Une vie si tranquille  

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Dans les petits villages, les petites villes, il ne se passe jamais rien...
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   vendredi, février 24, 2006
Dans le courant du mois de janvier, j’avais écris que j’avais décidé de changer de système de téléphonie. J’avais pris cette décision lorsque j’avais reçu ma facture du service national de téléphone ; je me disais : j’en ai marre de devoir payer encore cela, alors qu’à côté, je payais mes notes de téléphone à un autre organisme, (en fait, je devais encore payer l’abonnement de ma ligne), et encore à côté, la connexion ADSL d’internet. Sur le site Internet, il était écrit que je devais attendre environ 8 semaines avant de pouvoir jouir de se service ; et, quelque jours plus tard, après avoir passé commande, je reçu un courrier qui m’annonçais qu’en fait, je devais attendre au moins 12 semaines, parce que leur promotions avaient eu tellement de succès qu’il était débordé.
Mercredi dernier, Je reçu un coup de téléphone d’Isabelle sur mon portable : elle n’arrivait plus à me téléphoner, et ce qui était étonnant, c’est que toutes les autres personnes de ma famille pouvaient me contacter. Elle me dit alors : il travaillent sur ta ligne (comme je l’avais dit dernièrement, elle avait adopté ce système sur mon conseil) et c’est pour ça que je n’arrive pas à te joindre. Et comme de fait, je reçu le lendemain dans ma boîte aux lettres un papier comme quoi ma ligne était active, et que j’allais recevoir très bientôt le modem spécial pour pouvoir surfer et téléphoner en même temps. On était loin des 12 semaines d'attente ! Et le vendredi, en effet, je reçu ma Scarlet Box par le service taxi poste.
Lorsque je la reçu, j’eu une mauvaise surprise : je devais avoir une connexion Ethernet, et je n’étais pas sûre que mon ordinateur en était équipé. Je regardais alors à l’arrière de mon ordi, et rien ! Zut, me dis-je. Il faudra encore que je porte mon ordinateur ou magasin d’informatique pour l’équiper de cela (heureusement pour moi, il y a un grand magasin d’informatique juste à l’entrée de ma rue, et j’en ai pour une minute à pied.
Le lundi, je me rendis au magasin, tout d’abord, pour savoir si quelqu’un pouvait me placer ce genre de prise. Le jeune homme me dit que oui, que j’avais même deux possibilité : soit je pouvais en brancher une extérieurement sur un port USB (heureusement que le voisin m’avait monté pendant un week-end deux ports supplémentaire) mais la solution était la plus chère (26 euro) ou une carte interne à 8 euro que je pouvais placer moi-même. Pour cette solution, pour moi, il en était hors question : je lui avais répondu que je n’y connaissais rien que je n’avais absolument pas envie de tripoter dans le ventre de ma bête. Quant à l’autre solution, j’ai hésité un moment : j’avais déjà eu des problèmes avec mes port USB, et je demandais que si cela ne marchais pas, je pouvais le lui rendre, il me répondit que non, parce qu’il avait déjà eu la blague que quelqu’un avait abîmé quelque chose parce qu’il y avait eu une mauvaise manipulation. Il m’a demandé si j’avais eu des problèmes en installant une imprimante, par exemple, et je lui avais répondu que non ; alors il me dit que normalement cela devrait marcher, et j’optait finalement pour la solution la plus chère. Il me tendit la boîte en me disant qu’il y avait un petit disque d’installation, mais je n’avais pas compris ce qu’il voulait dire par là.
Arrivé chez moi, je vis en effet ce qu’il voulait dire : c’était un petit disque, pas plus grand que pour les lecteurs d’mp3 (du moins je le crois), et je me demandais comment je pourrais faire marcher ce truc dans mon ordinateur. En ouvrant le mon lecteur cd, je me rendis compte qu’il y avait, en effet, une cavité prévue à cet effet. Je ne m’étais jamais soucié du pourquoi de l’existante de cette cavité, mais j’eu alors une réponse à une question que je ne m’étais jamais posée.
Enfin, mon ordinateur reconnu sans problème le nouveau matériel, mais j’eu d’autres déboires par la suite.

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   dimanche, février 19, 2006
Il y a quelque mois, je me disais : on fait bien des affaires, avec la grippe aviaire. On en avait déjà entendu parler l’année dernière, on avait effrayé la population, et finalement, il n’était rien arrivé de grave.
Je ne peux plus penser la même chose maintenant : la grippe qui touche ces oiseaux arrive petit à petit dans les pays voisins de ma petite Belgique. Cela fait peur, lorsque l’on dit : l’Allemagne, la France… Mais alors, pour être édifiée, je regarde les endroits où se sont passé ces événements : le nord l’Allemagne, en France, du côté de Lyon… Tout cela est encore bien loin, bien loin de chez nous.
Ceci dit, je ne me mets pas la tête dans le sable : Cela pourrait arriver aussi chez nous, mais, pour rassurer, il y a un proverbe qui dit : à chaque jour suffit sa peine. Nous aurons le temps de nous inquiéter lorsque cette maladie s’approchera beaucoup plus près, au lieu de 200 ou 300 kilomètres, elle en sera à 100 de nos frontières… Sans compter que le Pays a déjà pris des mesures pour éviter la propagation de la maladie.
Et puis, les média aiment bien inquiéter outrageusement la populace : ils s’amusent à publier des chiffres tout à fait effrayant, calculés suivant des statistiques : « Si la grippe aviaire se répand, il y plusieurs millions de morts »… Comme si on allait se laisser faire ! Je ne dis pas : dans les pays pauvres, oui, cela risque (hélas) fort d’arriver, - d’ailleurs, les personnes qui en sont décédées ne le sont elles pas dans les pays moins développés ? – Et jusqu’à présent, il n’y a pas encore eu beaucoup de cas de décès d’humain, bien que s’en soit encore trop, et aussi, d’après ce que j’ai compris, les êtres humains qui sont décédés de cette maladie n’avaient pas été soignés dès que les symptômes de la maladie s’étaient manifestés, car, apparemment, si elle est soignée aussitôt, les personnes peuvent en guérir.
Et ici, en Belgique ? En France, en Allemagne ? Dès qu’un cas de maladie est découvert, il y a une zone de surveillance, et dans ces pays, encore aucun être humain n’en est mort !
D’ailleurs, on commence déjà, ici, à vacciner les oiseaux des zoo, donc ce n’est pas eux qui risquent d’attraper la maladie, et encore moins de la transmettre !
Je parlais de ça avec ma sœur, ce week-end. Je lui disais : en Belgique, on est paré ! Oui, mais ils ont dit : pour 30 %. Bien sûr, pour 30 % de la population, lui ais-je répondu, pas pour 30 % de gens malade ! Ah, bon, me dit-elle, rassurée.
Ce serait même épouvantable, si 30 % de la population des Belge tombait malade ! Pensez ! 3 000 000 d’habitants malades, ce serait plus que toutes les prévisions pessimistes pour la mondialisation de cette maladie !
Et tant bien même : pour le moment, même si cette maladie se transmet plutôt d’oiseau à humain, elle se transmet beaucoup plus difficilement d’homme à homme (bien qu’il y ait eu un cas en Chine), et, aussi, elle ne risque pas tant non plus de toucher les populations urbaines, surtout les grosses villes avec plusieurs millions d’habitants : en effet, la maladie se transmet, d’après ce que j’ai compris, plutôt par les excréments des oiseaux, (et ceux-ci sont essentiellement des cygnes, des canards des oies et des poules), et ce genre de volatile qui servent d’animal de compagnie ! Non, les personnes qui risquent d’attraper cette maladie seront plutôt les éleveurs, et les gens des campagnes, ceux qui possèdent quelques poules pour avoir de bons oeufs.
Ce qui est amusant, aussi, c’est que maintenant, tout oiseau mort trouvé doit être ramassé pour être analysé, pour voir de quoi il est mort ; on a ramassé des mouettes dans les environs de Bruxelles pour voir si elles n’étaient pas contaminées, si cela tombe, elles sont peut-être mortes (ce que j’espère) parce qu’elles auraient ingéré du poison ou mortes par une petite pollution quelconque !
D’ailleurs, au printemps, lorsque que je parcours la campagne, lorsqu’il fait beau et que les bêtes à cornes n’ont pas encore rejoints les pâturages, combien de fois ne suis-je pas tombé sur le cadavre d’un corbeau, d’un geai, d’une pie, ou même quelquefois aussi d’un épervier ou d’une buse ? C’est comme ce cygne que l’on a trouvé en Belgique, dans le Limbourg, pas loin des frontières hollandaises et allemandes, et qui n’avait rien : les oiseaux, maintenant encore, meurent encore de leur belle mort…

C'est un truc auquel j'ai commencé a lire il y a un bout! C'est surtout le sang de ces oiseaux qui est très transmissible. La plupart des humains qui ont contracté faisaient l'élevage de volaille dans les pays pauvres.

Ce qui est a craidre c'est surtout la mutation du virus qui ferait que ça se transmet d'humain a humain. ALors là, ça se transmettra aussi vite que la grippe normale. C'est une course contre la montre. Ça rassure un peu de voir que des forme de vaccinations apparaissent aussi.
Je te comprend de ne pas vouloir jouer les autruches mais de ne pas être aveugle non plus. Les oiseaux eux... riche ou pauvre le pays... Ils voyagent. On pourrait autant être à risque ici. Quand ca va atteindre l'Amérique j'espère juste qu'il ne déclarera pas les oiseaux comme des terroristes!
 
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   lundi, février 13, 2006
Eh bien, avait dit ma mère, dans le courant de l’après midi, où est donc la neige qu’ils avaient annoncé à la télé ?
C’était dans l’après-midi. Lorsque je quittais sa maison pour rejoindre mes pénates, Une fine neige en grain se mis à tomber, mais ne me semblait pas qu’elle voulait tenir.
Lorsque je reviens d’une longue absence, je suis toujours accueillie par plusieurs de mes chats, qui sont contents d’avoir autre chose pour se nourrir que des croquettes, et, lorsqu’ils se sont restaurés, l’un ou l’autre demande de sortir. Bien sûr, en été, je n’ai pas ce problème : il y a une ouverture dans ma maison qui leur permet de renter et sortir à leur gré, mais il n’en est pas de même en hiver : porte et fenêtre sont fermée pour éviter que la chaleur ne s’échappe. Comme il fait froid, eh bien, j’ai à peine refermé la fenêtre de la cuisine (c’est par là que je les fait sortir, que 5 à 10 minutes après, les grattements à celle-ci me font comprendre que mes félins veulent rentrer. Ce qui fait qu’aujourd’hui, sur les poils noirs de deux de mes chats, tranchaient la blancheur des flocons de neige qui parsemaient leur fourrure.
En écoutant les informations, je me rendis compte que si, par chez nous, il n’y avait pas de quoi en faire un fromage, ailleurs dans le pays, la neige était tombée de façon abondante et drue, mais, même pour cela, même si les quelques centimètres de neige avait eu pour conséquence d’annuler la plupart des rencontre de football, et provoqué, bien sûr, des accidents à des petits malins pas assez prudents, tout cela n’était encore pas fort sérieux : on nous montrait ensuite les problèmes que les bavarois eux avaient : les habitants de cette région qui sont obligés de grimper sur leurs toits pour dégager la neige de peur que ceux-ci s’écroulent (et qui en passant provoquant la mort de certains d’entre eux en tombant des lesdits toits) ; les écoles fermées, les routes impraticables… J’étais justement en train de me demander jusqu’à quelle hauteur la neige était arrivée lorsque le présentateur (un peu comme par transmission de pensée), annonça que la couche de neige atteignait à des places 2 m de haut…
On aurait tort de se plaindre ; ici, lorsque l’on voit ce qui se passe ailleurs ; alors que, lors de la première offensive de l’hiver, la couche de neige atteint à peine 10 cm de haut, et que les automobilistes râlent parce que le dégagement ne se fait pas assez vite à leur gré, qu’auraient-ils du dire s’il avait eu à souffrir des conditions climatiques auxquels sont soumis nos voisins allemands et suisses ?

2 Mètres! Mais c'est plus haut que la grosse majorité des humains ça! C'est tombé où? 2 mètre avec des accumulations et du vent j'espère! Ici on n'entend parler que de NewYOrk avec sa tempête de plus de 40 cms. Là-bas c'est énorme! Une catastrophe... Tout les dépard de et pour NY ont été annulés ce jour là... Autobus ou avion!

2 mètre... J'imagine une personne ouvrir sa porte... ne voir qu'un mur blanc et dire... Curieux ce rêve... Je retourne me coucher jusqu'à mon réveil :)
 
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   jeudi, février 09, 2006
Habituellement, je ne prête pas fort attention aux spots publicitaires qui passent à la télé. En fait, même, je les subit comme on subirait un mal de tête : j’attends simplement qu’elle soit passée. Lorsque, dernièrement, j’avais écris un billet au sujet des publicités pour les voitures au moment du salon de l’auto, c’est parce que mon fils m’avait obligé à en regarder une ou l’autre, et puis elle sortaient aussi un peu de l’ordinaire. Oui, généralement, lorsque je m’intéresse à une publicité (et non pas pour le produit qu’elle vend), c’est parce que l’un au l’autre a fait une remarque sur la cohérence de la publicité.
Ma sœur, par exemple, a horreur des publicités pour les poudres à lessiver. (Moi, personnellement, ce serait plutôt pour les serviettes hygiéniques et les tampons). Il y a la publicité pour Ariel (enfin, je crois que c’est cette marque-là). On y vois trois gosses alignés devant une assiette contentant chacune quelque chose de couleur différente, et l’un plus barbouillé de nourriture que l’autre. Sur une musique sautillante de jazz, apparaît la maman qui vient avec un linge blanc essuyer la frimousse des trois gamins, mais, l’opération faite, il sont toujours aussi barbouillés, comme si elle n’avait rien fait.
Ce qui fait sauter ma sœur, c’est que la maman déploie ensuite l’essuie et l’on voit dessus trois traits, oui, des traits bien net de la couleur de ce qui barbouillait les gosses. Le reste, évidement, c’est que l’essuie va à la machine avec de l’eau à basse température et qu’après le linge ressort d’une propreté éclatante.
Mais là n’est pas le problème : ma sœur de s’écrier : comment peut on montrer une chose pareille ? À la façon dont elle les essuie, ce sont des traits !
Comme quoi, elle a raison : toutes les mamans du monde savent très bien que lorsqu’on essuie la figure de son enfant, on n’obtiendra jamais des traits bien nets, mais de vagues taches !
Mon fils, lui, en a eu deux autres dans le collimateur : la première pour Antikal : On voit un type qui montre à deux bonnes femmes qu’avec Antikal, le calcaire est éliminé sur les carrelages de sa douche, et il affirme que ceux-ci sont protégés du calcaire; ensuite, il dit : je ne me rase pas la moustache tant que le calcaire n’est pas revenu ! Et, évidement, on le voit plus tard avec une énorme moustache et l’une des femmes de lui dire : maintenant, tu peux te laisser pousser la barbe.
Je n’ai jamais quelque chose d’aussi stupide ! C’est écrié mon fils la première fois qu’il la vue : c’est le type qui présente le produit, et puis il se lance un défi à lui-même ! Et oui, sur le coup, je n’avais pas fait attention.
La suivante des publicités, c’est pour la soupe en sachet, Knoor ou Royco, enfin, l’une de ces deux là (je ne sais pas laquelle au juste, ce sont les marque les plus connues) ou l’on voit une bonne femme en train de ramasser des légumes dans son jardin en grelottant ; avec un bonnet et un gros gilet bien chaud, tandis que tombe la neige… il y a même une tomate bien rouge qui s’échappe des ses mains, tandis que la voisine la regarde en sirotant sa soupe minute bien au chaud… et le commentaire de dire : il y a bien plus simple de faire de la soupe… et mon fils de s’écrier aussi, lorsqu’il la vu : comment peut on faire une publicité pareille ? Les légumes ne poussent pas en hiver ! Je m’étais mis à rire : surtout les tomates ! Elles ne poussent qu’en été !
Ce que dit mon fils, ce n’est évidement pas tout à fait vrai : les poireaux, les épinards, la laitue et le cerfeuil d’hiver ne craignent généralement pas le froid, à l’exception des poireaux, on ne peut récolter les autres légumes qu’à la sortie d’hiver, parce que, justement, on les sème à la fin de l’automne pour avoir des légumes au printemps, avant que les légumes d’été n’aient grandis à leur tour. Les carottes résistent elles aussi au froid, mais on ne peut les laisser dans le jardin : mulots et souris en profiteraient pour s’en nourrir à la mauvaise saison…

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