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Dans les petits villages, les petites villes, il ne se passe jamais rien...
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   mardi, août 30, 2005
Lorsque j’écrivais le billet d’hier, j’écoutais la rediffusion des informations. Cela parlait de l’évacuation de la Nouvelle Orléans, suite à la menace du cyclone Katrina qui risque d’y faire de graves dégâts. Oh, là, me pensais-je.
Bien que, contrairement à bien des habitants du vieux contient dont je suis, visiter les Etats-Unis ne m’intéresse guère. Si vraiment, j’avais l’opportunité de le faire, seule la Louisiane, et en particulier la Nouvelle-Orléans m’attirerais. Et cela, parce que c’était, dans le passé, une ancienne colonie Française, et, bien tous les habitants de la ville parlent américains, il y a, parait-il, encore des descendants d’anciens colons français qui connaissent la langue de Voltaire, transmise de génération en génération.

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   lundi, août 29, 2005
J’ai souvent l’impression, lorsque je lis les magasines féminins, d’avoir affaires à un ramassis d’ineptie.
Dans le dernier numéro de celui de ma mère, il y avait un article, avec le titre ronflant « comment renouveler l’intérêt de votre homme ». Bien que je n’en aie pas besoin, je voulais savoir qu’est ce qu’il proposait. Il y avait trois propositions, que je trouvais complètement idiotes. Ces trucs, à la limites, auraient séduits des femmes, c’étaient vraiment des enfantillages, et encore, mais des hommes, jamais !
Et je l’affirme d’autant plus, que, lorsque qu’il m’arrivait de participer à des forums, si je ne précisais pas que j’étais de sexe féminin, on avait tendance à croire que j’étais un garçon, parce que j’avais une façon de voir les choses de façon assez masculine.

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   vendredi, août 26, 2005
Depuis le début des beaux jours de cette année, je me crevais pour faire démarrer la tondeuse à gazon de ma mère. Oh, je savais bien quelle en était la cause : la bougie devait être remplacée. En effet, c’était au point qu’à l’endroit ou se forme l’étincelle, il y avait un petit sillon.
Souvent, lorsque j’allais dans le magasin de bricolage ou nous l’avions achetée, je regardais pour voir quelle bougie convenait, malheureusement, il y en avait de plusieurs sortes, ce qui fait que, j’hésitais à en prendre une, de peur que s’en soit une qui ne convienne pas.
Or, il y a à peu près un mois de cela, Ma sœur se trouvait à la maison, et elle avait décidé de faire quelques achats à Arlon. Ce jour là, le temps était exécrable, il pleuvait à torrent. Je ne sais pas pour quelle raison, je devais repasser chez moi, pour prendre quelque chose, sans doute. Yvain, de son coté, devait aussi prendre quelque chose. J’avais emballé la fameuse bougie dans du papier essuie-tout, et je l’avais fourré dans ma sacoche, afin de l’utiliser comme modèle.
Nous étions passé d’abord ou Lidel, parce que c’était là qu’on achetait les croquettes pour le chien, et, à sa grande déconvenue, la sorte que mon chien consommait ne s’y trouvait plus. Renseignement pris auprès de la caissière, cette sorte de croquettes ne se fabriquait plus. Il y avait pour remplacer une autre sorte de croquettes, mais dans un format tellement grand que lorsqu’il aurait mangé la moitié, le reste serait devenu mou, et le chien, bien qu’il s’agisse de l’une des marques la moins chère, il aurait refuser de manger le reste.
Alors, elle décida d’aller voir à l’Intermarché. Je dois dire aussi que le chien, malgré tout, se montre difficile. Il lui faut des croquettes mixtes, sinon, il refuse de manger. Là, elle en trouva, mais assez cher. Mais nous devions encore faire une autre étape : Comme elle avait déniché un bon d’achat pour une boîte de Wiskas gratuite dans le magasin spécialisé du nouveau complexes commerciale, elle décida qu’elle regarderait en même temps s’il n’y avait rien à voir ; de plus, nous nous sommes renseignées pour une nouvelle niche pour le chien : en effet, celle que mon père lui avait fabriqué commence à prendre l’eau, et lorsque le foin qui la garni commence à devenir humide, le chien refuse d’y rentrer. Il y en avait une là, intéressante pour la grandeur, et ma fois, pas trop chère pour ce que c’était, mais elle me dit qu’elle se renseignerait des prix au Macro. Finalement, pris aussi pour essayer les croquettes en vrac pour mes chats.
En sortant, elle me dit : pfff ! Il y a encore le Brico à faire. Eh, bien, lui dis-je. On pourrait toujours aller voir au Gamma, pour la bougie, comme ça, tu n’auras pas à traverser la ville.
Nous rendîmes donc dans ce magasin. Il me semblait extrêmement petit, et tout semblait fort entassé, et, comme nous nous interrogions pour savoir dans quel rayon on pouvait trouver cet accessoire, nous nous adressâmes à un jeune vendeur. Il nous mena jusqu’au rayon et nous tendîmes la bougie. C’est bien celle-là ? demanda ma sœur – il n’y en avait qu’une sorte. Je pense que oui, répondit celui-ci, la plupart des tondeuses sont équipées d’un modèle standard. Je sorti quand même la bougie de mon sac pour faire la comparaison. Ça va ? Demanda t’elle. Ça va, répondit-je. Et elle rajouta : ça va, grâce à Gamma ! (C’est le slogan publicitaire, que l’on entend continuellement à la télé.) Le garçon se mis rire, et moi, je me senti devenir rouge, puis nous nous mîmes toutes les deux à rires comme des folles. Désolé, me dit t’elle, je n’ai pas pu m’en empêcher ! Nous continuions à rire encore en attendant à la caisse, et les gens qui se trouvaient dans le magasin nous regardaient en se demandant sûrement ce qui avait provoqué notre hilarité. Nous pouffions encore lorsque nous avons du payer, et, en sortant du magasin, nous riions encore…

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   mardi, août 23, 2005
Ce soir, après avoir laissé reposer mon ordinateur pendant la journée, je me suis décidé à le rallumer pour pouvoir lire mon courrier électronique ainsi que le journal de Werewolf. Il parlait d’une personne, dont je n’avais jamais entendu parler avant qu’il ne mentionne son nom, il y a quelque temps, mais, pour être sure de savoir si c’était bien celle dont il avait mentionné le nom auparavant, j’ouvrais une nouvelle fenêtre de mon navigateur pour vérifier.
J’avais à peine fini d’exécuter la commande « copier », quand j’entendis un chat crier sur le devant de la maison. Comme sa voix ressemblait à celle de Michounette, mon regard fit le tour de mon salon. Elle était pourtant là, installée sur un sweat-shirt que j’avais abandonné sur le divan. Elle avait réagit au cri et était attentive. Alors, je me levais pour vérifier si il ne s’agissait pas d’un autre chat : Non, Charbon trônait sur le moniteur de mon ordinateur. À la cuisine, Cannelle, assise sur une chaise, en me voyant, ouvrit la bouche pour émettre un miaulement qui resta silencieux, à coté d’elle, sur la chaise d’à coté, se tenait Ulysse, assis également, mais indifférent, et me penchant un peu plus en avant, j’avisais Mignonne qui s’était installé à côté des tétra packs de lait de réserve dans une petite armoire à roulette destiné à cet usage. Non. Toutes mes bêtes étaient bien là. Pupuce, peut-être ? Bien que je n’étais pas sûre qu’il s’agisse d’elle.
J’allais alors à la porte d’entrée pour voir. Non, plus rien ne bougeait dans la rue humide, silencieuse et noire, pas plus que dans les buissons d’hortensias de mon voisin de gauche, pas plus qu’en dessous de la jeep garée perpendiculairement à la maison de mon voisin de droite. Par mesure de précaution, j’appelais quand même « Pupuce ? » Rien ne me répondit, la rue avait retrouvé son calme.

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   vendredi, août 19, 2005
L’autre jour, Isabelle avait voulu me téléphoner.
Je ne sais pour quelle raison, mon téléphone ne se raccrochait pas bien, et, comme j’avais fait la demande pour l’annulation de la messagerie locale, (j’avais acheté un répondeur que je ne m’étais jamais décidé à mettre en fonction), il sonnait sans arrêt occupé. Donc, elle envoya son fils pour me dire qu’il y avait un problème.
Après avoir regardé ce qui ne marchait pas, (simplement, je n’avais plus de tonalité), je lui téléphonais pour savoir de quoi il s’agissait.
Elle m’expliqua qu’elle devait se rendre absolument à Athus, et me demandait s’il y avait des bus pour y aller. Je lui répondis que oui, et elle me demanda si j’avais des horaires. Je lui dis alors de se rendre sur Internet, mais que je ne connaissais pas l’adresse exacte. Mais qu’elle pouvait le chercher par Google. Je lui dis qu’elle tape d’abord « tec », mais elle ne tombait pas sur le bon, alors, je lui dis de le mettre entre guillemets et de rajouter « Namur ».
Comme j’avais éteins mon ordinateur, je lui donnais toutes ses indications par téléphone.
Ensuite, elle me demanda le nom de la rue. Alors, je lui dis qu’elle aille voir sur le site « Michelin », et, pour cela, je me décidais à rallumer mon ordinateur pour avoir l’adresse du site en question, car je l’avais mis dans mes favoris. Et je lui épelais l’adresse du site. Mais elle ne trouvait pas, elle avait fait une faute de frappe, quelque part dans la barre d’adresse. Elle m’avait dit qu’elle était sur msn, mais je ne l’y voyais pas, puis, brusquement, elle apparut.
Après avoir conversé, nous nous penchâmes sur le problème de savoir ou ce serait le mieux pour descendre et monter, et là, bien que j’aies été quelques fois à Athus, je ne connaissais pas bien le nom des arrêts. Mais, d’après le plan que nous y voyions, l’endroit ou elle devait se rendre semblait fort éloigné du plus proche arrêt de bus. Je lui avais dit qu’avec les morceaux d’images du plan de Michelin, (car ce sont des petits morceaux de carte d’environ 12 cm sur 12) je lui rassemblerait une carte entière et que j’irais lui porter, et que peut-être même, je l’accompagnerais à Athus.
Ce qui je fis, mais pas tout de suite, car j’avais promis à Denis qu’il pourrait venir, et je l’avais complètement oublié, ce qui fit que j’ai du ronger mon frein pour pouvoir faire ce que j’avais promis à Isabelle. Finalement, je lui portais le « plan », et vu comme cela, cela semblait beaucoup plus clair.
Finalement, je me décidais quand même d’aller avec elle à Athus, et au matin, lorsque je voulu remettre ma montre, je n’arrivais pas à remettre la main dessus. Aussi, je téléphonais chez elle pour savoir si elle avait l’heure. A ma grande surprise, ce fut son fils qui me répondit, en me disant qu’elle était déjà partie. Or, le bus ne passait qu’à 9 h20, et il n’était que 9 h moins 10, et, même pour elle, il ne faut pas autant de temps pour se rendre de chez elle jusqu’à l’arrêt (moi, il me faut moins de 10 minutes, et elle, au maximum 25 minutes).
Finalement, je retrouvais ma montre (alors que j’avais regardé 20 fois à la place ou elle se trouvait), et je me rendis à l’arrêt de bus le plus proche de chez moi. (Ce n’est évidement pas le même que l’arrêt ou Isabelle devait se rendre).
Après être monté dans le bus, je lui demandais si elle avait bien acheté une carte comme je lui avait conseillé, parce que le prix du trajet est moindre si on achète une carte (pour ceux qui ne connaissent pas le système : il y a un appareil dans le bus avec des boutons numérotés de 1 à 6, et suivant l’endroit où l’on doit se rendre, il faut appuyer sur le bouton qu’indique le chauffeur, après y avoir introduit une carte dont le montant minimal es fixé à l’avance ; et l’on peut utiliser cette carte pour faire plusieurs voyages, et si le solde est insuffisant, on peut l’utiliser et payer le reste cash.) Elle me dit que non, qu’elle n’avait pas compris ce que je lui avais conseillé et qu’elle avait pris un billet. Eh bien, écoute, lui dis-je ; lorsque l’on reviendra, je pointerais ma carte pour toi et tu me remboursera le montant indiqué sur la carte (j’avais assez pour y faire encore 2 trajets). OK, me répondit-elle.
Arrivé dans Athus, je me suis rendu compte que l’arrêt n’était pas exactement là ou je pensais qu’il aurait du être (d’après les intitulés des horaires), mais cela ne faisait rien, c’était quand même bien celui que je connaissais, et le plus proche de là ou Isabelle et moi devions nous rendre.
Suivant le plan qu’elle avait gardé, nous pensions que nous devrions au moins marcher encore trois quart d’heure à une heure avant d’atteindre notre but, mais c’était trompeur, car nous y fûmes finalement en moins de 20 minutes, aussi, nous eûmes largement le temps de redescendre pour prendre le bus de retour.
Heureusement, ce jour là, il faisait bon et nous attendions au soleil. Finalement, un bus se présenta à l’arrêt. (Isabelle m’avait dit qu’elle n’aimait pas le système des bus en Belgique, parce que ce n’était pas le même qu’au Canada ; je lui répondait pourtant que c’était simple, que l’on attendait le bus d’un coté pour aller et de l’autre coté pour revenir ; et lorsque je lui demandais quelle était la différence, elle me répondit aussi que l’on attendait le bus du côté duquel on devait se rendre.
Malheureusement, dans notre cas, la rue était à sens unique, ce qui fait que nous devions attendre du même coté, et lorsque le bus se présenta, je montais tout naturellement dedans, car l’indicatif était le bon, et je ne pensais pas qu’il y avait un autre bus à la même heure. (En fait, le bus qui nous conduisait a un itinéraire particulier : c’est un peu comme s’il roulait sur une route en T, venant d’Arlon, il longe la grande barre, et pour se rendre à Athus, il dois d’abord tourner sur la gauche avant de faire demi-tour et aller vers Virton ; qui se trouve à l’autre extrémité de la barre du T. Pour revenir, venant de Virton, il fait le chemin inverse. Je ne sais pas comment, alors que nous avancions, j’eu brusquement l’intuition de m’être peut-être trompé, et je demandais à la dame qui était assise de l’autre coté de l’allée si ce bus allait à Virton ? (Peut-être aussi parce qu’on en avait croisé un autre sur le chemin)
Oui, me répondit-elle. Alors, nous descendîmes avant qu’il ne soit trop tard, et nous primes le bon bus, cette fois.
Heureusement que j’ai eu cette intuition, mais désormais je ferais plus attention, car un ancien chauffeur m’a dit que je devais regarder sur le côté du bus, pour ne plus me tromper, cette fois…

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   jeudi, août 11, 2005
Je viens d’apprendre, via son journal, que la chatte de est morte Werewolf .
C’est étrange, il m’avait demandé des renseignements, sur le fait qu’elle avait du mal à manger des aliments solides, et je lui avais suggéré que peut-être elle avait perdu des dents, vu que je connaissais son grand âge.
Lorsque j’ai lu les lignes de son journal, j’ai vraiment été émue, sachant qu’il aimait énormément cette petite bête. J’imagine facilement ce qu’il a du ressentir, de prendre la décision de la faire euthanasier ; ce n’est par une décision facile à prendre, et surtout sentimentalement déchirante. Je lui aurais souhaité, si cela avait été possible, qu’un jour, il la trouve morte, comme une bougie qui s’éteint, faute de combustible. Mais ce ne fut malheureusement pas le cas. Cela doit être d’autant plus dur, parce que la méthode d’euthanasie semble différente chez eux que chez nous : les bêtes condamnées ne sont pas enfermées dans une cage, mais le vétérinaire leur injecte une substance qui, parait-il diminue le rythme cardiaque jusqu’à l’ultime issue.
Le vétérinaire avait du procéder pour le vieux chien de ma mère, qui avait eu une attaque. Malgré tout les soins, il n’allait pas mieux et elle a du prendre la décision de le faire « piquer ». Je me souviens encore de ce jour là, après la piqûre, il avait un stéthoscope et contrôlait le rythme cardiaque du chien. Mais en aucun cas, ces bêtes ne souffrent.
Enfin, grâce à son optimiste naturel, je suis sûre que Werewolf ne s’appesantira pas trop sur ce coup de la vie.

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   lundi, août 08, 2005
Je vais en raconter bien une bonne. La semaine de la fête à Arlon, donc il y a trois ou quatre semaines de cela, Pupuce, la chatte favorite d’Yvain, avait disparu.

J'avais même demandé à René, mon vieux voisin, qui lui en possède toute une tripotée et qui nourrit tous les chats qui se présentent à sa porte, s'il ne l'avait pas vu. À moins que ce ne soit Yvain, la même question avait été posée à Sandra, la soeur de Michaël, ainsi que mes autres voisins (qui eux aiment aussi les chats, et qui en possèdent un magnifique, couleur crème avec des yeux bleus) et non, personne ne l’avait vu.
Et puis, il y a deux semaines, elle a réapparu, un peu comme Petit, pas fort sympathique et trouvant que ce que je donnait à ceux de son espèce n’était pas assez bon. Elle était d’ailleurs repartie assez vite, Puis elle ne revint plus le restant de la semaine.
Elle avait refait son apparition la semaine dernière, quand Yvain était là. Il était bien content, mais Pupuce était tout aussi grincheuse, et même Yvain n'arrivait pas à la décrisper. D'ailleurs, elle n'est pas restée longtemps cette fois là non plus.

Aujourd'hui, quand je suis rentré, la soeur de Michaël n'a demandé si, j'avais retrouvé Pupuce, parce qu'elle était là; elle lui avait donné du poulet à manger (un reste dans un tuperware).

À un certain moment, comme Pupuce était assise, je voyais ses mamelles, celles qui se trouvaient près des pattes arrières, j'ai dit à Sandra, mmm, je me demande si elle n'est pas pleine. Alors, elle me l'a donné, et, en fait, non. Si je voyais bien ses mamelles, ce n'est pas parce qu'elle attendait, mais au contraire, j'ai vu que les poils de son ventre avaient été rasé (il était courts, il avaient repoussés, mais j'ai bien vu qu'il avaient été coupés) et je voyait encore la cicatrice d'une intervention chirurgicale...

Ce qui fait que cette chatte avait été chez quelqu'un (et qu'elle y va encore), et que la personne en question l'a fait stériliser.

Ce qui fait, que, quelque part, j'ai une chatte en moins, et le mieux encore, dans tout cela, c'est que même si par hasard elle aurait envie de revenir chez moi, je n'aurais pas besoin de débourser au minimum 100 euro pour la faire stériliser

D'ailleurs, je ne la considère plus beaucoup comme la mienne, et j'ai ai gagné 2 fois !

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   jeudi, août 04, 2005
La semaine dernière, je voulais offrir un cadeau pour l’anniversaire d’un ami. Comme celui-ci n’habite pas en Belgique, force m’était de lui expédier ce cadeau via la poste.

Je me suis donc rendue à celle-ci, et j’y ai acheté ce que l’on appelle un post pack. Pour le cadeau en question, il ne m’en fallait pas un encombrant, la taille d’une grande enveloppe pour envoyer des documents sans les plier, et rembourré à l’intérieur pour que le contenu ne souffre pas du voyage.

Sur le chemin de la maison, j’examinais mon acquisition, et constatait qu’il n’y avait pas grande différence entre l’avant et l’arrière du paquet ; les lignes prévues pour l’adresse du destinataire, ainsi qu’au dos, pour l’expéditeur se trouvait au centre ; la différence ne se voyait que parce que qu’il était écrit : de/ from /van pour le destinataire ; pour/ for/ voor pour l’expéditeur.
De retour chez moi, je collais soigneusement les adresses, en faisant bien attention de ne pas me tromper ; quand, bizarrement, je me souvins d’une mésaventure arrivée à ma sœur aînée, au sujet de ce genre d’envoi.

Elle aussi, avait acheté ce genre d’enveloppe, pour expédier un dossier à Namur, en rapport avec l’obtention de son permis de construire. Elle avait également rempli les lignes, de la même façon que moi ; et l’avait envoyé. Deux jours après, en rentrant du travail, elle vit une grosse enveloppe qui dépassait de sa boîte aux lettres ; et elle se demandait : qu’est-ce que c’est ça ? Quand elle se rendit compte que c’était sa propre enveloppe qui lui était revenue, parce que le facteur, ou dans le centre de tri, on s’était trompé et avait pris l’adresse de l’expéditeur pour l’adresse du destinataire, vu qu’elles étaient situées vis-à-vis de part et d’autre de l’enveloppe. Pour elle, ce n’était pas grave, elle renvoya le paquet et cette fois, il arriva à son destinataire sans problème.

Comme je repensais à cela, je fus prise d’un pressentiment, je me disais : et si cela m’arrivait à moi aussi, ce genre de truc ? Mais je le chassais d’un haussement d’épaule, en me disant que cela tomberait bien si cela m’arrivait à moi aussi.

Je me rendis donc à la poste. Il y avait une file devant deux des guichets de devant, et dans un des guichets du fond, il y avait une personne qui semblait faire, mille choses. Je regardais dans la direction de son guichet, mais ne vis pas la pancarte sur laquelle il est écrit : fermé. Je lui demandais si c’était fermé, et il me répondit que non, qu’il faisait un peu de rangement. Je déposais alors mon colis dans le sas prévu à cet effet, en lui disant le nom du pays ou je comptais l’expédier.

Il le pesa, et m’indiqua le montant en « prior », c'est-à-dire expédié très rapidement, mais évidement, avec un montant plus élevé. Je lui demandais alors combien de temps il mettrait en non prior, et il me dit : 7 jours. Je comptais sur mes doigts, et je dis : ça va, (car, dans mes calculs, le paquet devait arriver le jour même de l’anniversaire de l’ami en question).
Pour plus de sécurité, le jeune homme marquait en toutes lettres le nom du pays d’expédition, bien que de mon coté, j’avais bien écrit l’indicatif du pays.

Vendredi, dans l’après-midi, je regardais si je n’avais pas de courrier. (Depuis la réorganisation de la distribution, je n’espère plus de recevoir du courrier avant midi). A ma grande surprise, je vis un paquet qui dépassait de ma boîte aux lettres. Avant même de le prendre, je me dis : je parie que c’est mon paquet. Et effectivement, c’était bien lui. Zut, me dis-je. Voilà maintenant qu’il faut quand même que je l’envoie en prior.

Mais pour éviter que ce genre de mésaventure se renouvelle, je décollais d’abord mon adresse pour l’y remettre plus haut, et plus à l’endroit prévu à cet effet, puis je me rendis à la poste. Il y avait foule, mais j’attendis sagement mon tour. Lorsque que ce fut le mien, je dis : voilà, j’ai voulu envoyer ce paquet, mais il y a eu une erreur, il m’a été réexpédié. Maintenant, je veux bien payer le supplément pour l’envoyer en prior, sinon il n’arrivera pas à temps.
« Mais, madame », me répondit le préposé, « il n’y a pas d’erreur, si on vous l’a renvoyé, c’est qu’il y a une raison.»
« Si », répondis-je, « c’est parce que l’on a pris mon adresse pour l’adresse du destinataire.» Alors, je lui expliquais que j’avais décollé mon adresse pour la placer ailleurs sur l’enveloppe, pour qu’il n’y ait plus de confusion possible.
« Alors, il faut se plaindre », me dit-il.
Comme ce n’est pas dans ma nature de faire des ennuis à autrui, je lui répondit, non, je veux juste bien payer le supplément en prior. « Vous ne voulez pas vous plaindre ? Me demanda-t-il, étonné. (En plus, il était mécontent de cette affaire). Vous êtes prêtes à payer à nouveau 11 euro 45 ? Parce que l’envoi est daté du … (je ne me souviens plus de la date, et on était 2 jours plus tard)
- Ah, non, répondis-je.
- Alors, il faut se plaindre, me répondit-il.
- Bon, d’accord.
Alors il se leva et alla chercher quelqu’un. Ouf ! Ne voilà t’il pas qu’il se rappliquèrent à trois, sans compter la personne qui m’avait reçu. Alors, je réexpliquais ma petite histoire, mais je le faisais en rigolant, pour décrisper l’atmosphère. Mais les autres ne rigolaient pas du tout. Finalement, le responsable écrivit quelque chose en dessous du timbre, (je ne sais pas quoi), et je demandais alors pour payer le supplément en prior. Et je partis, mais le type n’était toujours pas remis de sa colère.
Malgré tout, en rentrant chez moi, je m’inquiétais : est-ce que cela va passer, ce coup-ci. Quel genre d’ennui pourrais-je bien encore avoir ? J’espère qu’ « il » ne devra pas payer une surtaxe, maintenant. On ne sait jamais, après tout.
Mais, heureusement, il n’en fut rien, et le colis lui fut remis sans problème, bien qu’un peu à l’avance sur ce que j’avais prévu à l’origine.

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   mardi, août 02, 2005


Image familière pour tout qui possèdent chat et ordinateur...

Très drôle effectivement!
Il apprécie la chaleur qui se dégage du moniteur! Mais sur un moniteur lcd on oublie ça par contre. Une fois j'ai trouvé la mienne couchée sur mon Ipod qui se rechargeait. En charge ça devient un peu tiède. Elle s'est vite rendu compte de ça elle :o)
Pas fous les chats!
 
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   lundi, août 01, 2005
Il suffit, quelquefois, qu’un petit mot signifiant « oui » puisse déclancher des torrents de rire. Nous étions en train de dîner, le week-end et nous étions tous, donc réunis autour de la table. Ma sœur avait fini son verre, et avisant que le mien était vide aussi, elle me demanda, la bouteille à la main, en, anglais, si je voulais encore de la bière.
Comme mon fils lui, apprend le néerlandais, il s’amuse à me parler dans cette langue, et j’ai pris l’habitude de lui répondre « ja » (pour ceux qui ne le savent pas, se prononce ia). Je fais tout de suite remarquer que du néerlandais, je ne comprends que ce qu’Yvain me dit, parce que de temps en temps, j’étudiais le vocabulaire avec lui, et que lorsqu’il me dit quelque chose, c’est généralement à table, avec les mots usuels.
J’allais donc, bêtement répondre ja, mais mon cerveau s’avisa qu’il ne s’agissait pas de néerlandais, mais bien d’anglais. Ce qui fit, qu’en chemin, le ja et le yes se mélangèrent et je sorti un yeah américain du plus bel effet. Le premier mouvement de surprise passé, nous nous sommes, toutes les deux, écroulées de rire.

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