du bois à Jamoigne, et il arrivait que certain arbres tombaient dans la rivière ; aussi il les attachaient avec cette cordes pour qu’ils ne s’en aillent pas au fil de l’eau et ils les treuillaient ensuite sur la berge.
Finalement, je trouvais le sac dans lequel elle se trouvait ; il y en avaient même d’autre, plus fines, mais Maurice les rejeta : elles auraient risqué de d’écorcher les mains. Il faut dire que l’autre corde était immense ; après avoir fait une boucle dans son milieu, il l’attacha au radiateur tandis que ma sœur et moi étions en haut pour tirer sur les autres bouts de la corde ; et je dois dire que cela ce montra très efficace, parce qu’à un certain moment, Maurice dit « hé ! mais je ne porte plus rien ! » et lorsque il arriva en haut « on est déjà en haut ? »
Grâce à cette corde, nous avons réussi à monter les deux radiateurs en moins de temps qu’il nous avait fallu pour en monter un seul.
Pour les radiateurs du rez-de-chaussée, ils nous dirent qu’ils se débrouilleraiten bien sans nous, qu’il passeraient pas la porte d’entrée. Ce serait plus simple.
Puis, après avoir fourré la corde de mon père dans son sac, il le mit dans la camionnette et il redescendit chez ma mère pour boire du café, comme elle leur avait dit avant qu’ils ne s’en aillent.

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