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 vendredi, avril 29, 2005
En faisant le tri des mes journaux « toutes boîtes » - que je continue à accepter, parce que, lorsque j’en ai le temps, je les consulte pour voir si je ne peux pas faire des « bonnes affaires » ; je suis tombée sur une enveloppe du ministère des finance. Elle avait du s’être glissé entre eux, et si je les avaient pas épluchés, elle aurait été de le bac à recyclage comme le reste. Il faut dire qu’ils ont changé de format d’enveloppe, au ministère. C’était la feuille d’impôt. Chouette ! Je n’ai rien à payer… Cela me fait penser à une autre enveloppe, venant de la commune, cette fois. Je l’avais reçue en début de mois, je pense. Une grande enveloppe, pour envoyer des feuilles qui apparemment, ne devaient pas être pliées… Qu’est-ce que c’est ça, me demandais-je. Qu’est-ce que c’est ça ? M’était-je dit. Qu’est-ce que la commune me veut donc ? Lorsque je vis de quoi il l’agissait, mes yeux ont du s’arrondir de surprise : la feuille stipulait que j’avais été tiré au sort parmi les « citoyens » de la province du Luxembourg, pour une réserve de jurés, pour une période de 10 ans. Sur l’autre feuille, qui accompagnait la lettre, je devais signer comme quoi j’acceptais d’être un juré potentiel. Comme cela m’avait déjà intéressé d’être au tribunal, non pas comme simple spectateur, mais me mettre une fois d’un autre coté, je signais sans hésitation et alla remettre l’enveloppe à la commune le lendemain. (C’est sur mon chemin, alors je l’y ai déposé à l’accueil.) Quelqu’un m’avait dit que les jurés du tribunal, on les recrutaient dans les assesseurs lors des élections, eh bien, la personne qui m’avait dit cela avait tout faux : je n’ai jamais été assesseur lors des élections, et je le regrette : on est payé et cela aurait mis du beurre dans les épinards. Mais j’en viens à m’interroger : si j’ai bien compris, personne n’est obligé de « siéger » au tribunal si on n’a pas donné son accord au préalable. Donc, les personnes qui sont appelées au tribunal lors d’un procès d’assises étaient au courant qu’elles pouvaient y être. Alors, je ne comprend pas pourquoi, lorsque cela à réellement lieu, bien d’entre elles se défilent ? Parce qu’elle s’imaginaient, peut-être, que cela n’aurait jamais eu lieu ? (J’ai bien rempli mon papier, mais cela ne veut pas dire que je serais un jour appelée au tribunal). Mais l’éventualité existe quand même. Alors, si ensuite, on ne veut plus faire « son devoir civique », il ne fallait pas s’y engager avant. Et je comprends, maintenant, pourquoi on a un amende lorsque l’on ne se présente pas au tribunal : parce que l’on avait signé un engagement…
posted at 11:54 AM
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 vendredi, avril 22, 2005
Il y a quelques temps, j'avais fait le rapprochement entre les chansons de Pierre Rapsat "Si les femmes changeaient le monde" et celle de Daniel Lavoie : Bénies soit les femmes. J'avais écris que, même si les paroles et le syle était différent, le message était le même. Voici les textes : Daniel Lavoie : Bénies soit les femmesIls arrachent la terre à la terre à leurs pieds Ils tracent des frontières pour se les disputer Ils sèchent les rivières, brûlent bois et forêts Font l'été de l'hiver, inversent les marées Ils cherchent le profit sans même en profiter Se lancent des défis comme on jette des dès Ils sèment l'injustice, récoltent la misère Au bord du précipice ils regardent en arrière Bénies soient les femmes qui aiment encore les hommes Quand on voit ce qu'ils font quand on en fait la somme Bénies soient les femmes qui aiment encore les hommes Ils se créent des empires, créent des palais de verre Ils prennent leur désirs pour ce qu'il reste à faire Ils réclament l'amour, ne pensent qu'à le faire Et vivent au jour le jour, demain pas mieux qu'hier Bénies soient les femmes qui aiment encore les hommes Quand on voit ce qu'ils font quand on en fait la somme Bénies soient les femmes qui aiment encore les hommes Ils se donnent raison, ils se donnent le temps Exigent le pardon mais n'en font pas autant Ils s'endorment le soir blottis seuls et tremblants Est-ce que habillé de gloire on est moins nu qu'avant? Bénies soient les femmes qui aiment encore les hommes Quand on voit ce qu'ils font quand on en fait la somme Bénies soient les femmes qui aiment encore les hommes Pierre Rapsat : Si les femmes changeaint le mondeAux côtés d'Eve, Je m'imagine Perdu dans mes rêves Si les femmes Changeaient le monde... De nouvelles valeurs Avant que nos mômes Ne subissent nos erreurs Si les femmes changeaient le monde... Qu'elles viennent et nous délivrent Un peu d'chaleur humaine De la douceur de vivre Qu'elles viennent et nous délivrent De nos moments de haine De toutes nos dérives Ecoutez l'histoire De celles qui donnent La vie et l'espoir Si les femmes changeaient le monde... Elles ont du courage Moins égoïstes et souvent plus sages Si les femmes, changeaient le monde... Qu'elles viennent et nous délivrent Un peu d'chaleur humaine De la douceur de vivre Qu'elles viennent et nous délivrent De nos moments de haine De toutes nos dérives La violence, c'est tellement banal Et l'argent donne tout les droits L'indifférence nous laisse les mains sales Qui de nous a voulu cela C'est pas vous C'est pas moi C'est pas moi Révolution douce C'est l'idéal féminin que j'épouse Si les femmes, changeaient le monde... Aux côtés d'Eve Partir en cavale Poursuivi par ce rêve Si les femmes, changeaient le monde... Si les femmes, changeaient le monde...
posted at 1:50 PM
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 mardi, avril 19, 2005
Avant les vacances de Pâques, on sonne à la porte. C’était mon voisin. J’avoue que je n’aime pas avoir mon voisin à la porte parce c’est généralement (pas toujours, heureusement) pour un problème de mitoyenneté. Sinon, c’est une personne tout à fait charmante, extrêmement serviable. De plus, ces jours là, comme j’étais en train avec mes lambris, ma maison était dans un désordre et une saleté épouvantable. Alors que chez lui, tout est toujours nickel. Il me dit : Je viens parce que j’ai un « petit ennui ». Je crois qu’il était embêté pour ce qu’il allait m’annoncer. Il ajouta : Vous savez, je vous avais déjà dit que j’avais des problèmes d’humidité dans ma maison. J’avais vu qu’en haut, j’avais une traînée noire qui était apparue le long du mur. J’ai fait venir un ardoisier, et cela vient de votre cheminée. Il m’a dit que c’était la dalle qui était fendue, et qu’il fallait la remplacer. Il me le tendit en faisant la grimace. Le montant stipulé en euro ne me disait d’abord rien, parce, malgré tout, on ne vit pas 38 ans avec une monnaie pour en changer brusquement pour une plus forte, en ayant directement une notion de la valeur. J’étais en train de faire le calcul pour voir ce que cela faisait en « anciens » francs belges, mais il me devança en me disant : cela fait près de 50.000 frcs, et encore, c’est TVA non comprise. De plus, je vis sur le devis qu’il y avait des risques « d’à côtés ». (Je méfie des « à cotés » parce souvent il finissent par presque doubler la somme que l’on pensait débourser au départ). Il me demanda si moi, je n’avais pas de problème d’humidité de mon côté. Je lui avais répondu que je n’avais rien remarqué, que de ce côté là, j’avais la salle de bain, et que la tapisserie n’avait pas l’air d’avoir souffert. Je lui ais répondu que oui, lorsqu’il pleut vraiment fort, j’ai quelque fois des fuites dans le grenier, sur le même mur, mais pas réellement au niveau de la cheminé, plus du côté du mur extérieur. Et il m’invita même à visiter son grenier, pour appuyer ses dires. C’est vrai que là ou il m’avait montré le problème, il y avait des auréoles, ainsi qu’en effet une trace le long de ses escaliers, mais ce n’était quand même pas comme si on y avait jeté des seaux d’eau. Évidement, comme il n’avait pas plu depuis longtemps, lorsqu’il était venu, je ne pouvais pas juger réellement des dégâts éventuels. Comme la somme était quand même importante et que je ne roule pas sur l’or, d’autant plus que j’essaye de faire des économies pour pouvoir remplacer mes châssis de fenêtre pourrissants – bien que j’ai droit à la prime à la rénovation – cela aurait grevé fameusement mon budget. J’hésitais. Puis me vint une idée. Écoutez, lui dis-je. Ma sœur va construire, et elle aura besoin d’un ardoisier. Je lui demanderais le nom et je prendrais son avis (parce que si je pouvais avoir, ne fusse que 10 euro en moins, je l’aurais fait sans hésiter.) Bien, me répondit-il, mais ne traînez pas de trop avec cela, parce qu’une fois que c’est en route, ça va vite. Je téléphonais donc à ma sœur et pris le numéro de téléphone de son ardoisier. Il traîna un moment dans ma sacoche, parce que d’une part, je n’avais pas fini avec ma rénovation intérieure, et d’autre part, je n’avais guère envie de voir arriver des gros frais supplémentaires. Mais d’un autre côté, je n’avais pas non plus envie d’avoir des problèmes avec mon voisin. De plus, le devis de l’ardoisier qu’il avait fait venir était posé sur la bibliothèque qui se trouve près de mon ordinateur, et chaque fois que je le voyais, il me poursuivait comme un remord. Comme j’avais fini le plus gros de mes travaux de menuiserie – à quelque détails près, et que j’avais tout nettoyé et rangé dans mon grenier, je me décidais finalement à téléphoner à l’autre ardoisier. Nous avions convenu qu’il viendrait aujourd’hui, parce qu’il avait rendez-vous pour un travail de toiture dans la région – j’ai oublié de dire que l’ardoisier que ma sœur à choisi n’habite pas dans la région d’Arlon, mais plus loin, en Ardenne – ici, c’est la Lorraine.) Je lui demandais s’il devais monter au grenier, mais il me demanda d’abord de voir la fameuse cheminée de l’extérieur. Je lui dis que je ne savais pas s’il pourrait la voir, mais qu’on pouvait toujours essayer du jardin. Comme c’était possible, je la lui montrais. C’est cette cheminée là ? M’a-t-il demandé. Je ne crois pas qu’il faudra remplacer la dalle. (Je lui avais dit, lors de mon entretien téléphonique, qu’il fallait la remplacer). Je lui expliquais l’affaire. Non, me répondit-il. Il existe du silicone spécial pour réparer cela. Je croyais qu’elle était complètement abîmée. Il me demanda ensuite si cette cheminée était encore utilisée, et je lui répondis que c’était celle de ma chaudière. Alors, il me dit que si cela avait été la dalle, cela aurait été pire. Et qu’il y avait autre chose. Evidement, vous prenez un ardoisier d’Arlon, cela vous reviendra plus cher… Oui, lui répondis-je, vous venez du côté de Bastogne ? Non, me répondit-il, plutôt du coté de St Hubert. Vous pourriez venir lorsque vous avez des travaux dans la région ? Oui, me répondit-il, puis il ajouta : écoutez, j’avais rendez-vous avec l’architecte pour une construction à Thiaumont. Je vais devoir faire la toiture … il calcula quand les travaux commenceraient là-bas. Lorsque j’y serais, je viendrais avec mon échelle et je verrais ce qu’il y a lieu de faire. Mais ce ne sera pas avant le mois de mai. Ça va, lui dis-je. (Du moment que cela n’était par reporté aux calendes grecques, pensais-je en moi-même. Je vous demanderais aussi de jeter un coup d’œil à mon toit, parce que j’avais des fuites. Il me répondit que c’était le format des éternits qui faisait cela. Quand il pleut fort, je dois mettre des seaux, lui répliquais-je. Alors, il s’agit peut-être d’une étenit ou l’autre à remplacer. En partant, il me dit que lorsqu’il viendrait travailler sur le chantier dans la région, il me téléphonerait et qu’il verrait à ce moment-là. Une fois parti, je passais chez mes voisins pour les avertir de quoi il en retournait. J’espère que, lorsqu’il viendra, je n’aurais pas un autre avis et une mauvaise surprise…
posted at 2:43 PM
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 jeudi, avril 14, 2005
À ceux qui veulent lire les archives de mon journal, (sauf évidement tout ceux que je connais bien et à qui je peux faire confiance, ils devront me demander la permission d'y enter. Pour cela, il faudra qu'ils justifient la raison pour laquelle ils veulent les lire , je n'ai pas envie d'avoir de nouveau des ennuis comme je viens d'en avoir récemment. On devra me contacter uniquement à cette adresse e-mail, les autres seront automatiquement rejetés. hopeless@riversoul.net Je suis désolé de devoir utiliser des mesures aussi drastiques, mais la paix n'as pas d'autre prix.
posted at 6:03 PM
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 mercredi, avril 13, 2005
Suite à un événement indépendant de ma volonté, je me vois obligée, la mort dans l'âme, de clore provisoirement mon journal.
posted at 5:38 PM
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Au fond, qu’est ce que c’est, une ville ? Des constructions qui ondulent suivant les fantaisies du terrain.
posted at 9:37 AM
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 mardi, avril 12, 2005
Finalement, je trouve que, point de vue réception télévision, on est bien situé dans la région où j’habite. C’est au moment où j’écrivais un mail qui portait sur un sujet télé que cette réflexion m’est venue. Cela me fait penser à la ronde des téléviseurs qui sont passés dans la maison de mes parents. Avant que je ne naisse, papa allait voir la télévision chez des voisins. Bien que les personnes étaient assez regardantes, elles acceptaient que papa vienne de temps en temps chez eux ; il est vrai aussi que papa n’y allait pas tout les jours, étant donné qu’il faisait les trois pauses, et que cela dépendait de ses horaires de travail. Et puis, ce n’était pas comme maintenant : il était rare que les télévisions émettent plus tard que 23 heures, et alors, on avait droit à une « mire » qui finissaient par disparaître à un certain moment aussi. (Si je n’en avais pas parlé, j’aurais presque oublié aussi que les mires, cela existait !) Et puis, je devais, paraît-il avoir un an, mon père ramena une télévision d’occasion à la maison. (Sans doute se sentait-il gêné ou est-ce que les personnes chez qui il allait lui ont-elle fait comprendre qu’il ne fallait pas « exagérer » ?) J’en viens à me demander si ma mère était d’accord pour qu’il en achète une, elle était (et est toujours, d’ailleurs) rebelle aux idées des autres ; si on n’écouterait qu’elle, nous n’aurions jamais eu, ni de poules, de voiture, et même jamais de machine à laver le linge ! Cela me rappelle aussi que l’antenne pendait dans le grenier, et ne se pasdressait sur le toit. Papa et maman m’avaient dit qu’elle était là parce que notre maison était bâtie au milieu d’un nid à courant d’air, et qu’avec le vent, l’antenne se serait fait rapidement emporter. À la réflexion, je crois plutôt, avec le recul et connaissant bien mes parents, qu’elle n’était pas sur le toit parce que papa et maman, et surtout papa, n’auraient pas voulu que quelqu’un vienne nous la mettre, et qu’il ne voulait pas prendre le risque de la mettre lui-même, au risque de tomber du toit ou, justement, de mal la fixer. Ce qui fait que, pendant des années, il était inévitable de se heurter à la dite antenne lorsque nous devions monter au grenier, et il arrivait alors que la réception se dérègle. De plus, comme nous n’avions que deux postes (c’était probablement pour cela que la télé était d’occase et qu’elle avait coûté une bouchée de pain), notre choix était limité. Elle aurait pu capter les chaînes des télévisions françaises, mais l’un des boutons était cassé. Il arrivait aussi quelque fois qu’on arrive à capter une chaîne allemande, mais alors papa devait monter au grenier pour orienter l’antenne, et de toute manière, la réception était quand même mauvaise et l’image neigeuse. Nous avons donc galèré avec cette télévision jusqu’en 1978, parce que cette année-là, mon grand-père paternel est mort et papa à racheté celle qu’il avait. Il y eu donc une nette amélioration dans notre maison, nous captions plus de chaînes, mais la télé était quand même toujours en noir et blanc, alors que déjà, dans la plupart des foyers dans lesquels je me rendais parfois, il y avait la couleur. Lorsque je me rendais chez l’un ou l’autre, cela me fascinais, et je me disais : mon Dieu, que c’est quand même beau en couleur (ce que ma sœur disait aussi, plus tard, quand elle revenait chez nous alors que nous avions enfin la couleur, et qu’elle n’avait qu’une télé noir et blanc). Et puis, lorsque j’eu environ vingt ans, papa s’acheta une télé couleur, une nouvelle cette fois ci, immense en comparaison de celle que nous avions auparavant. Il avait pris sa pré-pension et avait touché une partie de son assurance-vie. Malgré tout, il y avait quand même encore quelque chose dont nous n’étions pas satisfait : pendant tout le temps de ces changements de télévisons, la télévision publique avait mis en route une deuxième chaîne, culturelle, celle-la, mais la réception de celle-ci, via l’antenne, était plus qu’exerçable. Surtout lorsque le vent soufflait, on pouvait presque imaginer qu’il soufflait à l’intérieur du poste, parce que l’image était balayée par les rafales de vent. Cela devait, évidement, provenir de l’antenne émettrice, parce que lorsqu’elle fut culbuté par la tempête en 1989, et qu’il y eu une antenne provisoire située à Arlon, l’image était impeccable. En tout cas, cela était bien dommage, parce que nous regardions une émission culturelle le mardi soir, « double 7 », et que lorsque les conditions climatiques n’étaient pas sereines, suivre l’émission était une épreuve pour les nerfs. Et puis, quand la chaîne privée décida de ne plus émettre sur les ondes hetziennes, mes parents furent bien obligés de s’abonner au câble. Et bien que maman grogne quand elle doit payer l’abonnement, je la vois maintenant mal se priver de ce service ! Il est évident qu’à partir de ce moment là, l’antenne du grenier fut virée ! Mais quand une chose va enfin bien, une autre ne va plus : en effet, la « vieille » télé couleur commença à faire des siennes, la couleur ne restait plus stable, et il arrivait que souvent les personnages sur l’écran se transformaient en peaux-rouges, et se fondaient dans le reste du décor qui prenait une couleur agressive, ce qui fait qu’un jour, agacée par cette situation, je rachetais une nouvelle télévision à petit prix à ma mère (papa était déjà mort à ce moment là). E maintenant, si ma « petite » - pas si petite, mais plus petite que la vieille - télé trône au salon, l’autre se trouve à présent dans la chambre à coucher de ma mère, et il lui arrive de la regarder (à l’aide d’une petite antenne portative) depuis son lit ! Mais je ne regrette absolument pas de lui avoir acheté cette télé, car la connaissant, ce n’est pas elle qui l’aurai fait !
posted at 2:53 PM
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 dimanche, avril 10, 2005
Il y a eu des gros problèmes avec blogger. Je n'arrivais pas a poster comme avant : en effet, auparavant, j'écrivais mon journal sur une page de word, pour faire la chasse au fautes, qu'elles soient de frappe, de français ou d'orthographe, et je faisais ensuite un copié/collé. Je le faisais aussi lorsque j'étais en veine d'inspiration pour ne pas perdre tout ce que j'avais "imaginé" écrire. Jeudi, le programme refusait de publier tout ce qui était copié/collé. Ce qui fait que, ce soir là, donc, alors que j'avais écris un post pendant au moins trois quart d'heure, (que l’on à peut lire à présent ci-dessous) j'ai essayé en vain de publier ma litératture. Pire, ensuite, le site tomba en panne. Je pensais m’y prendre alors autrement afin de faire toujours en sorte qu'il y ait le moins de fautes possible : Écrire directement le journal dans la case prévu à cet effet, faire un copié/collé de ce que j’avais écris, le transposer sur un document de word et vérifier quelles étaient les fautes possibles à corriger. Ce que j’essayais en vain, également de faire vendredi matin. Je laissais donc tomber jusqu’à mon retour, et ensuite, je décidais de réitérer mon ancienne façon de procéder ; miracle ! Tout remarchait de nouveau comme il faut. Et j’ai réussi même à faire disparaître ce qui n’aurait jamais du être publié, bien que j’avais utilisé la commande « effacer », et qui était resté. Et tout cela beaucoup plus tard que je ne l’aurais voulu, parce qu’en rentrant, c’était ma connexion Internet qui ne voulait pas s’établir. Enfin, pour le moment, tout est bien qui fini bien !
posted at 11:03 PM
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 vendredi, avril 08, 2005
J’étais, passé, lundi dernier, chez Denis, un des copains de mon fils. Comme il n’a pas Internet, il passe de temps en temps chez moi pour télécharger quelques vidéos de son groupe préféré : Dire Straits. Les dernières vidéos qu’il avait trouvées sur le Net était de très longues vidéos ; leurs tailles étaient supérieures à la capacités habituelles des Cdrom ; et elles m’embêtaient beaucoup, parce que mon disque dur commençait à être chargé. En ayant une conversation avec lui, il m’avait dit qu’il y existait des programmes qui pouvaient « couper » une vidéo en deux et assembler pour qu’il y ait une suite. Je n’y avais pas pensé, mais je me doutais que cela existait. Aussi, pour me débarrasser des vidéos en question, j’avais fait des recherches et finalement, bien que je n’avais pas exactement trouvé ce genre de programme (en fait si, mais j’hésitais à m’en servir), je trouvais un autre genre de programme : il « fractionnait » des gros fichiers et les « recollaient » sans qu’il y ait une altération. Aussi, je procédais à la scission des dits fichiers et gravaient les morceaux sur des cd, avec évidement, le programme d’installation pour qu’il puisse rassembler ses vidéos dès qu’elles furent chez lui. Bien m’en pris, parce qu’à cause d’une défaillance d’une mise à jour de Norton Antivirus, j’avais du, une fois de plus, formater mon disque dur, car j’avais beau essayer d’une façon ou l’autre, je n’arrivais plus à réparer Windows. Et heureusement, aussi que j’avais sauvegarder quelques truc important, parce que j’avais eu le mois d’avant eu un problème d’un autre genre, mais que j’avais réussi à réparer, bien que cela m’avait posé ensuite d’autre ennui, et je m’était demandé si je n’allais justement pas formater le disque ; j’avais commencé mes sauvegardes avant de me raviser. J’aurais du continuer, car malheureusement, je n’avais pas tout sauvegardé, ce qui fait qu’il y a quelques vidéos qui ont été effacées avec le formatage, et maintenant, je suis en train de les faire revenir, mais honnêtement, je me serais passé de ce soucis. Ce qu’il y a de positif, dans cette mésaventure, c’est que j’ai gagné de la place sur mon ordinateur, et je me demande même pourquoi j’en avais perdu autant. Il est vrai qu’il y a des jeux qui ont été effacés également, mais même avec cela, je ne pensais pas qu’ils prenaient autant de place. Et, bizarrement, aussi, mon programme de téléchargement fonctionne mieux. Donc, je passais chez Denis et son père (qui est infirmier accoucheur) me fit enter. Alors que je bavardais avec son épouse, Denis vint me trouver et me dit qu’il y avait un problème, qu’il n’arrivait pas à copier un des disques. Je passais donc dans ce qui leur sert de bibliothèque/salon/bureau. Il y avait bien un problème, et je du recommencer, de retour chez moi, à recommencer le travail. Mais cette fois, je vérifiais si cela marchait bien, chose que je n’avais pas faite car je manquais vraiment de place sur mon ordinateur. Ce qui m’a fait néanmoins sourire, lorsque je vis le nouvel ordinateur de Denis (il l’avait eu en cadeau, je pense, et de toute façon, comme son père et l’utilise, celui qu’il avait avant n’avait pas assez de place sur le disque dur ; -5Go, je pense) ils se sont décidés à acheter un neuf ; et ils compte se connecter à Internet très bientôt ; c’est l’image de l’écran du bureau de Denis : Le guitariste de Dire Straits. Cela doit être son idole. Et, curieusement, les couleurs de fond de cette image m’a fait penser à l’ordinateur d’Isabelle, ou plutôt l’image de son bureau, elle à comme fond une photo du chanteur d’Indochine. Je dois dire que je suis fort différente : il ne me viendra pas à l’idée de mettre comme image de bureau une personne humaine, quelle qu’elle soit. Par exemple, et ce n’est plus un secret, et d’ailleurs je me suis rendu compte récemment que c’était Pierre Rapsat mon chanteur préféré – bien que j’en aime d’autre comme Jacques Brel, Hugues Aufray, Michel Sardou, Daniel Guichard et d’autres chanteurs francophones, - il ne me serait jamais venu à l’esprit de mettre une photo de lui comme fond de bureau. Même du temps de mon adolescence, jamais je n’aurais orné ma chambre d’une idole quelconque, - bien qu’à la limite j’aurais bien mis une photo de Neil Diamond, parce que je le trouvais beau – mais je pense tout simplement que je n’ai pas le culte de l’être humain, et donc je n’idolâtre personne. Bien sûr, j’ai un « passe-partout » dans lequel il y a des photos d’école de mon fils, mais c’est surtout pour me rappeler des ses diverses étapes de sa vie, et voir comment il change. Cela n’a rien de comparable, et puis, c'est mon fils, la première personne que j’aime au monde. C’est normal que j’aie des photos de lui pendues au mur.
posted at 10:38 PM
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 mardi, avril 05, 2005
Lorsque j’étais à l’école primaire, bien que je n’aimais pas mon institutrice et que c’était réciproque, elle avait quand même beaucoup d’influence sur moi. Par exemple, elle disait que les filles ne devaient pas être coquette, et j’avais pris cela au mot, ce qui fait que je m’en foutais (et je m’en fous d’ailleurs encore) de la façon dont je suis habillée. Oh ! Je ne m’habillerais pas quand même avec un sac à pommes de terre, mais je ne vais pas chercher à mettre continuellement des beaux vêtements, ou des vêtements luxueux. Ceux qui me connaissent bien ne me croisent presque exclusivement en jeans et sweat shirt en hiver, et short et tee shirt en été. Et pas question de me faire mettre des souliers à hauts talons ! Bien qu’avec ma taille, cela ne me ferait pas de tort, enfin. Je n’ai jamais réussi à tenir en équilibre dans une chaussure dont le talon faisait plus de 3 cm de haut, au grand désespoir de ma mère. Même si ledit talon était large et plat, je me tordais affreusement les pieds et je détestais cela, de plus, je souffrais horriblement du dos en fin de journée. D’ailleurs, je ne comprends pas comment les femmes qui mettent ce genre de chaussures arrivent à marcher, cela me sidère. Pour en revenir à cette institutrice, elle disait donc que l’on ne devait pas être coquette, mais avec le recul, je me disais qu’elle des mains manucurés et les ongles vernis. Ce qui, pour moi est un signe de coquetterie, surtout pour une enseignante. Bon. Si elle n’avait pas fait du « bon boulot » en disant cela, néanmoins, elle m’a rendu service autrement. En effet, un jour, elle parlait des gens de couleur, et disait qu’il ne fallait pas les considérés moins que les gens de race blanche, que les noirs valaient aussi bien que les blancs. En cela, elle a bien fait, parce que ma mère, au contraire, à pour les gens une espèce de répulsion pour les gens qui ont la peau noire, répulsion d’ailleurs qu’elle avait réussi à me communiquer ce qui fait que, pendant tout un temps, j’éprouvais aussi cette répulsion, animale et instinctive, mais moi, je me raisonnais, ce qui fait que finalement j’ai réussi à me débarrasser de cette tare. Contrairement à ma mère qui aimait autant qu’il en soit ainsi pour elle. Et de mon côté, je me sens beaucoup mieux maintenant que je ne ressens plus cela. Mais je crois même que pour ma mère, ce n’est même pas simplement quelque chose d’animal, c’est réellement du racisme : en effet, l’autre jour, il y avait un reportage sur une tribu et il y avait là un homme qui portait un ornement qui me rempli d’horreur, aussi, je quittais la pièce en disant, Ouh ! ouh ! Et maman de me demander ce qui arrivait. Je disais qu’il y avait à la télé un noir qui avait une longue pique dans le nez, et ma mère de marmonner : je n’aime pas ces gens là ! Oui, lui ais je répondu, parce que tu est raciste ! Après tout, « ces gens là » ne lui ont rien fait, n’est-ce pas ? Et ne font pas de mal à personne d’autre, d’ailleurs ! Toujours à propos de racisme, j’avais eu une conversation avec mon professeur de musique qui était aussi chef d’orchestre. Je ne sais pas comment cela est arrivé qu’il me parle de ça, mais il s’est mis à parler des noirs. Il me disait que c’était des gens les plus malhonnêtes qui puissent exister ; parce que sa sœur était établie en Afrique (au Congo, je suppose) et qu’elle lui avait dit qu’elle ne pouvait pas confier une lettre à porter à la poste par un boy, car celui-ci aurait volé le timbre. Je n’ai rien répondu à ces propos, mais allez savoir aussi comment étaient traités les noirs du temps des colonies, et, j’ai pensé en moi-même : qui était le plus grand voleur ? N’était-ce pas les blancs qui étaient venus s’installer sur les terres des noirs ? Ce n’est pas pour rien que ceux-ci on chassés les Belges dans les années 60 ; parce qu’à mon avis, si le « blanc » avait un tant soit peu respecté le noir, jamais ce genre d’événement n’aurait eu lieu.
posted at 10:18 PM
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 lundi, avril 04, 2005
Je viens de lire la harangue de Werewolf contre les cartes de fidélités… Ne lui en déplaise, j’en possède bien une aussi. Mais il faut dire que ce n’est pas parce que j’en possède une que je vais me fidéliser à cette chaîne de magasin, non. C’est tout simplement parce que c’est le magasin le plus proche de chez moi, (du moins, celui qui était le plus proche quand j’habitais à l’appartement), et que, même sans cette fameuse carte de fidélité, c’est le magasin dans lequel je me rendais le plus régulièrement. Donc, j’aurais été bien bête de ne pas en profiter. Et ce qui ne m’empêche nullement de me rendre dans d’autres magasins – même si je dois traverser la ville pour cela – si je vois que quelque chose que j’y achète est moins cher. Comme la nourriture pour mes chats, par exemple. Tout cela est une question de bon sens. Et puis, il faut dire que ce magasin en question ne propose pas que des trucs inutiles et onéreux : il m’es arrivé de l’utiliser pour des chrysanthèmes au moment de la Toussaint, souvent pour des cassettes vidéo vierges et même une fois pour des tasses, par pur hasard, car j’ignorais totalement qu’on pouvait les échanger contre des points, je les avaient achetées parce que je n’avais plus de tasses en suffisance, ayant cassé toutes les autres (je casse énormément de vaisselle, je suis assez maladroite. Et de toute façon, quand le solde est suffisant, on peut le convertir en bon d'achat, qui me fut bien pratique lors des fins de mois difficiles. Il y a dans son journal des propos ou je pense exactement la même chose que lui, à propos de la mort du Pape. Nous savions donc, vendredi soir, que celui-ci était à l’agonie. Le samedi matin, lorsque je vis le journal, la première chose qui apparu à la une était une immense photo du Pape. Toute la partie « internationale » du journal était consacrée à celui-ci, alors qu’il n’était pas encore mort. Je trouvais cela assez indécent, je dis à ma mère : je n’aime pas cela, les journaux enterrent le Pape avant qu’il ne soit mort. Je lui dit aussi : ce serait le comble s’il guérissait encore une fois. Mais, évidement, cela n’a pas eu lieu. Finalement, il est mort de la même façon que mon père : si ce dernier avait attrapé le cancer de la plèvre, les poumons se sont infectés et il avait attrapé une double pneumonie qui s’était installée sur la tumeur, mais, d’après ce qui était expliqué à la télé, comme mon père, le Pape avait eu une septicémie et beaucoup de fièvre, comme mon père. Seulement, au Pape, on ne lui a pas fait de cadeau. Je crois qu’il a eu une très laide agonie, parce que, si j’ai bien compris, il a gardé sa lucidité jusqu’au bout, alors que mon père avait eu la chance de tomber dans le coma. Il m’est arrivé de penser une chose bien méchante, au sujet de son successeur : je crois qu’on aura du mal a trouver quelqu’un pour lui succéder, et, personnellement, j’aimerais bien que ce soit un homme de couleur. Parce que ma mère est raciste, et j’aimerais bien voir la tête qu’elle ferait si cela arrivait !
posted at 3:15 PM
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 vendredi, avril 01, 2005
Ça lors! Grâce au journal de Werewolf, je vois que ces fous de Gaia on envahis le Canada ! Ce genre de slogan : Viande = meurtre fleurissait sur les murs de ma ville il y a quelques années. Mais ce qui es pire, c'est qu'il font une propagande truquée contre les marchés au bestiaux. Par exemple, il ont montré une cassette vidéo qui avait été prise dans un des marchés couverts les plus importants de Belgique. C'était en fait un montage de jours différents dans lesquels ils avaient eu lieux, ou l'on y voyait des gens maltraiter les bovins. Mais mis bout à bout, on aurait pu croire que l'on n'y faisait que cela ! Et Savez-vous comment je le sais ? Tout simplement parce que le vétérinaire qui avait opéré un de mes chats disait que l'on voyait sur la cassette un homme qui était déjà mort depuis plusieurs mois ! Je ne dis pas, on n'a pas à maltraiter les animaux, mais il y a toujours des gens qui font exceptions à la règle, comme d'ailleurs les humains vis à vis d'autres humains. Et même. Quelque part, les animaux, à de rares exceptions, que l'on élève pour leur viande n'ont pas trop à se plaindre : ils ont une vie heureuse, il ont à manger et à boire tout les jours, et on les soigne quand ils sont malades ! Et il ne faut pas non plus perdre de vue à l'idée que, si l'être humain arrêterait brusquement de manger de la viande, il y aurait beaucoup de races d'animaux qui disparaîtraient, simplement parce qu'elle n'auraient plus d'utilité pour l'homme. C'est d'ailleurs pour cela qu'il y a déjà plusieurs races de poulets, parce que peu rentables, qui on disparues ou qui quasiment introuvable !
posted at 12:15 AM
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