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 jeudi, décembre 15, 2005
La Princesse Claire a donné naissance à des jumeaux, ce 14 décembre. Pour cela, rien d’étonnant : à moins de vivre dans une cave ou être sourd et aveugle, tout le monde, ou presque, en Belgique savait qu’elle attendait des jumeaux ; et, aussi, nous savions que normalement, ils auraient du naître au mois de janvier. Il avait été dit aussi qu’il aurait été possible qu’elle accouche avant, ce qui s’est évidement vérifié ; d’ailleurs, lors des ses rares apparitions publiques, on s’en serait douté, tellement elle était énorme. Là n’est pas le plus important : son père, le Prince Laurent, n’a pas voulu divulguer le nom qu’ils avaient choisi pour ses fils ; et l’on voyait à la télé une meute de journalistes qui essayaient d’arracher cet « secret » à celui-ci. Evidement, je pense aussi que celui-ci s’amuse à garder le mystère, mais il annonçait qu’il tiendrait une conférence de presse pour finalement divulguer les prénoms de ses enfants. Quelqu’un avait même été annoncer qu’il s’appelleraient Emeric et Nicolas, et déjà les journalistes de s’interroger sur le pourquoi de ces prénoms, et chercher aussi qui, parmi les nobles du passé, avaient bien pu porter ces prénoms, surtout pour Emeric. Je ne peux m’empêcher de hausser les épaules à ce genre de réflexion : bien sûr, on choisit toujours un prénom avec un « pourquoi » derrière : dans le cas de mon fils par exemple, je ne voulais pas qu’il ait un prénom courant, parce que de mon côté, j’ai eu un prénom à la mode de cette époque : je connaît au moins une vingtaine de personnes portant le même prénom que moi, et même, une année, nous étions trois dans la même classe à le porter, ce qui représentait une difficulté certaine pour les profs ou les autres camarades de classe pour pourvoir s’adresser spécifiquement à l’une d’entre nous, mais si l’on donne un prénom un enfant, c’est en tout premier lieu parce que ce prénom nous plait. Et connaissant le Prince Laurent, cela m’étonnerait fort qu’il ait choisi cela en fonction des ses ancêtres ! Mais la plus grosse de toutes les sottises, c’est lorsque l’on demanda à un éminent professeur dans quel ordre de succession à l’accession au trône les jumeaux avaient leur place : le plus sérieusement du monde, celui-ci déclara que c’était le premier enfant sorti du sein de sa mère qui était considéré comme le plus jeune des deux, parce que c’était une ancienne coutume au moyen âge ! Je ne pu m’empêcher de sursauter à cette affirmation : en effet, j’espère que la famille royale n’est pas encore plongée dans la superstition et l’obscurantisme, car, si au moyen âge, on considérait l’enfant premier-né comme le plus jeune, c’est parce que l’on s’imaginait que la femme en question avait eu des relations sexuelles avec le diable – celui-ci ayant pris l’apparence du mari ( !) et que par conséquent, l’enfant premier-né venait du diable, donc après l’enfant légitime des deux parents. Et puis, de toute façon, je me demande même vraiment pourquoi on s’interroge encore sur le sujet ; ou plutôt, je me croirais presque à la cour d’Angleterre, ou l’on s’amuse à mettre aux personnes des numéros dans l’ordre de succession au trône, et dans le cas de nos jumeaux nouveaux-nés, il en sont si loin que ce n’est même pas la peine de s’interroger à ce sujet : à moins qu’une épidémie ne frappe la famille royale et la décime, (ce qui ne risque pas d’arriver, car justement nous ne sommes plus au moyen âge, et la peste, le choléra et la variole ont disparus de nos contrée depuis longtemps) aucun d’eux ne risque de s’y asseoir, et de toute façon, ce n’est finalement pas si intéressant d’y être, vu que le roi n’à que très peu de pouvoir.
posted at 8:13 AM
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 mercredi, décembre 14, 2005
Je n’avais donc plus Vagabond. J’étais triste, mais je n’étais pas la seule : Minou aussi l’était, et il regardait partout pour voir s’il ne trouvait pas son copain. Je décidais alors de prendre un autre chat. À cette époque, Isabelle avait encore sa voiture, et il n’était pas rare que nous fussions ensemble. Je ne sais pas pourquoi, cette fois là, nous passions dans Fouches quand nous vîmes des chatons qui couraient devant une maison. Nous nous sommes alors arrêtés, et je suis allé demander si nous pouvions en avoir un. Détail amusant : la femme qui habitait là était une ancienne camarade de l’une de mes sœurs, et qui habitait un temps à Hachy, avant que ces parents ne déménagent. L’époux de celle-ci était tout à fait d’accord pour nous en donner un, si nous pouvions en attraper : en effet, ils étaient assez sauvages. Les enfants étaient avec nous, et, finalement après bien des essais infructueux, mon fils fini par en capturer un, ou plutôt une. C’était une jolie petite chatte tigrée, avec l’aspect des chats que l’on voit sur les produits de la marque de Whiskas. Il y avait là un chaton noir, que j’aurais bien aimé avoir, mais je devais me contenter de ce que je pouvais avoir. Maintenant, avec le recul, je me dis que, pour un chat sauvage, une fois capturée, elle n’était pas tellement méchante et ne griffait ni ne mordait, ce que font habituellement les chats qui n’ont pas l’habitude d’être touché pas l’homme. De plus, elle s’était rapidement habituée à nous et était devenue affectueuse comme un chat qui avait toujours été habitué à la proximité de l’homme. Je l’avais bêtement appelé Minette. Elle non plus, elle ne vécu pas longtemps : Je l’avais peut-être trois au quatre mois. Isabelle était venue chez moi, et, lorsqu’elle voulu partir, la petite chatte s’était enfuie par la porte d’entrée. J’avais beau essayer de la faire rentrer, par jeu, elle s’enfuyait lorsque je voulais la prendre, finalement, je dis à Isabelle : elle fait toujours cela, lorsque j’aurais fermé la porte, elle reviendra et demandera à rentrer. Et je fermais la porte. J’avais à peine tourné les talons, qu’Isabelle sonnait, affolée : ma chatte était étendue, les quatre pattes écartées, au milieu de la route, morte : lorsqu’elle avait entendu que je refermais la porte, Minette, a fait demi-tour, et s’était fait prendre à ce moment par une auto qui l’avait touchée, la tuant net. Ce fut le premier chat que j’enterrais dans mon jardin. Le plus dur, c’était d’annoncer cela aux enfants. Il faut dire qu’à l’époque, mon fils n’avait que huit ans, mais il avait déjà été confronté à la mort, avec le décès de mon père. À mon grand soulagement, il ne pris pas tellement mal la chose. Ce qui fit que Minou se retrouvait de nouveau tout seul.
posted at 12:29 PM
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 mardi, décembre 13, 2005
La petite chatte qui était née en même temps que Minou alla donc à Walcourt. Lorsqu’elle fut en âge de procréer, elle mis bas et l’amie d’Isabelle garda un chaton mâle. Je ne sais plus pour quelle raison, mais ce chaton revint à Arlon, Isabelle le reprit, pour une période qu’elle croyait provisoire, dans son appartement. C’était en 1998, l’année de la mort de mon père. Cette année là aussi, Isabelle était retourné pour les vacances au Canada. Comme à cette époque j’habitais encore dans un appartement et que cette année là, mes voisins du dessous ne me faisait que des ennuis, je n’y demeurais pas, durant les mois de juillet et d’août, ce qui fait que Minou se trouvait également chez elle, ce qui était plus pratique pour moi nourrir les animaux durant son absence. Comme il était encore fort jeune, il s’était lié d’amitié avec le chaton qui restait chez Isabelle, et ils étaient devenus quasiment inséparables. J’en profite pour répéter une anecdote assez amusante qu’elle m’avait raconté : Au retour d’Isabelle, un des deux compères (je ne sais plus lequel, mais je pense que c’était le petit) c’était introduit dans la valise de celle-ci, et elle avait refermé le couvercle sans qu’elle s’aperçoive qu’il y avait un chat à l’intérieur. À ce moment, l’autre chat se mit à tourner et renifler autour de la valise, ce qui l’intrigua, aussi, elle fini par la rouvrir pour y trouver l’autre bête emprisonnée. Finalement, l’amie d’Isabelle décida de ne pas reprendre son chaton. Comme entre-temps, j’avais déménagé, et que les deux chats s’entendaient bien, je pris le chaton chez moi. Quand il fut assez grand, je décidais de le faire opérer. C’était dans le courant du mois de mai, et ils avaient depuis pris l’habitude de sortir. Comme l’autre devait rester à l’intérieur, parce qu’il devait être à jeun, j’avais du garder les deux chats à l’intérieur jusqu’au moment ou je pu partir avec le plus jeune pour l’opération ; comme celui-ci allait être endormi, je libérais le plus âgé pour qu’il puisse aller dehors. À mon retour, hélas, et je ne me le pardonne pas encore aujourd’hui, je laissais la fenêtre de la toilette ouverte, car je pensais que Vagabond, le chat que j’avais fait opérer, ne pourrais pas sauter, vu son était de faiblesse, jusqu’à la fenêtre de celle-ci, car elle était quand même assez haute. Le lendemain matin, je regardais dans le trou de l’arbre à chat ou il avait l’habitude de dormir. Je ne le trouvais pas. Ayant cherché ensuite partout dans la maison, je me rendis compte qu’il avait quand même réussi à sortir. Après l’avoir appelé en vain, et interrogé les voisins (j’ai même été dans leur cave pour voir s’il ne s’y était pas réfugié), je ne du que constater une chose : le chat avait bel et bien disparu. Et lui non plus je ne le revis plus jamais.
posted at 8:54 PM
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 lundi, décembre 12, 2005
Lorsque j’ai été habiter à Arlon, je n’avais pas de chat. Chez mes parents, par contre, il y avait encore chez mes parents trois chattes, auxquelles nous donnions des comprimés contraceptifs pour éviter la multiplication des chats. Or, il est arrivé que, pour une raison quelconque, ma mère était arrivée à court de ce médicament, et le vétérinaire n’était venu assez tôt, ce qui fit que l’une d’elle (celle qui lui reste, d’ailleurs), fut en chaleur et fut mise en gestation. C’était la première fois qu’elle avait des petits, et elle avait déjà quatre ans. Dans le courant du mois d’avril, elle mit, avec bien des difficultés, bas trois chatons, dont l’un fut mort dès sa naissance. Elle était même assez mal, au point même que ma mère appela le vétérinaire pour voir si elle n’avait pas encore un chaton coincé à l’intérieur d’elle, mais ce n’était pas le cas. Comme elle avait de la fièvre, le vétérinaire jugea bon qu’on lui laisse les chatons jusqu’à ce qu’elle guérisse, ensuite, il dit qu’on l’appelle pour venir les euthanasier. Elle avait eu un mâle et une femelle ; et plutôt que devoir tuer des chatons, je promis à ma mère que j’en prendrais un pour mois lorsqu’il serait grand assez, et l’autre, que je me chargerais de lui trouver un autre propriétaire. En effet, elle parti chez une amie d’Isabelle, à Walcourt. C’est ainsi que j’eu mon premier chat. Bien qu’il ait vécu en appartement pendant presque un an, lorsque je déménageais, il était bien content de pouvoir sortir et il n’était pas rare que je le voie perché sur un des pommiers de la propriété voisine. Mais un jour, en été, et je me souviens que cela ce passais en 2000, parce qu’Isabelle venait de revenir du Canada, et que justement, elle était chargée d’aller nourrir mes chats (j’en avais d’autres, mais c’est une autre histoire), je lui demandais à mon retour si elle avait vu Minou, et elle m’avait répondu que non, et, bien que j’aie ensuite interrogé mes voisin alentour, je ne l’ai plus jamais revu, je n’ai aucune idée de ce qui aurait pu lui arriver.
posted at 6:23 PM
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 mercredi, décembre 07, 2005
La première fois que Louis, un ami de la famille vit notre chien, il dit à ma mère : fait attention, avec ce chien ; si tu tombe à côté de lui, il te prendra à la gorge et te dévorera ! Lorsque ma mère m’eu répété ces paroles, je haussais les épaules, et je lui répondit : pourquoi voudrais-tu que le chien fasse une chose pareille ? Il est bien nourrit, tu ne le maltraites pas et tu ne le gâtes pas ! Quand même, me répliqua t’elle, j’ai peur, maintenant ! Or, il y a quelques mois de cela, ma sœur me dit : tu sais ; maman est tombé à côté du chien, et il ne lui a rien fait ! Alors que Louis avait dit que… Il s’est contenté de la renifler, et puis, il a continué à manger (elle venait de lui donner son repas) comme si de rien n’était ! Bien sûr, avais-je répondu, je savais bien qu’il avait dit une bêtise. Depuis, ma mère était encore tombée à coté de lui, et jamais il ne lui avait fait du mal. De toute façon, ce n’est pas parce qu’il montre une denture impressionnante aux étrangers et surtout à ceux qu’il n’aime pas que notre chien est méchant ! Encore une preuve de sa gentillesse vis-à-vis de nous : notre chien à des ergot, aussi bien aux pattes avant qu’aux pattes arrières  , ce fait dire à mon fils que Tommy est un chien « mutant » ! Bien évidement, ce n’est pas le cas, et il parait que ce n’est pas rare pour la race de chien dont est originaire le nôtre. Au bout de ces ergots, y pousse des griffes. Bien évidement, comme celles-ci ne sont pas au contact avec le sol, elles ne s’usent pas et à la longue, elles avaient fini par pousser d’une manière impressionnante, si bien que l’une d’entre elle, recourbée, commençait à renter dans les chairs de la patte. Si bien qu’un jour, en été, je pris une pince qui sert à couper les fils électriques et je m’attaquais à la tâche de couper ce surplus de corne. Le chien ne broncha pas ; et lorsque je lui limais (à l’aide d’une lime pour le fer !) le reste de façon à ce que l’ongle ait un aspect normal, il ne manifesta aucun mouvement de protestation. Comme si monsieur avait l’habitude qu’on lui fasse les griffes !
posted at 4:14 PM
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 mardi, décembre 06, 2005
J’avais été faire quelques achats, vendredi, avant de retourner en week-end chez ma mère. Un vrai temps de Belgique ! Je suis rentrée chez moi avec mon blouson dégoulinant, il avait bien pris trois fois son poids en eau. Pour ne pas endosser le vêtement humide, lorsque je devrais repartir, je l’avais fait sécher devant le radiateur. Eh bien, malgré qu’il fût exposé à la chaleur pendant trois à quatre heures au moins, en le reprenant, j’avais encore l’intérieur des poches humides ; et évidement, la pluie n’avait pas arrêté de tomber sans discontinuer, donc je fus de nouveau trempée avant d’arriver chez ma mère. Néanmoins, dans le courant de la soirée, il y eu un arrêt de la pluie, et j’en profitais pour faire une promenade au chien : en effet, cette pauvre bête est attachée (oh, au bout d’une très longue chaîne), normalement du lundi au vendredi tout le long du jour ; et lorsque le week-end arrive, soit ma sœur, soit moi nous relayons pour lui faire faire un tour. Malheureusement pour lui, il était déjà tard et je n’avais pas fort envie de parcourir plusieurs kilomètres comme quand le temps est beau, aussi, après avoir parcouru environ 400 mètres dans un sens, je fis demi-tour. Le lendemain, la pluie tomba sans discontinuer ; le chien, qui n’aime pas celle-ci, s’était réfugié dans le fond de sa nouvelle niche, au point qu’on ne voyait plus. En soirée, maman me dit que la pluie s’était arrêtée, et que je pouvais alors faire faire de l’exercice au chien. En réalité, la pluie n’avait pas arrêté de tomber, mais elle s’était quelque peu calmée ; aussi, j’extrayais le chien de sa niche pour l’emmener en promenade ; mais même lui, en voyant le temps qu’il faisait, ne se montrait pas aussi enthousiaste pour sortir : il se dirigeait vers la maison en croyant qu’il allait renter pour la nuit (qu’il passe à la cave). Mais finalement, il accepta de me suivre. Pas pour longtemps : j’avais peut-être fait 100 mètres, que la pluie se remis à tomber avec rage, et j’attendit que le chien ait fini de faire ses besoins pour battre en retraite avec lui. Le dimanche, ce ne fut même pas possible, la pluie continua à tomber avec opiniâtreté, ce qui fit que je ne pu même pas sortir le chien ce jour là. Quand je dis sortir, c’est évidemment le faire marcher, parce qu’il est dehors de la journée, comme je dis, attaché à sa niche par une longue chaîne. Je me suis demandé, sur le chemin pour retourner à Arlon, si les cours d’eau n’allaient pas à nouveau déborder comme il y avait quelques années la veille de Noël : en effet, cette année-là, les inondations étaient terribles, et je me souviens encore voir comme si c’était hier des pauvres gens racler l’eau en dehors de leur habitation en pleurant parce que leur Noël était gâché ; et cette année-là aussi, par curiosité, nous avions été voir à quel niveau la Semois avait débordé à Jamoigne, et c’était fort impressionnant : l’eau de la rivière avait atteint le chemin dont je parlais hier, alors qu’il se trouve normalement au moins à trois ou quatre mètres au dessus du lit de la rivière, et le camping était sous eau. Et on annonce encore de la pluie pour demain ! Pourtant, aucune télé n’annonce, pour le moment, des risques d’inondations. Pourvu que ça dure !
posted at 1:05 AM
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 lundi, décembre 05, 2005
Jeudi dernier, en relevant mon courrier, mes yeux s’arrondirent de surprise lorsque je vis l’en-tête de l’enveloppe : Ville de Chiny. Tiens, me dis-je, qu’est-ce que c’est que ça ? En fait, ce n’était rien d’important, dans la mesure où je ne suis pas quelqu’un de chicaneur et de tatillon : c’était tout simplement un avis d’urbanisme me signalant qu’une personne voisine du terrain situé à Jamoigne (qui fait partie de la commune de Chiny et que j’ai reçu, ainsi que mes sœurs, en héritage à la mort de mon père) avait décidé d’apporter des transformations ou des améliorations au chalet qu’elle possède comme seconde résidence de villégiature. Lorsque ne me trouvais le lendemain chez ma mère, et que mes deux sœurs y étaient aussi, l’une d’elle avait dit : ah ! Tu as reçu cela aussi ? ¨Puis nous nous sommes mises à débattre de quel chalet il pouvait bien vouloir s’agir : en effet, il y en a deux, l’un et l’autre situés de part et d’autre du chemin qui longe la rivière ; l’un en contrebas, contre la rive de celle-ci, et l’autre plus haut, du coté abrupt de la rive. Maman nous demanda alors si nous allions intenter quelque chose, en quoi je lui répondit : pourquoi irait-on embêter ces gens, alors que nous même n’y allions jamais ? En quoi cela nous gênerait-il s’il améliore leur chalet ? Puis, brusquement, je m’étonnais : c’est curieux, dis-je. Je croyais qu’oncle Albin avait aussi un bois ? En quoi, ma sœur répondit : « on n’est pas obligé d’être voisin direct, ce papier est envoyé à tous les voisins distants de 50 m ». À cette réponse, mon fils se mis à rire : évidement, commenta-il, tu est l’expert dans cela ! Elle lui demanda en souriant : pourquoi dit tu cela ? Parce que je travaille à l’urbanisme ? C’est sur ces paroles que le sujet fut clos.
posted at 1:08 AM
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