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Dans les petits villages, les petites villes, il ne se passe jamais rien...
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   jeudi, mars 03, 2005
Arlon est une ville merdique. Surtout pour les piétons.
La commune passe son temps à « changer » le look des rues. Depuis que j’y habite, il n’y a pas une semaine que je ne vois pas qu’il y ait un trou ou un autre quelque part dans les rues.
En 2001, il y avait des travaux dans la rue de la gare… Finalement, pas fort nécessaire, elle était « bien » comme elle était, mais non, il fallait arranger le « look ». Morale de l’affaire, des commerçants mécontents, parce que cela à duré plus d’un an ; que les voitures devaient avancer au pas et que les piétons devaient marcher sur la chaussée (si on peut appeler ça comme ça) boueuse. Cela en était même arrivé que l’arrêt de bus de la gare avait été déplacé une rue plus loin… Pratique pour moi, parce c’était plus proche de la maison, mais pour ceux qui devaient passer du train au bus ou vice-versa, ce n’était pas ça…
Je ne dis pas, le résultat est splendide. Mais quand même…
Maintenant, il y a eu de construit le long de la route de Diekirch tout une série de bâtiments (dont le nouveau cinéma) sur l’ancien site de l’ancien lycée (du moins, je crois que c’était un lycée). Celui-ci avait été démoli il y a plus de quinze ans et il y avait là, un parking, très pratique. Mais non, il a fallu que l’on démolisse, que l’on troue, que l’on salisse… Nous nous sommes trouvés sans trottoir d’un côté pendant plus de deux ans, (il y a encore un immense « trou » recouvert de tôle pas très loin de l’entrée du cinéma) ; l’arrêt de but de la ville (pourtant très pratique à cet endroit) à été supprimé, et, pour couronner le tout, des travaux ont commencé de l’autre côté, avant même qu’au moins le trottoir soit fini de l’autre côté… Morale de l’affaire, à moins d’aimer de faire un tour invraisemblable sur des passerelles branlantes au dessus des tranchées béantes, nous sommes encore obligé de marcher sur la chaussée, sur laquelle il n’y a plus de macadam ou revêtement de ce genre ; de plus elle est rétrécie par des barrières nadar, ce qui fait que l’on frôle les voitures lorsque l’on passe par là… chose que je suis obligée de faire lorsque je reviens de chez ma mère.
Et, évidement, tout cela a été arraché avant l’hiver, et, c’est le moins qu’on puisse dire, maintenant, la neige et le froid on « gelés » les travaux.
Bien sûr, comme Arlon est une ville circulaire, on peut se rendre quelque part en prenant des chemins qui vont dans la direction opposée, mais lorsque l’on est chargé, le plus court est le mieux.
Je comprend mieux maintenant pourquoi les habitants de la rue de la gare on été excédé lors de sa rénovation, j’éprouve la même exaspération maintenant que cela se passe pas loin de chez moi.
De plus, il parait que ma rue va être rénové l’année prochaine. Ce n’est pas du luxe ; le trottoir qui passe devant ma maison est tellement mal fichu que les gens préfèrent marcher sur la route, et celui de l’autre côté, il est plein de « rustines ». Mais Dieu sait encore combien de temps cela va durer…

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