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Dans les petits villages, les petites villes, il ne se passe jamais rien...
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   mercredi, janvier 05, 2005
Lorsque j’ai commencé mon journal, je m’étais inscrite à la Cev. Celle-ci avait connu déjà bien des déboires, et lorsque je m’y étais inscrite, elle était déjà sur le déclin, minée par des querelles intestines. Grâce à elle, j’ai eu l’occasion de connaître des gens très intéressants, et même de me lier d’amitié avec certains membres. C’est aussi grâce à elle que j’ai pu établir une amitié plus profonde encore avec Werewolf . En passant, même s’il a changé le « look » et le style de son site, je suis bien contente qu’il écrive toujours, même si c’est plus court, car j’étais un peu triste de ne plus pouvoir lire ce qui sortait de son cerveau génial, ce que j’avais crains au début.
Malheureusement, comme partout et dans tout, comme à l’école, dans les quartiers, dans les villages, au travail même, s’il y a des gens très sympathiques ou amicaux, on y trouve aussi, sinon des grincheux et des « faiseurs » de disputes, des « je fous la merde partout ». Quelques part, avec la mort de la Cev, je n’ai plus eu non plus contact avec ceux que je considère comme principaux instigateurs de la chute de la Cev, que je ne nommerais pas, parce qu’il est possible que mes opinions divergent avec d’autres personnes sur ce point là, et je n’ai nullement envie de recommencer à me disputer sur une chose qui est passée depuis bientôt un an.
Pourquoi donc ce billet ? Tout ce préambule pour dire que j’ai reçu un courriel (j’aime tellement mieux ce mot d’origine québécoise que le mot « email » utilisé par les européens, je trouve qu’il sonne comme une petite clochette), dont la teneur, bien que polie, m’a fait froncer les sourcils. Polie et un tantinet arrogante, qui m’a fait repenser au style de l’un de ses « fouteurs de merde » que j’avais eu l’occasion de côtoyer et de contacter lors de ma fréquentation de la Cev.
Sur le coup, je n’y pensais pas trop, mais la lecture du mail m’avait fait comme un effet d’étouffer, une angoisse irraisonnée, et c’est ensuite que j’ai pris conscience de la raison de cet étouffement. C’est parce que j’avais l’impression de reparler à un clone de cet individu que je n’aimais pas beaucoup et qui habite quelque part en France. Et je dis bien un clone, parce que je sais que la personne qui m’a envoyé ce courrier électronique n’est pas ce Français dont je viens de parler. D’ailleurs, j’espère bien qu’il m’a oublié, comme j’avais presque réussi à le faire jusqu’à aujourd’hui. Je viens de me rendre compte que, s’il existe des « sosies » physiques, il y a aussi des « sosies » mentaux. Mais ceux-là, ils sont plus difficiles à repérer.

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