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 lundi, novembre 28, 2005
Lorsque les météorologues avaient annoncé de la neige, j’avais eu presque du mal à le croire : les nuages étaient gris clair, et non plombés lorsque d’ordinaire la celle-ci s’annonce. Néanmoins, lorsque je remontais la rue du pont-levis, (qui est une rue en escalier), quelques flocons blancs se mirent à voltiger autour de moi, mais ils n’avaient déjà plus d’existence lorsqu’ils touchaient le sol. D’ailleurs, lorsque mon fils revint de l’école, une heure plus tard, la neige avait probablement arrêté de tomber, vu qu’il ne fit aucun commentaire à ce sujet. Cependant, lorsqu’il monta se coucher, il m’appela pour me montrer la couche qui avait recouvert le jardin pendant la soirée. Le lendemain, dans le courant de la matinée, je dégageais une allée entre le portail de l’entrée de la cour et celle de la maison, et raclais également la neige qui recouvrait le trottoir qui longe ma propriété, vu que c’est normalement obligatoire. C’était néanmoins difficile de la faire partir en entier : en effet, bien des pieds l’avait tassée et à des places, elle s’était déjà transformée en glace. Mais, dans l’ensemble, les routes d’Arlon étaient dégagées et la circulation des véhicules n’était gênée en rien Lorsque je me rendis chez ma mère, au soir, c’était une autre affaire : en effet, rien n’avait été dégagé et les rues étaient recouvertes de glace, dont extrêmement glissantes. Mais ce fut le lendemain que ce fut le pire : la neige tombait en paquet, et, dans l’après midi, mon fils, son copain et moi avions beau essayer de dégager le trottoir de la maison, une épaisse couche retombait derrière nous, si bien que l’on aurait pu croire que l’on n’avait rien fait. Et aux informations, nous vîmes les principaux axes complètement bloqués par la neige, et les conducteurs en train de râler parce que d’après eux, les dégagements n’avaient pas été fait de façon correcte. Je comprends la colère des automobilistes : en effet, certains se retrouvaient bloqués parce qu’il ne pouvaient plus redémarrer, mais d’un autre coté, je comprenais aussi que cela ne se dégageaient pas aussi vite qu’ils l’auraient voulu, vu la quantité de neige qui tombait, les chasses-neige ne pouvant pas assurer le dégagement rapide : il est vrai que la neige ne tombe jamais aussi fort lorsqu’elle fait sa première apparition.
posted at 8:06 PM
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 jeudi, novembre 24, 2005
Les fenêtres de ma maison sont protégées par de solides et lourds volets en bois. Ceux des pièces des étages sont toujours baissés à contre-jour : en effet, le néon de la rue se trouve juste à la limite de ma cour et celle de mon voisin, et la lumière est telle que si le volet est ouvert, il m’est très difficile de m’endormir, et quand j’y arrive, mon sommeil est perturbé. C’est aussi la raison pour laquelle il m’est pénible de dormir l’été : non seulement à cause de la chaleur, mais aussi à cause de la lumière, parce qu’à ce moment, les volets sont levés et les fenêtres sont grandes ouvertes. Pour le rez-de-chaussée, c’est différent : seul le volet du salon est baissé dès la tombée de la nuit : en effet, je n’ai nullement envie que l’on voie à l’intérieur de chez moi, lorsque les lampes sont allumées, d’autant plus qu’il y a des appartements en face dont la vue est plongeante sur mes fenêtres. Celui de la cuisine, par contre, est levé : en effet, il est tellement lourd qu’il faut que je m’arque boute pour pouvoir le lever, de plus, lorsqu’il est baissé, il fait tellement noir dans la pièce que j’ai même du mal à trouver l’interrupteur ; de toute façon, on ne risque pas de pénétrer dans ma maison par effraction par l’arrière : tous les jardins sont bordés de maisons, et autres bâtiments. L’autre jour, un matin, j’étais mal réveillée, et ne je sais pourquoi, au lieu d’aller tirer sur la courroie du volet du salon pour le lever, je pris en main celle de la cuisine, et, crac ! elle se détacha du volet, tandis que celui-ci resta coincé dans la caisse. J’eu la présence d’esprit d’y faire un nœud, pour éviter que le ressort de l’enrouleur ne se détende. Pour la cuisine, il n’y a pas de problème : on peut accéder au système d’enroulement du volet par l’intérieur, tandis que tous les autres, il faut obligatoirement passer pas l’extérieur. Mais je n’avais pas envie de remettre le cordon directement en place, et je remis à plus tard la tâche de remettre tout en état. Bien m’en pris ! Mardi, je voulu, comme tous les matins, relever le volet du salon. Brusquement, la courroie du volet me resta dans la main, tandis que celui-ci (qui était à moitié levé) retombait avec un bruit fracassant. Merde ! Me dis-je. Voilà que j’ai le même coup que celui de la cuisine ! Je montais au grenier pour chercher l’une des échelles de mon échafaudage, et j’allais voir pour remettre le bout de la courroie dans le crochet, quand je vis, à mon grand désappointement, que ce n’était pas au niveau que cela avait cédé, comme celui de la cuisine, mais bien que c’était la courroie qui s’était rompue. Je tirais sur ce qui restait de la fameuse courroie, et réussi à lever, tant bien que mal, à moitié le volet, que je bloquait en attachant le reste de la lanière à l’une des cales qui empêchent les volets de se lever trop haut. J’étais bien ennuyée : il aurait fallu que j’aille acheter un nouvelle courroie ; mais ce que je craignait le plus, c’est de ne plus en trouver une en coton : en effet, chez ma mère, les courroies on été quelque fois remplacées, et le problème, c’est qu’avec les courroies en synthétique, elles glissent et le volet redescend progressivement, ce qui risquait d’arriver, vu le poids de mes volets. Alors, je pensais à celui de la cuisine : seul, le point d’attache de la courroie était rompu (ce n’est qu’un bête trou dans la courroie), et donc celle-ci était entière. Après avoir sectionné la partie abîmée, bloqué l’enrouleur avec un bout de ficelle, je récupérais celle-ci, qui semblait beaucoup plus neuve. Enfin, après une heure, je réussi à rétablir la situation.
posted at 8:43 AM
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 mercredi, novembre 16, 2005
La place Léopold, à Arlon, est pavée, comme on pavait les rues au 18ème siècle. Il y a environ trois semaines de cela, une des rues qui la borde, elle aussi faite en pavés, était fermée la circulation : elle était défoncée à bien des places et il fallait donc la remettre en état. Cela était bien ennuyeux pour moi, parce qu’un arrêt de bus desservait cette rue pour cela, il avait déplacé, encore plus loin en arrière, alors que de chez moi, il y a déjà une grande distance à faire. Je m’étais plainte que les travaux, dans Arlon, une fois qu’ils étaient commencés n’en finissaient pas. Il faut dire que cette fois, ils avaient été finis avec diligence : en effet, le Roi, ainsi que le président du Portugal devaient faire une visite, et cette rue devait absolument être terminée, car elle longue aussi le palais provincial, et je me demande même si ce n’est pas là qu’ils avaient pris leur repas de midi. Ils avaient aussi fait une visite à l’hôtel de ville, et à cause de cela, les services de la commune avaient été interrompus, aussi je m’était hâtée de faire renouveler ma carte d’identité le jour d’avant, la date d’échéance arrivant justement le lendemain, sinon, j’aurais eu une surtaxe à payer. Ce jour là, je me demandais pourquoi mon fils tardait à renter. En fait, la circulation était bloquée, et ces importantes personnes se trouvaient justement dans les rues au moment ou son bus arrivait, et il en avait profité pour aller voir ce qui se passait. Ce soir là aussi, je me trouvais dans les rues et me hâtait pour faire quelques courses en dernière minute, lorsqu’une voiture s’arrêta à ma hauteur et un monsieur (c’était un français, je l’avais tout de suite reconnu à son accent) me demanda son chemin. Puis il me demanda aussi pourquoi est-ce que dans la journée, il y avait tant de voiture de police dans les rues. (Visiblement, il était déjà venu une fois, mais il est vrai que la nuit, lorsque l’on ne connaît pas c’est tout différent que le jour). Heu ! Lui avais-je répondu, le roi (et je dois dire que j’avais appuyé sur le mot) et le président du Portugal étaient en visite. Ohoo ! M’a-t-il alors répliqué. Je me suis dit à ce moment là que, pour un étranger, surtout dans un pays ou il n’y a plus de monarchie, cela doit être malgré tout impressionnant, alors que, finalement, chez nous, cela paraît tout naturel, d’autant plus que notre roi est quelqu’un d’assez proche de la population, fort sympathique et pas hautain pour un sou. Et c’est peut-être aussi pour cela que la plupart des Belges aiment leur dynastie.
posted at 8:56 AM
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 lundi, novembre 14, 2005
Il arrive quelquefois que je passe des périodes sans écouter les infos. Aussi, je ne fus avertie que quelques jours après qu’il y avait des émeutes dans la région de Paris. Comme je ne savais pas au juste qu’est ce qui avait mis le feu aux poudres (ou plutôt aux voitures !), je demandais de vive voix, à l’un et à l’autre le pourquoi de chose. Tout ce que j’avais entendu, à la télé, en fait, c’est que le ministre de l’intérieur Français avait traité de « racaille » les habitants des banlieues. Mais je me demandais aussi pourquoi il avait dit cela d’eux. Finalement, à force de faire des recherches sur le Net, je finis par avoir le fin mot de l’histoire. On me reproche souvent de ne pas réfléchir (ou de manquer de tact) lorsque je dis quelque chose. Mais moi, je ne suis qu’une obscure petite personne insignifiante perdue dans le royaume de Belgique ! Lorsque qu’il s’agit d’une personne politique, de quel pays qu’elle soit, elle a tout intérêt à tourner sa langue sept fois dans la bouche avant de parler, sinon, on peut voir ce que cela donne ! Et, dans le cas du ministre Français, quelque soit ce qui s’était passé, il n’avait à faire ce genre de commentaire, surtout en tant qu’homme politique. Après tout, on a fait bien toute une histoire lorsque le Prince Philippe avait confié à un journaliste des paroles qui voulait dire ceci, (je ne me souviens pas exactement de ce qu’il avait dit) : « il y a dans notre pays des gens qui veulent le détruire, mais je ne les laisserais pas faire ! » Dans ces termes, il n’y avait rien d’injurieux, de plus, une simple constatation et un mouvement de révolte. Finalement, l’affaire s’était tassée, mais évidement, c’étaient les gens visés qui s’étaient révoltés contre cette parole, mais cette fois, personne ne les avait soutenus, même pas les autres partis flamands, ce qui prouve bien qu’ils ne sont pas fous, les flamands ! Ceci dit, je pense que ce déferlement de violence est d’autant plus regrettable, parce que ces actes de vandalisme, non seulement se sont attaqués à des innocents (et qui sait, peut-être même à porté préjudice aux proches de ceux qui les ont), mais ont aussi fait le lit de l’extrême droite en France, et qui sait, aussi dans d’autres pays, d’autant plus qu’il y a eu des actes similaires en Belgique, mais comme le disait notre ministre de l’intérieur, la Belgique n’est pas la France (bien que dans certaines situations ça y ressemble). Même si Isabelle me disait que c’était « fort » d’imposer un couvre feu, je trouve que c’était finalement la meilleure façon de mater cette révolte aveugle, et heureusement que l’armée n’a pas du intervenir, ce que j’avais crains dans les débuts. Quoi qu’il en soit, l’attitude du ministre de l’intérieur Français ressemblait, et ressemble toujours, d’ailleurs, plus à une position de quelqu’un de l’extrême droite, qu’autre chose.
posted at 11:59 PM
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 dimanche, novembre 13, 2005
Après avoir désespéré de pouvoir un jour réécrire dans mon blog, j’ai vu, ce dimanche, que cela remarchait ! Chouette ! Je remercie au passage tout ceux qui m’ont conseillé dans cette mésaventure, et je vais de ce pas écrire une nouvelle entrée. Donc, vendredi, nous étions le 11 novembre. Pour les habitants de Belgique et de France, ce jour est férié, parce qu’il commémore la fin de la première guerre. Les autres années, je retournais chez ma mère pour ce jour ; je me rendais régulièrement à la messe, suivi de la commémoration au monument au mort. L’année dernière, je n’avais pas envie de retourner pour un jour chez elle, et je m’étais renseignée pour aller alors à la commémoration à la ville d’Arlon, mais le monsieur, qui d’ailleurs est aussi un de mes voisin et dont son fils est au conseil communal m’avait dit que les commémoration auraient lieu un autre jour que le 11 novembre. Comme je trouvais cela « poche » comme dirait mes amis canadiens, je laissais tomber. Je ne sais pas comment le sujet était venu sur le tapis, le week-end dernier, mais, quoi qu’il en soit, ma mère m’avertit qu’il n’y aurait pas de messe, parce qu’il y a de moins en moins de curés dans la paroisse. (Remarquez qu’il en est de même avec la messe de Noël, ainsi même que pour les messes de la passion ; c’étaient encore celles-là qui me ressourçaient dans ma croyance, mais maintenant…) En quoi je haussais les épaules : j’avais décidé de toute façon de ne plus aller aux messes du 11 novembre, parce que chorale chantait si mal que c’était presque un outrage d’y aller ; mais je me rendais toujours au monument. Je réussi quand même à savoir qu’il y avait quand même une cérémonie à 11 h 30. Cette année ci, (et il me semble bien l’avoir fait il y a deux ans aussi), j’ai obligé mon fils à m’accompagner : je lui ai dit : tu as 15 ans, tu peux bien te rendre maintenant au monument au mort. (Plus jeune, j’estimais que cela ne signifierais rien pour lui, parce que je me remettais à sa place, et, enfant, il est vrai que cette cérémonie ne m’inspirait guère, je ne demandais qu’une chose : c’est qu’elle finisse le plus vite possible.) Je dois dire que, à fur et à mesure que le temps passe, il y a de moins en moins de gens qui se rendent au monument : je crois bien qu’avec une fille de mon âge, nous étions les seules de ma génération, et mon fils de la sienne. L’honneur était sauf ! Enfin, il faut dire aussi que le 11 novembre n’est pas férié pour les grand-ducaux, et comme il y a énormément de gens qui travaillent dans ce pays, … ils n’auraient pas pu se rendre au monument. D’ailleurs, l’auraient-ils souhaité ? Je me suis fait quand même la réflexion que, lorsque toutes les personnes qui avaient vécues durant la dernière guerre seraient mortes, il est probable qu’il n’y aura plus aucune commémoration, nulle part. Ce qui était presque risible, c’est qu’un policier de la ville d’Arlon avait été dépêché pour la circulation (alors que l’activité à l’intérieur du village était un peu moins morne que d’habitude), et franchement, la dame (car c’était une femme), aurait eu bien plus sa place à Arlon qu’à Hachy ! Je dois dire que le discours avait pris un tour bizarre, l’échevin parlait d’un orgue situé en Autriche et qui jouait tout les jours en commémorations de toutes les personnes tuées dans tout les conflits de toute la planète ; et nous en avons même entendu un extrait. Il faut croire aussi que bien des gens se rendent au monument par obligation : parce, normalement, après cela, nous aurions du entendre la Brabançonne (l’hymne national) mais la personne qui s’occupait de la sono n’avait pas préparé son disque, aussi assez bien de gens partirent avant qu’il ne puisse la faire retentir, et après un moment de flottement, il laissa tomber…
posted at 2:05 PM
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 mercredi, novembre 09, 2005
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 dimanche, novembre 06, 2005
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 mercredi, novembre 02, 2005
Mercredi dernier, j’étais tombée par hasard, dans le courant de l’après-midi sur une émission télévision, à RTL 9 (cette chaîne ne peut être vue que par les belges qui reçoivent la télévision par antenne satellite ou les frontaliers qui captent encore les ondes hertziennes, dont je suis). Cette émission devait avoir pour titre : les mystères inexpliqués, ou quelque chose d’approchant. Elle était présentée par Pierre Bellemare, qui est, je dois dire, un merveilleux conteur. Il y avait, entre autre, l’évocation d’une disparition mystérieuse d’une américaine, (dont on a retrouvé les restes plusieurs milliers de kilomètres de l’endroit ou elle était sensé avoir disparu, d’autres sujet dont je n’ai pas retenu le sujet, et ainsi que l’existence du légendaire St Graal. Oh ! Pour cela, l’histoire était bien ficelée, avec miracles à l’appui. Il était sensé se trouver dans un château, en Angleterre. Il aurait été apporté par je ne sais plus quel saint qui aurait fondé un abbaye, puis, après milles péripéties, elle aurait atterri chez la dernière descendante d’un famille illustre de ce pays. Il y avait, aussi, entre autre, ce commentaire : la coupe miraculeuse était en bois, parce que Jésus était fils de charpentier, alors que d’autres personnes prétendaient las posséder aussi, en cuivre ou en or. Je me disais que si, en effet, le Graal avait existé, il était, oui, probablement en bois, non pas parce que Jésus était fils de charpentier, mais simplement parce que c’était le matériau de l’époque. Puis, j’ai prolongé ma réflexion plus loin : le Graal ne devait sûrement jamais avoir existé, pas plus que le roi Arthur, Lancelot, Yvain et Gauvin, Galaad, celui qui avait trouvé le St Graal, pas plus que Guenièvre et la fée Morgane. Le Graal n’est qu’une légende, au même titre que les personnages cités ci-dessus. Pourquoi ? Simplement parce que cela ne correspond pas à la logique de l’histoire : en effet, le Graal est sensé être la coupe dans laquelle Jésus aurait transformé le vin en sang ; et dans laquelle Joseph d’Arimathie aurait recueilli le sang de celui-ci après le coup de lance du centurion pour voir s’il était bien mort. Cela ne tiens pas : Si l’on relit l’histoire de la passion, après le repas, Jésus se rend au mont des oliviers avec ses apôtres pour prier. Je suppose que ce repas avait été pris dans la plus stricte intimité, et donc, Joseph d’Arimathie n’était sûrement pas au courant de ce qui s’était passé là-bas au cours du repas. J’imagine que dès que la salle fit vide, la vaisselle fut enlevée pour être nettoyée. De plus, lorsque l’on vint arrêter Jésus, tous les autres s’enfuirent, je ne pense pas que l’un d’entre eux aurait été chercher la fameuse coupe. De plus, il aurait fallu que Joseph d’Arimathie sache que l’on allait transpercer Jésus d’un coup de lance, et il se serait trouvé justement là, avec la coupe, pour recueillir le liquide sorti du corps humain ? Et encore : Toujours d’après le nouveau testament, c’est seulement après la résurrection de Jésus et son apparition aux disciples d’Emmaüs que la passion eut pris tout son sens. Donc, dans la réalité, le Graal n’existe pas, ou tout du moins, n’existe plus. (Parce qu’évidement, le gobelet a bien existé un jour). Ce n’est qu’une jolie légende, qui ne devrait qu’être une légende, mais le problème, c’est qu’il existe toujours des gens pour croire en sa réalité…
posted at 1:25 PM
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