Ça avance, les travaux. Malheureusement pas aussi vite que je ne le voudrais, simplement parce qu’il y a toujours des impondérables qui m’empêchent d’aller aussi vite que je ne le voudrais : Ce matin, par exemple. Je reçois un coup de fil. Stupeur, j’entends la voix de mon fils au téléphone. Tout d’abord, j’ai cru que je rêvais : en effet, j’estime qu’il est encore trop jeune pour posséder un cellulaire, (bien que presque tous les enfants de son âge en on un) ou plutôt, j’estime qu’il ne faut pas trop gâter les enfants, sinon, lorsqu’ils sont adultes, ils deviennent arrogant, prétentieux et blasés de tout.
Je me demandais aussi, sur le coup ou il était, et puis je me suis inquiété, croyant qu’il me téléphonait parce qu’il était malade, mais non ; en réalité, il avait oublié la maquette qu’il devait réaliser pour un de ces cours, et il m’a demandé de lui amener (heureusement que nous n’habitons pas dans un village, sinon, il aurait eu des problèmes.
J’étais à peine rentré à la maison que le téléphone resonne : Ce coup-ci, c’était Isabelle, qui me demandait si je ne pouvais pas aller chercher son repas de midi : en effet, elle avait eu une rage de dents durant le week-end, et elle n’allait pas encore bien ; de plus, comme le froid s’était intensifié – oh, rien avoir avec le froid polaire que nos chers Canadiens ont chez eux – elle craignait que cela empire.
Morale de l’affaire : j’ai passé du temps à courir pour l’un et l’autre, de plus, je ne trouvais plus les chevilles que ma sœur m’avait rapporté lorsqu’elle avait été faire des achats ; or, je les avaient bien dans ma sacoche, mais je ne les voyais plus, aussi, je m’étais résolue à aller en racheter, et c’est dans le magasin même que je les aies retrouvées ! Enfin, j’ai quand même acheté en même temps encore quelques articles de quincaillerie, mais avec tout cela, j’ai quand même perdu deux heures.- à deux heures et demie.
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